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La Cantatrice chauve : Anti-Piece / La Lecon : Drame comique

por Eugène Ionesco

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Often called the father of the Theater of the Absurd, Eugène Ionesco wrote groundbreaking plays that are simultaneously hilarious, tragic, and profound. Now his classic one actsThe Bald Soprano andThe Lesson are available in an exciting new translation by Pulitzer Prize-finalist Tina Howe, noted heir of Ionesco's absurdist vision, acclaimed by Frank Rich as "one of the smartest playwrights we have." InThe Bald Soprano Ionesco throws together a cast of characters including the quintessential British middle-class family the Smiths, their guests the Martins, their maid Mary, and a fire chief determined to extinguish all fires -- including their hearths. It's an archetypical absurdist tale and Ionesco displays his profound take on the problems inherent in modern communication.The Lesson illustrates Ionesco's comic genius, where insanity and farce collide as a professor becomes increasingly frustrated with his hapless student, and the student with his mad teacher.… (más)
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Ionesco's plays show us how absurd our lives can get. Though completely unrealistic, they delve into a reality that we want to deny. ( )
  dbsovereign | Jan 26, 2016 |
Ah ma bonne dame, ça ne nous rajeunit pas… Je me souviens du temps où ma mère, ayant probablement décidé de me culturer un peu et devant le peu de choix de la programmation artistique dans notre commune banlieusarde, avait décidé de m’amener voir la seule pièce de théâtre de l’année, La Cantatrice chauve. J’étais en seconde si je me souviens bien, et elle m’avait même acheté le livre pour que je me prépare un peu. J’ai lu le livre et je me suis dit : « C’est quoi cette ânerie ? ». J’ai vu la pièce, je me suis ennuyée pendant une heure, et je suis sortie en me disant : « C’est quoi cette ânerie ? » et, pire, avec un désintérêt pour le théâtre dont je ne suis pas encore tout à fait remise.
Mais voilà que je suis maintenant, plus de vingt ans après cette expérience à la limite du traumatisme, une auditrice assidue de France Culture, et que maintenant c’est eux qui veulent me culturer. Et que moi j’aime aussi culturer M’sieur Raton qui, parfois, est d’accord. Alors quand cette radio a rediffusé pendant l’été 2014 La Cantatrice chauve créée par la société des Comédiens Français et diffusée pour la première fois sur France Culture en 1964, je me suis empressée de l’enregistrer. Puis nous l’avons écoutée hier, lors d’une petite soirée tranquille de bourgeois un peu bobos qui écoutent les podcasts de France Culture plutôt que d’allumer la télé (et qui s’en vantent…).

