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Recenzoj
Citaĵo
„ La unua estas novelo kaj temas pri duobla amo de junulo, la dua est­as teatraĵeto pri malfeliĉa amo tragikomika. Bona traduko. ”
— Enciklopedio de Esperanto
Citaĵo
„ Estis laŭdinda ideo traduki el la franca Majstro Musset unu novelon, La du Amatinoj kaj unu komedieton, La Kapricoj de Mariana, por montri du flankojn de la talenta verkisto. La koketaj amindumaĵoj, la korinklinoj de geamantoj jen lia preferaĵo, la vorta kaj sentimenta duelo, la alterne kuniĝema kaj disiĝema duopo, jen lia aparta kapablo. Agrabla traduko kaj plaĉa volumeto. ”
— 1930, Historio de Esperanto II, paĝo 707

Sendube ni modernuloj nutras nian spiriton per la „manĝaĵoj“ de nuntempa literaturo. Abundas bonaj verkoj; sed ne estas eble (ankaŭ ne oportune) traduki
ĉiujn en Esperanto. Kiu aĉetus tian libraron?

En nemodernaj literaturajoj kaŝiĝas ofte perlo nepaliĝebla eĉ post multaj jaroj. Tial
oni ne moku pri de Musset, la patro de la ĉarma kaj eleganta stilo el 1833. (Musset vivis de 1810 ĝis 1852 en Parizo.) Rimarkinda estas lia tre vera kai. tre profunda studo de la karaktero en „La Du Amatinoj“, kaj lia kono pri la fakto, ke en ĉiu homo ekzistas la leĝo de l’ dualismo spirita (Bono kaj Malbono). Tiun temon li
prilaboris en „La Kapricoj de Mariano". Estas teatraĵo. De Musset enigis parton
de si mem en du el la ludantoj. Juneco, amo kaj melankolio estas eternaj, kaj
Musset ilia majstro-poeto. La traduko estas tre bona kaj igas la legadon duobla ĝuo. M. Butin, L. K.
-- Heroldo de Esperanto, 1930, n-ro 2 (550)
 
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Erfgoedbib | May 4, 2023 |
Un puissant drame romantique m’ayant donné des sensations divines et inexplicables rien qu’à sa lecture, je ne peux que le recommander à ceux qui veulent s’immiscer dans un monde qui n’est peut-être pas inexistant. Ses reliquats persistent et vous n’en serez donc pas déçu.
 
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Gabrielkimiaie | 4 reseñas más. | Oct 5, 2022 |
Un puissant drame romantique m’ayant donné des sensations divines et inexplicables rien qu’à sa lecture, je ne peux que le recommander à ceux qui veulent s’immiscer dans un monde qui n’est peut-être pas inexistant. Ses reliquats persistent et vous n’en serez donc pas déçu.
 
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Gabrielkimiaie | 4 reseñas más. | Oct 5, 2022 |
Parece ser que Gamiani es el resultado de una apuesta durante una reunión literaria donde Musset se jactó de ser capaz de escribir una novela muy obscena sin emplear una sola palabra grosera. Si esto tiene algún mérito concédasele. Por lo demás, nada especialmente reseñable. Quizá, el tono fogoso del estilo. Una pena que no desarrolle más el drama interior que vive la protagonista, rea de su insaciabilidad. Pero, en fin, se supone que la intención de Musset era escribir una obra erótica y no psicológica. Puede que olvidase que estos términos no son excluyentes, o puede que sólo tres días de escritura no dé para más. La moralina,hipócrita, que destila el personaje de Alcide (… asqueado y furioso, pensé en presentarme a aquella mujer perversa, haciéndole sentir el peso de mi desprecio. Pero la razón fue vencida por la carne… pág. 22) es por desgracia el barniz que muestran muchas novelas eróticas de los siglos XVIII y XIX. Lo mejor es la historia que propone a la mente del lector la confesión última de Gamiani dando finalizada la novela.
 
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GilgameshUruk | 5 reseñas más. | Jul 17, 2022 |
avec 4 planches d'illustrations en couleurs sur papier contrecollé
 
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DinantOosterbaan | Jun 1, 2022 |
 
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David.llib.cat | Jan 26, 2021 |
Deux nuit de sexe pur et transgressif.

