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Cultura Mainstream. Cómo nacen los fenómenos de masas.

por Frédéric Martel

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Avatar, Shakira, Spielberg, Desperate Housewives, Slumdog Millionaire, Disney, Michael Jackson, MTV... What is it about these cultural phenomena that attracts everyone, everywhere? Sociologist and journalist Fr#65533;d#65533;ric Martel devoted over five years of research, interviewing 1,200 people in the entertainment capitals of thirty countries--from Hollywood to Bollywood, Tokyo to Miami, Al Jazeera’s headquarters in Qatar toTelevisa’s headquarters in Mexico City--to draw an worrying conclusion: a new world war to control words, images and dreams has begun.… (más)
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Frederic Martel è un giornalista francese e in questo interessante e ben documentato libro raccoglie i risultati di oltre 1.200 interviste registrate nel corso di cinque anni di lavoro sull’evoluzione del mercato dei media. La prospettiva con cui Martel conduce il suo lavoro è globale, da Mumbay a Shangay, da Hollywood a Rio de Janeiro, da Miami a Dubai, una serie di operatori di diverse dimensioni si muove alla ricerca del consolidamento dei propri palinsesti. Le strategie di espansione di Murdoch si bloccano in Cina, mentre hanno successo in India, le politiche delle emittenti islamiche, Al Jaazera, su tutte, i percorsi della Disney, un mercato in movimento all’interno di un mondo in movimento. Una globalizzazione che vive, al contempo, con le differenze locali, fatte di cultura, di lingue, religioni, status symbol. Il libro di Martel è un viaggio nella babele dei contenuti che merita di essere letto, e poi riletto, per comprendere fino in fondo delle dinamiche che sono effetto della cultura internazionale, ma che, al contempo, ne rappresentano la causa. ( )
  grandeghi | Jun 15, 2017 |
En ces temps où on parle beaucoup de culture, surtout dans le cadre des différents accords censés « sauver les artistes », mais écrits par les lobbyistes de l’industrie, la lecture d’un ouvrage comme "Mainstream", de Frédéric Martel, est un salutaire rappel à la réalité.

Sous-titré « Enquête sur la guerre globale de la culture et des médias » et présenté sous la forme d’une enquête sur les cinq continents, cet ouvrage assez massif (560 pages de texte pour son édition de poche, chez Champs Flammarion) décrit les tenants et les aboutissants de la culture populaire, dite « mainstream » et, surtout, la lutte qui se déroule entre nouvelles et anciennes « grandes puissances » des contenus.

S’il ne fallait retenir qu’un seul point de cet ouvrage, c’est que la culture mainstream est une industrie; elle est organisée comme une usine taylorienne, les postes découpés au plus juste selon une division du travail implacable. Les studios indépendants? Inféodés aux grands groupes. La culture européenne, encore centrée sur l’auteur? Marginalisée.

La plus grande partie de l’enquête de Frédéric Martel se concentre sur les USA: Hollywood, l’industrie du disque; les livres et la presse, aussi, mais moins. La description de comment fonctionnent les grands studios d’Hollywood, une machine qui va de l’école de cinéma aux salles multiplexes en passant par les syndicats, est assez édifiante.

Puis l’auteur part explorer le monde, les nations émergeantes dans le domaine de la création de contenu: Inde, Chine, Japon et Corée et Asie; Brésil et Mexique en Amérique latine; Égypte, Liban et Arabie saoudite dans le monde arabe. Partout, le constat est le même: pour réussir, il faut produire local. Et, curieusement, seuls les Américains arrivent à produire des contenus qui touchent le monde entier (ou peu s’en faut).

Enfin, dans une dernière partie plus courte, la situation européenne est explorée sous différents angles, pour arriver à la conclusion qu’elle a beaucoup de mal à percer par manque de vision globalisante. Paris et Londres sont certes des capitales culturelles, mais pour les musiques africaines, respectivement francophones et anglophones.

Le sujet est passionnant, la démonstration bien construite et, surtout, le bouquin n’est pas un essai ennuyeux bardé de chiffres rébarbatifs. Oh, certes, des chiffres, il y en a, mais en mettant en avant ses rencontres avec plusieurs dizaines d’acteurs des médias de par le monde, Frédéric Martel parvient à rendre l’ensemble très vivant. Il n’est pas à l’abri de formules de style un peu trop alambiquées, mais elles restent rares.

« Connaître son ennemi », dirait Sun-Tzu; ce n’est pas le seul argument en faveur de la lecture de Mainstream quand on s’intéresse aux questions culturelles. Vous aussi vous pourrez ricaner lorsqu’on vous assènera les arguments « le piratage tue les artistes! » Les artistes sont à peu près complètement absents de cet ouvrage: la culture mainstream n’est pas un art, c’est une industrie. Qui plus est, c’est une industrie qui s’accommode très bien du piratage, qui le voit comme une forme de promotion.

Il y a aussi dans ce livre un formidable panorama d’un monde globalisé, des campus aseptisés d’Hollywood aux restaurants de Mumbai où se croisent les réalisateurs de Bollywood, en passant par les réceptions huppées de la presse new-yorkaise, les studios de jeux vidéos français et les rayons pornos des vendeurs de DVD libanais. ( )
  SGallay | May 2, 2012 |
Cet ouvrage propose un tour du monde des lieux de production de la culture de masse, avec un double objectif. Premièrement, celui de comprendre le fonctionnement de l'industrie du divertissement américain, apparemment la seule capable de produire des succès mondiaux. Deuxièmement, celui d'identifier les autres lieux de production de la culture de masse et ce qui les empêche de rivaliser avec la machine à succès américaine.

