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Anne-Sophie Constant

Autor de Jean Vanier: Portrait of a Free Man

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Sobre El Autor

Anne-Sophie Constant lectured at the Conservatoire National des Arts et Mtiers in Paris until 2012. She has been a close friend of L'Arche and Jean Vanier for decades.

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Reseñas

Esta reseña ha sido escrita por los Primeros Reseñadores de LibraryThing.
Some people seem so ordinary. In "Jean Vanier: Free Man"; we see a man like that. He just founded a place for people with mental handicaps. That seems simple and small. Except that he ended up leading the Pope in a pilgramacy because that small refuge is more radical as a place and a method of care than he ever could have imagined.
 
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FCClibraryoshkosh | 22 reseñas más. | Oct 4, 2022 |
Esta reseña ha sido escrita por los Primeros Reseñadores de LibraryThing.
This book is very irrelevant after the revelations of Vanier's sexual assault on six women. There are others who do the good work without being wolves. Don't bother with this one.
 
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ehallett | 22 reseñas más. | Sep 21, 2022 |
I grabbed this because I was genuinely interested in Vanier's life, and what drove him to make such a radical change in the lives of those considered mentally disabled, and from there springboard into changing the lives of so many. For so long those considered different mentally were locked away. Vanier flipped the script and changed the lives of two men simply by offering something new to them - care and kindness. A powerful story of a unique man, who's simple decision eventually spread across five continents.… (más)
 
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LilyRoseShadowlyn | 22 reseñas más. | Jan 10, 2021 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Constant-Pierre-Ceyrac-ou-la-grace-daimer/1209524

> PIERRE CEYRAC, ou la grâce d'aimer, par Anne-Sophie Constant - Éditions Albin Michel, 2020 - 240 pages - 20,90 €.rel="nofollow" target="_top">Pierre Ceyrac, le père Ceyrac, religieux jésuite, est un passionné du Christ et de l’Inde où il a passé la quasi-totalité de sa vie adulte. Parti comme missionnaire en Inde en 1937, sans idée de retour, il y mourra en 2012 à 98 ans. Il est ordonné prêtre dans l’Himalaya en 1945 et poursuit, à Trichy dans le Tamil Nadu, ses études en tamoul et en sanskrit qui lui ouvre les portes des grands textes de l’hindouisme qui le fascinent. Il n’est pas un missionnaire qui cherche à convertir mais un « éveilleur » de conscience, il ne donne pas le chemin mais ouvre des portes. Avec Jules Monchanin, dont il dit qu’il est son maître spirituel et qu’il rejoint régulièrement à l’ashram de Shantivanam, il approche au plus près la philosophie indienne et rêve d’une fusion entre christianisme et hindouisme. Il est un renonçant, un sannyasi, tout en restant chrétien, en Inde il est « re-né » à sa foi, à lui-même. Comme Henri Le Saux, il connait le « vertige » qui aurait pu le faire basculer tout entier du côté de l’hindouisme mais non, dit-il : « Par l’hindouisme, j’ai découvert la beauté du christianisme. » L’inde l’a aidé à trouver Dieu à l’intérieur de lui-même.
Pendant 30 ans, il sillonne l’Inde et se rend partout où il y a à faire, entreprend et mène à bien nombre de chantiers au profit des plus nécessiteux. Il n’en tirera pas forcément une grande notoriété. Ni l’Inde, ni la Compagnie de Jésus à Madras ne lui ouvrirent grand leurs portes, peut-être était-il devenu trop difficile à cadrer pour les Jésuites… —Marie-José MATHIEU
Infos Yoga, (127), Mai/Juin 2020, p. 40

> PIERRE CEYRAC, ou la grâce d'aimer, par Anne-Sophie Constant (2020, Albin Michel, 240 p.). — Il révélait Jésus par sa personne : tel est le sentiment de ceux qui ont eu la chance d’approcher un jour Pierre Ceyrac (1914-2012), considéré aujourd’hui par beaucoup comme un saint. Né dans une grande famille de notables de Corrèze, entré à dix-sept ans au noviciat des jésuites, il était parti à vingt-trois ans pour l’Inde qui l’attirait depuis toujours. C’est dans ce pays tant aimé qu’il devait mourir presque centenaire, après des décennies consacrées à vivre avec et pour les plus pauvres. Entre temps, il avait fait une parenthèse de treize années dans les camps de Thaïlande, au secours des réfugiés cambodgiens fuyant le génocide. De cette vie entièrement offerte, Anne-Sophie Constant nous livre l’essentiel en allant chercher, au-delà d’une action humanitaire en elle-même remarquable, la « grâce d’aimer » qui a toujours habité cet homme humble et ouvert à tous. Ainsi nous est-il permis de pénétrer la spiritualité incarnée que Pierre Ceyrac résumait d’une phrase qui exprime la radicalité de son engagement : « Tout ce qui n’est pas donné est perdu. »
3ᵉ millénaire, (135), Été 2020… (más)
 
Denunciada
Joop-le-philosophe | May 3, 2020 |

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