Un petit récit plus pornographique suranné qu’érotique et qui vaut surtout par l’aura de son auteur rarement catalogué dans les bouquins de cul
 
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noid.ch | 5 reseñas más. | Nov 8, 2020 |
 
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Murtra | Oct 24, 2020 |
Marianne'in Kalbi okuduğum ilk Musset kitabı oldu. Kompleks bir olay örgüsü yer almayan kısa bir oyun olmasına rağmen oyunu sevdim. Oyunun tek sorunu türünün dram mı yoksa komedi mi olacağı konusunda yazar kararsız kalmış ve sonuç olarak ortaya karışık bir oyun yazmış.
 
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Tobizume | Jun 9, 2020 |
 
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FONTAYNE | Apr 1, 2020 |
> Par Adrian (Laculturegenerale.com) : Les 150 classiques de la littérature française qu’il faut avoir lus !
07/05/2017 - Musset et ses amours avec Georges Sand transposés dans ce roman autobiographique. Le roman vaut aussi pour son incipit, où l’analyse du mal-être d’une jeunesse post-révolutionnaire en proie au scepticisme prend aujourd’hui des accents particuliers.
 
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Joop-le-philosophe | 2 reseñas más. | Jan 27, 2019 |
> Par Adrian (Laculturegenerale.com) : Les 150 classiques de la littérature française qu’il faut avoir lus !
07/05/2017 - Inspiré par son séjour dans l’Italie des Médicis avec Georges Sand, Musset a écrit ici une pièce complexe où les personnages et les actions sont multiples. Qu’importe, tout culmine dans le destin aussi superbe que vain de Lorenzo !
 
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Joop-le-philosophe | otra reseña | Jan 27, 2019 |
« Ô mon George, ma belle maîtresse »

Cette anthologie de correspondances croisées entre Alfred de Musset et George Sand est une heureuse entreprise. Il faut d’ailleurs saluer le travail de Martine Reid qui a assuré la présentation et l’appareillage critique de ces lettres.

Et quel choix plaisant. Toucher par qu’il y a de plus intime, on ne peut être qu’enchanté par le plaisir et la sensualité de leurs rapports épistolaires. Il y a bien évidemment du respect, de la passion, ce goût merveilleux et communicatif pour les lettres. Il y a aussi les tracasseries du quotidien, les peines, les manques, la tristesse aussi.

Cet amour passionné est troublant, puissant. Il y a une forme d’amour haineux ou de tendresse brulante qui transpire de ces lettres. Et il y a la colère passionnelle, la rupture cruelle et douloureuse, de deux auteurs sublimes.

Le romantisme qui souffle et qui saigne si souvent dans ces lettres est à l’image de leurs auteurs : emporté, bavard, mystérieux.

Il est évident qu’une plus ample information aurait été à propos dans de nombreuses notes ; mais est-on en droit de demander l’exceptionnel à une telle collection ?

Un bon moment littéraire.½
 
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T.VALERO | Apr 9, 2016 |
Le romantisme a produit beaucoup de mièvreries sentimentales et peu d’ouvrages érotiques; il faut dire que le puritanisme et la censure de la Restauration ne favorisait guère les épanchements libertins. Cela n’a toutefois pas empêché Gamiani ou Deux nuits d’excès de devenir l’ouvrage licencieux le plus lu et le plus souvent réimprimé de tout de XIXe siècle. Louis Perceau, en 1930, en recensait déjà une quarantaine d’éditions, sans compter les traductions.

Longtemps remise en cause, l’attribution de ce bouquin à Alfred de Musset ne fait aujourd’hui plus de doute. L’anecdote raconte qu’en 1833, alors qu’il écrivait Les Caprices de Marianne, Musset aurait fait la gageure de produire en trois jours un ouvrage pornographique à l’excès sans jamais faire usage du moindre mot grossier. La vie de débauches et l’esprit aristocratique de l’auteur, son aventure avec George Sand, ainsi que des événements contemporains comme la mort dramatique de la Malibran, la célébrissime cantatrice, ont certainement inspiré l’histoire obscène et mortifère de la comtesse Gamiani et des jeunes Fanny et Alcide.