Qu'on adhère ou non à la thèse de l'auteur, celle d'une bataille du "soft power", celui dur les images et les représentations, cette ouvrage représente une enquête en profondeur des médias à l'échelle internationale, et probablement un point incontournable pour tous ceux qui s'intéressent à ces sujets.

Fidèle aux recettes qu'il décrit, Martel utilise lui-même les outils du storytelling, de l'incarnation des concepts dans des trajectoires individuelles, du découpage en épisodes de son propos. Le résultat est un livre qui, en dépit de sa longueur, se lit presque comme un ouvrage de fiction.

Note de lecture : http://www.leconomiste-notes.fr/dotclear2/index.php/post/2011/06/13/Note-de-lect... ( )
  MathieuPerona | Jun 15, 2011 |
En un mot, cette enquête qui nous conduit dans le monde entier est absolument brillante et captivante. Martel nous plonge dans les industries culturelles et décortique patiemment leur fonctionnement et leur évolution. Malgré ses 400 pages, le livre est trop court, tant certains secteurs sont évoqués d'un trait. Avec une culture éclectique et encyclopédique, Martel parle des transformations d'aujourd'hui et de notre fascination pour l'Amérique. Brillant ! ( )
  hubertguillaud | Mar 19, 2011 |
Mainstream, Enquête sur cette culture qui plaît à tout le monde de Frédéric Martel (animateur de l'émission Masse critique sur France Culture) est une vaste enquête sur la culture mondialisée, constituée d'une série d'entretiens commentés et remis en contexte. L'ensemble est à la première personne ce qui est un choix peu habituel sur un tel sujet, mais qui a le mérite de rendre la lecture moins fastidieuse qu'une analyse de géopolitique des industries créatives... (car tel est bien le sujet de ce livre).

Attention, amis de la culture avec un grand C passez votre chemin; on ne parle pas ici d'oeuvres ni d'artistes, mais bien de produits, de stratégies, de marketing, de luttes d'influence entre mutlinationales pour occuper notre temps de cerveau ! Ces préalables posés, il est intéressant je trouve de prendre la mesure de ces phénomènes massifs, même si nous sommes ici du côté de l'offre ce qui comporte des limites certaines au projet, exposées dans ce résumé du livre de J-P Warnier : La mondialisation de la Culture (2003) :

J.-P. Warnier considère que les théories de la convergence culturelle se sont révélées fausses. "Toutes les visions macrosociologiques sont victimes d’un contresens méthodologique : leur objet d’étude étant la production de biens culturels au niveau mondial, elles privilégient l’étude de l’offre. Or, si l’analyse se concentre sur la réception au niveau local de ces biens, on constate alors que cette offre mondiale est « décodée, recodée, domestiquée et réappropriée ». L’auteur critique ainsi toutes les théories globalisantes, qu’elles soient culturalistes, comme celle d’Huntington (qui privilégie les revendications culturelles comme facteur explicatif des conflits), ou politiques, comme celle de Ramonet (dont la géopolitique mondiale expliquerait les phénomènes culturels). Il faut privilégier une approche anthropologique, qui permet une lecture du fait culturel local : l’auteur se rattache ouvertement à la thèse de J.-F. Bayart selon laquelle la dynamique sociale et les conflits qui en découlent « mobilisent et structurent les identifications culturelles » en fonction des intérêts des groupes sociaux. Finalement, l’américanisation est, pour l’auteur, un faux débat : la modernité aurait plutôt à faire face à « l’éclatement des référents culturels ». La tradition locale, le terroir sont encore des leviers puissants de différenciation culturelle."

Quoi qu'il en soit, on comprendra mieux par exemple la vivacité de la lutte de la MPAA contre le piratage aux USA en considérant la place du copyright dans l'écosystème économique des industrices créatives ! Pour autant, il me semble que ce livre est bien trop léger sur les impacts du numérique sur les stratégies des industries créatives. Et pour cause, les entretiens ont déjà quelques années et le secteur évolue à vitesse grand V, l'ensemble donne l'impression d'une photographie déjà jaunie. On peut se demander par exemple si l'enjeu n'est pas plus aujourd'hui dans le contrôle des data centers que dans le nombre de multiplexes implantés sur un territoire...

Malgré tout, on apprendra comment Murdoch s'est cassé les dents en Chine dans les années 90 et comment l'Inde représente le nouvel Eldorado pour les industries créatives Américaines. Très intéressant aussi de voir comment les pays émergents essaient de construire leur propres industries créatives face aux Américains.

On se rend compte que l'idéologie de l'impérialisme US est bel et bien à relativiser (en même temps on le savait déjà...) ! Les USA sont en effet bien moins idéologiques qu'on ne le pense, à voir leur capacité d'apdaptation à des marchés étrangers, on se rend vite compte qu'il s'agit bien plus de capitalisme en bonne et due forme qu'une volonté d'imposer une domination culturelle (même si l'un est étroitement lié à l'autre).

Pour conclure, un livre intéressant, mais qui sera vite dépassé... ( )
  bibliobsession | May 4, 2010 |
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