Eh oui toute cette longue introduction en forme de digression pour dire que nous nous sommes bien amusés avec cette pièce. Nous nous sommes délectés même de ce dialogue complètement décalé. Et moi qui avait trouvé cette pièce tellement nulle quand j’étais adolescente, j’ai su cette fois l’apprécier. Au premier degré, en riant de cette absurdité (et je me suis amusée à penser aux dictées que je concocte pour mes CE1. Elles sont parfois un peu bancales pour être sûre qu’elles ne font appel qu’au vocabulaire et qu’aux règles d’orthographe et de grammaire qu’ils sont sensés maîtriser à un instant t. Je me dis que parfois ça ne manque pas de poésie, Ionesco dirait que ça ne manque pas d’absurde, et je ne peux lui donner tort…). Et au deuxième degré aussi. Je connais l’histoire qui veut que la pièce soit inspirée de la méthode Assimil (ou de mes dictées, c’est la même chose), et l’avant dernière scène absolument sans queue ni tête est la meilleure illustration, me semble-t-il, de ce que Ionesco a lui-même appelé une « anti-pièce », une parodie de théâtre, à la fois à l’opposé des canons de la tradition et d’un théâtre contemporain engagé. Ici, Ionesco le revendique, ce n’est pas vraiment une pièce, et il n’y a pas non plus de message ni même de sens à chercher.
Pourtant, je ne peux m’empêcher de voir, notamment dans la première partie de la pièce, et jusqu’à ce débat houleux sur la sonnette long exposé de logique dans lequel M et Mme Martin se retrouvent (et que la bonne nous explique que tout cela n’est qu’illusion…), une réflexion sur le discours logique. Non-sens, contre-sens, syllogisme, je pense qu’en étudiant de plus près les répliques et leur enchaînement, on pourrait trouver des exemples de toutes ces figures de rhétorique. Et ce débat houleux sur la sonnette de la porte, je ne peux m’empêcher d’y voir une parodie de l’élaboration de la pensée scientifique, comment l’expérience est-elle convertie en théorie, comment la remise en question de la théorie est-elle possible… Pas de réponse, certes, mais peut-être une invitation à la vigilance. Ici, c’est excessif et c’est drôle, mais peut-être ne faut-il pas oublier que tous les discours auxquels nous sommes soumis sont susceptibles d’utiliser les mêmes ficelles, de la simple conversation anodine (et cela en dit long sur la vacuité de nos existences…) aux discours plus officiels qui cherchent peut-être à nous manipuler.
Pour une première pièce de théâtre, je ne suis pas loin de dire maintenant que c’est un coup de maître. Excellente pièce, drolatique mais loin d’être vaine. Un peu comme du chocolat au piment, c’est bien agréable, mais ça titille les neurones. A déguster sans arrière-pensée !
  raton-liseur | Nov 5, 2015 |
pièce, XIX secolo
  bibliotecaristofane | Oct 21, 2015 |

هاركز الريفيو على العمل الادبى الرائع و المثير للجدل "المغنيه الصلعاء" ...نص عبثى كاعمال بيكت التى اعشقها

ليست اولى تجاربى ليونسكو لكنها التجربه الاجمل و الاكمل

سألوا يونسكو عن مغزى تسميته للمسرحيه بهذا الاسم فقال بمنتهى البساطه انها لا تحوى اى مغنيه صلعاء....و بما انها عبث فلن استطيع ان احكيها الا انى كعادتى حينما اكون مكتئبه استمتع بالاعمال العبثيه

و انصح كما انصح دائما مع قراءه ادب العبث...اترك عقلك خارج الكتاب كما تترك حذائك على باب مكان مقدس و الا افسدت على نفسك متعه الا منطق

لذا اقدم لكم الفصل الرابع و الخامس و تلك الاجزاء تعد فى رأيى من اجمل ما كتب فى مسرح العبثيه عموما...اعتذر عن طول الاقصوصه لكنها ممتعه و محيره لدرجه اجبرتنى على وضعها كامله


















( )
  Dina_Nabil | Mar 23, 2014 |
Allebei de stukken zijn pareltjes in het absurdistische genre, het ene al hilarischer dan het andere. Maar na één lectuur is de aardigheid er af. ( )
  bookomaniac | Jul 8, 2010 |
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Ionesco, EugèneAutorautor principaltodas las edicionesconfirmado
SteinbergArtista de Cubiertaautor secundarioalgunas edicionesconfirmado
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Often called the father of the Theater of the Absurd, Eugène Ionesco wrote groundbreaking plays that are simultaneously hilarious, tragic, and profound. Now his classic one actsThe Bald Soprano andThe Lesson are available in an exciting new translation by Pulitzer Prize-finalist Tina Howe, noted heir of Ionesco's absurdist vision, acclaimed by Frank Rich as "one of the smartest playwrights we have." InThe Bald Soprano Ionesco throws together a cast of characters including the quintessential British middle-class family the Smiths, their guests the Martins, their maid Mary, and a fire chief determined to extinguish all fires -- including their hearths. It's an archetypical absurdist tale and Ionesco displays his profound take on the problems inherent in modern communication.The Lesson illustrates Ionesco's comic genius, where insanity and farce collide as a professor becomes increasingly frustrated with his hapless student, and the student with his mad teacher.

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