La première des deux nuits d’excès est celle où Gamiani initie la jeune Fanny au saphisme. Alcide, le narrateur, d’abord caché pour percer le secret de Gamiani, finit par se jeter dans la mêlée. Leur nuit de débauche est entrecoupée des aveux biographiques des trois personnages, qui permettent aux corps de se reposer, mais en même temps reconstituent, par les descriptions exaltées des expériences fondatrices, les forces pour une nouvelle série d’assauts. Gamiani reste alors la maîtresse du jeu, la plus perverse, la seule que le désir ravage, rend littéralement folle, et que ne peuvent satisfaire que les plus terribles excès, dont la flagellation et la zoophilie :

« Oui, ma chère, un âne. Nous en avions deux bien dressés, bien dociles. Nous ne voulions le céder en rien aux dames romaines qui s’en servaient dans leurs saturnales.

La première fois que je fus mise à l’épreuve, j’étais dans le délire du vin, Je me précipitai violemment sur la sellette, défiant toutes les nonnes. L’âne fut à l’instant dressé devant moi, à l’aide d’une courroie. Son braquemard terrible, échauffé par les mains des soeurs, battait lourdement sur mon flanc. Je le pris à deux mains, je le plaçais à l’orifice, et, après un chatouillement de quelques secondes, je cherchai à l’introduire. Mes mouvements aidant, ainsi que mes doigts et une pommade dilatante, je fus bientôt maîtresse de cinq pouces au moins. Je voulus pousser encore, mais je manquai de force, je retombai. Il me semblait que ma peau se déchirait, que j’étais fendue, écartelée !

C’était une douleur sourde, étouffante, à laquelle se mêlait pourtant une irritation chaleureuse, titillante et sensuelle. La bête, remuant toujours, produisait un frottement si vigoureux, que toute ma charpente vertébrale était ébranlée. Mes canaux spermatiques s’ouvrirent et débordèrent. Ma cyprine brûlante tressaillit un instant dans mes reins. Oh ! quelle jouissance ! Je la sentais courir en jets de flammes et tomber goutte à goutte au fond de ma matrice. Tout en moi ruisselait d’amour. Je poussai un long cri d’énervement et je fus soulagée. »

Au cours de la seconde nuit, quelque temps plus tard, Alcide, toujours dans la position du voyeur impuissant - que cette fois-ci il ne quittera pas - assiste aux ébats enragés des deux femmes. Il écoute aussi la suite du récit de Gamiani, qui plonge encore plus loin dans la débauche et la damnation, et assiste impuissant à l’empoisonnement de Fanny par Gamiani, elle-même plongée à l’agonie. C’est le point culminant du récit où se mêlent la petite mort et la mort tout court :

« J’ai connu tous les excès des sens, comprends donc, fou ! Il me restait à savoir si, dans la torture du poison, si, dans l’agonie d’une femme mêlée à ma propre agonie, il y avait une sensualité possible. Elle est atroce ! Entends-tu ? Je meurs dans la rage du plaisir, dans la rage de la douleur ; je n’en puis plus!»

Voilà qui donne un tout autre visage au romantisme !
 
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annearchet | 5 reseñas más. | Mar 8, 2014 |
Reading plays like this can be difficult once you've entered the playwrights world, because you find yourself reading them through the lens of numerous craft books that tell you not to do any of the things the playwright is doing. You ask the wrong questions: what are the stakes? what is the action? Then you run the risk of missing what's important - the play itself. In this case, the playwright would not have been privy to any of these craft books, since this is a late 20th century conceit, and this 19th century playwright would simply be writing plays. This play is well written, but would fail every playwriting course construed by the mind of modern man. The speeches are too long; there is way too much exposition; the characters aren't...fill in the blanks. Still, in spite of that, it works. It works well. A story of two star-crossed lovers (but bears nothing in common with Romeo and Juliet) that love not wisely nor too well (it has nothing in common with Othello, either). The characters banter and toy with each other, and never manage to figure out what they want until it's too late. A tale about love held too lightly, emotions taken for granted, and the interference of both church and family that make things go terribly wrong. The ending is abrupt, which feels right for this script. I'd like to see it performed.½
 
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Devil_llama | May 23, 2013 |
3 little classics but all in need of new translations½
 
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JayLivernois | Apr 4, 2013 |
Lorenzino, Lorenzetta, Renzo, Renzino : Musset module à l'infini les surnoms et les masques pour désigner Lorenzo de Médicis, androgyne à l'aspect maladif qui nourrit en secret un projet terrible. Lorenzaccio, cousin et favori du duc Alexandre, est un modèle de débauche qui a pourtant ses entrées chez ceux qui la déplorent. Il sait que son acte, désespéré mais nécessaire sur le plan privé, sera récupéré par le flux, transformé en geste public dérisoire sur le plan universel. De tirades cyniques en monologues poignants, Musset trace les contours d'une silhouette fantasmagorique qui se détache d'une Florence en pleine déchéance. Pris au piège de son jeu bien plus qu'Hamlet, Lorenzaccio cultive son drame. Non pas comme d'autres romantiques cultivent leur mélancolie, mais parce que c'est le seul lien qui lui reste avec la réalité. Musset, après l'échec cuisant de La Nuit vénitienne, décide de composer ses pièces sans les faire jouer. Son oeuvre sera donc un théâtre de spectres et de visions fugitives où l'individu fait place à des types humains participant à l'histoire, modelée à souhait par un enfant, non pas du siècle mais de tous les temps. --Sana Tang-Léopold Wauters
 
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PierreYvesMERCIER | otra reseña | Feb 19, 2012 |
Gamiani, or Two Nights of Excess, is the principal contribution of de Musset to the erotic genre of the 1830s, at which time the main literary thrust was domiciled in France. It has been translated into English countless times, and the Olympia Press version of 2007 is one of the latest, although no translator is named, and the text, often awkwardly translated, is probably lifted from a much earlier edition. The book is quite short, and appears highly condensed compared with the freely flowing (and more explicit) style of today's erotica. Its style is elegantly literary, providing a mask for events that would have seemed shocking for most of the 180 years of its existence. There are three characters, Gamiani, an older woman of agressively sapphic tendencies, Fanny, a young girl who promptly falls under Gamiani's spell, and Baron Alcide, who begins as a voyeur of the two women and quickly becomes a participant. As with many examples of the genre, the story allows space for reminiscences about how the characters' predilections were formed, and also involves orgies, libidinous behaviour of the clergy, and even the participation of animals as protagonists. The book is necessary reading for those interested in the origins of modern erotica, but it might disappoint those who seek a racy read and a credible modern plot.
3 vota
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CliffordDorset | 5 reseñas más. | Jan 10, 2012 |
Gamiani, le seul érotique romantique, marque d'une empreinte profonde tous ses lecteurs. C'est l'ouvrage clandestin qui a été le plus souvent réédité depuis le siècle dernier. Malheureusement, de réédition en réédition, le vrai texte disparaissait de plus en plus derrière des versions « corrigées », dues à des lecteurs inattentifs ou prétentieux, qui jugeaient bon de donner leur version, « puisque le texte n'était pas de Musset ». Aujourd'hui, grâce au Professeur Simon Jeune (éditeur du Musset de La Pléiade), nous savons sans pouvoir en douter que le texte est bien de Musset, et nous disposons d'une version authentique, enrichie de quelques notes explicatives. C'est celle-ci que nous vous présentons, suivi de l'étude de Simon Jeune qui en restitue la paternité à son auteur. Voici donc, pour la première fois depuis sa publication (à tirage très limité), le vrai texte d'Alfred de Musset.
 
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vdb | 5 reseñas más. | Jun 7, 2011 |
L'oeuvre poétique d'Alfred de Musset fut définitivement publiée en 1852, et forme deux recueils : 'Premières poésies' (1829-1835) et 'Nouvelles poésies' (1835-1852). Cet ouvrage est conforme à l'édition de 1854, la dernière du vivant de Musset, qui fut le poète de la jeunesse, de la fantaisie et de la passion.½
 
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vdb | Dec 16, 2010 |
L'auteur renonce à l'ironie présente dans ses 'Premières poésies' dans ce recueil au lyrisme maîtrisé, qui traite des thèmes les plus variés.
* Rolla
* Une bonne Fortune
* Lucie
* La Nuit de mai
* La Nuit de décembre
* La Nuit d’août
* La Nuit d’octobre
* Lettre à M. de Lamartine
* À la Malibran
* L’Espoir en Dieu
* À la Mi-Carême
* Dupont et Durand
* Au roi, après l’attentat de Meunier
* Sur la naissance du comte de Paris
* Idylle
* Silvia
* Chanson : À Saint-Blaise, à la Zuecca
* Chanson de Barberine
* Chanson de Fortunio
* À Ninon
* À Sainte-Beuve
* À Alfred de Musset, réponse de M. Sainte-Beuve
* À Lydie, traduit d'Horace
* À Lydie, Imitation
* À Alf. T., Sonnet
* À une Fleur
* Le Fils du Titien, Sonnet
* Sonnet : Béatrix Donato fut le doux nom de celle
* Adieu
* Sonnet : Non, quand bien même une amère souffrance
* Jamais
* Impromptu en réponse à cette question : Qu’est-ce que la Poésie ?
* À Mademoiselle ***
* Une Soirée perdue
* Simone
* Sur les Débuts de Mesdemoiselles Rachel et Pauline Garcia
* Chanson : Lorsque la coquette Espérance
* Tristesse
* Le Rhin allemand, par Becker ; traduction française
* Le Rhin allemand, réponse à la chanson de Becker
* Souvenir
* Sur la paresse
* Le Mie Prigioni
* Rappelle-toi
* Marie
* Rondeau : Fut-il jamais
* À Madame G., Sonnet
* À Madame G., Rondeau
* Après une lecture
* À M. V.H., Sonnet
* Mimi Pinson
* Le Treize Juillet
* À M. A.T., Sonnet
* Sonnets à Madame M.N.
* Stances de M. Charles Nodier à M. Alfred de Musset
* Réponse à M. Charles Nodier
* À mon Frère, revenant d’Italie
* Conseils à une Parisienne
* Par un mauvais temps
* À Madame Cne T., Rondeau
* Sur trois Marches de Marbre rose
* Sonnet : Se voir le plus possible et s'aimer seulement
* À M. de Régnier, de la Comédie Française, après la mort de sa fille
* Chanson : Quand on perd, par triste occurence
* À Madame O., qui avait fait des dessins pour les Nouvelles de l'auteur
* Le Rideau de ma Voisine
* Souvenir des Alpes
* Adieux à Suzon
* Sonnet au Lecteur½
 
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vdb | Dec 16, 2010 |
Les deux maîtresses
Emmeline
Le fils du Titien
Frédéric et Bernerette
Croisilles
Mardot½
 
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vdb | Dec 1, 2010 |
Un baron décide d'unir son fils Perdican, jeune diplômé de l'université, à sa nièce Camille, tout juste sortie du couvent : durant leur enfance, les deux cousins ne s'aimaient-ils pas tendrement ? Las ! C'est compter sans l'orgueil et la méfiance de Camille qui, à dix-huit ans, juge des hommes et de l'amour d'après les confidences amères de ses amies du couvent. En mêlant la fantaisie burlesque au lyrisme romantique, la comédie au drame tragique, Musset joue avec brio de la forme et du sens du proverbe dramatique. On ne badine pas avec l'amour montre ce qu'il en coûte de jouer avec la vérité des sentiments.
 
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vdb | 4 reseñas más. | Aug 14, 2010 |
Après le désastre de Waterloo, l'ennui s'installe avec la paix « Alors s'assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse. » Mais l'enfant du siècle ne s'attarde pas longtemps à son époque et, de manière assez désinvolte, raccorde à la grande sa petite histoire : celle d'un homme qui se console de la trahison de sa maîtresse par une vie de fête et de débauche à laquelle l'arrache brutalement la mort de son père. Après quoi l'amour, traversé par la tentation du suicide et du meurtre, ne le conduira qu'à la solitude. La Confession que Musset fait paraître en 1836 est ainsi un roman qu'il faut lire bien au-delà de la liaison avec George Sand qui vient de dramatiquement se dénouer à Venise. A vingt-cinq ans, Musset n'offre pas ici une simple esquisse prometteuse, comme le croyait Sainte-Beuve, mais un testament littéraire qu'il ne dépassera pas, un livre où il devient le héraut d'une génération dont la leçon amère est que, face à l'absurdité de vivre, l'irrésolution est la seule attitude lucide.
 
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vdb | 2 reseñas más. | Aug 14, 2010 |
This is an imperfect book. The grammar fails at times, the punctuation in a couple of cases is not correct. The word reins replaces the word loins at all times which is ridiculous and the word tiens is used and seems misplaced.

There is nothing specifically explicit about the language. Imagination can fill in many of the blanks but it must be a fairly lively imagination. It is a very short book with little in the way of plot. It is well written but not exciting. The ending is unsatisfactory. I do not recommend the book.
 
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xenchu | 5 reseñas más. | Jul 1, 2010 |