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Abundance

por Jakob Guanzon

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For Henry and his 8-year-old son, Junior, days are measured in dollars and cents. Evicted from their trailer, they now call Henry's F-250 home. Today is Junior's birthday; tomorrow Henry has a job interview. To celebrate, they have a fast food dinner and spend the night at a cheap motel. But when Henry has a altercation and in the parking lot and Junior falls ill with a fever, can they make it through to the day to come? -- adapted from back cover and perusal of book… (más)
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Abondance, un livre au titre tout en ironie puisque ce roman raconte l’histoire d’un homme tellement désargenté qu’il compte le moindre de ses centimes et qu’il n’a pas assez non seulement pour finir le mois, mais la semaine, et même le jour. On est donc dans l’extrême précarité, dans la pauvreté la plus entière. Et l’histoire de cet homme nous est contée au travers de deux histoire entremêlées : celle de son adolescence et de comment il en est arrivé là, et celle d’une journée, marquée par l’anniversaire de son fils.
Il y a certes quelques longueurs dans le livre et on comprend très vite le message de l’auteur, mais c’est un premier roman et, vues ses qualités, on peut sans difficulté lui passer quelques défauts. Parce que j’ai beaucoup apprécié cette lecture. C’est difficile de dire que j’ai aimé ma lecture, du moins, pas au sens premier du terme. D’abord, le personnage principal, Henry, a tout du looser sans grande volonté. Certes il n’est pas parti avec beaucoup d’atouts dans la vie (mais il en avait quand même un ou deux), et le système s’acharne sur lui, mais c’est difficile parfois de ne pas avoir envie de lui secouer un peu les puces, surtout dans la partie adolescente du roman. Ensuite, l’histoire est très dérangeante. Très d’actualité aussi, car on nous parle de plus en plus de ces gens qui ont du mal à finir le mois, vraiment du mal. Dans la partie actuelle du récit, celle de la journée d’anniversaire d’Henry Junior, ce qui frappe, c’est à quel point la société ne pardonne pas. Oui Henry (le père) a beaucoup trébuché, il a beaucoup fauté. Il a payé pour ses erreurs, mais il n’a pas le droit à une seconde chance. Et ce que décrit cette seconde partie, c’est une lente descente aux enfers, un combat de chaque minute pour survivre. Henry a perdu son logement (un mobil-home qu’il avait aménagé pour qu’il ne soit pas trop miteux, mais dont il ne peut plus payer la location), il doit chaque jour trouver où se laver, lui et son fils, quoi manger quand on n’a qu’un réchaud rudimentaire pour cuisiner, l’argent à mettre dans le pick up pour chercher du travail et amener Junior à l’école.
Cette deuxième partie est la plus difficile à encaisser car on voit la spirale infernale se mettre en place, et on peut à peine blâmer Henry pour cela. On voit ses sentiments pour son fils et tous les efforts qu’il fait, trop souvent en vain. On voit les petites accommodements avec la réalité pour ne pas se voir comme un père au rabais, on voit les calculs et les choix à faire pour essayer de s’en sortir : vaut-il mieux mettre de l’essence dans le pick up ou acheter une recharge pour le téléphone ? faut-il acheter un dîner nourrissant pour ce soir ou un déodorant pour être présentable à un entretien d’embauche ?
Et si cette deuxième partie est la plus difficile et la plus intéressante, Jakob Guanzon, l’auteur, a eu l’intelligence de la mêler à la première partie où le personnage d’Henry est un peu plus monolithique. Ainsi, on compatit au personnage complexe d’aujourd’hui, ce père pathétique et aimant qui se bat pour lui et pour son fils, tout en comprenant d’où il vient et en ayant du mal à trouver des circonstances atténuantes au p’tit con qu’il a été. Cela crée une relation très ambivalente au personnage, ce qui est un des principaux ressorts du récit.
Et bien sûr, à travers ce personnage, on voit ce que sont les laissés-pour-compte d’une société que l’on dit d’abondance mais qui n’est pas d’abondance pour tout le monde. On dit souvent que ça coûte cher d’être pauvre, ici, on nous montre la pauvreté qui est trop pauvre pour le rester, trop pauvre pour se maintenir à flot. Et l’on voit à quel point le système n’aide pas à s’en sortir. On est au Etats-Unis, certes, mais si ce roman se passait chez nous, il ne serait pas différent de beaucoup. La même société d’abondance, les mêmes laissés-pour-compte et les mêmes engrenages.
Un roman que j’ai apprécié lire, car il décrit, me semble-t-il avec justesse et sans être trop démonstratif ou déterministe, une réalité que je n’avais jamais touchée du doigt. Je lis peu de romans urbains ou noirs, peut-être que ces sujets y sont plus représentés, mais pour moi, c’est une nouveauté, et une nouveauté pleine d’intérêt. On ne peut pas aimer ce roman, car il est comme un coup de poing qui coupe la respiration, mais c’est une lecture dérangeante qui mérite d’être faite, pour une histoire et des personnages qui resteront longtemps dans ma mémoire.

Merci aux éditions La croisée de m’avoir permis de découvrir ce livre, via netgalley.
  raton-liseur | Jan 2, 2023 |
Oh, boy, was this depressing. ( )
  auldhouse | Oct 13, 2021 |
This look at poverty was heartbreaking. Following two alternating narratives, the story shows the impact on Henry and his son. Henry is drives to a McDonalds, using a lot of gas, for his son’s birthday. This McDonald’s doesn’t have a bathroom requiring a key code to enter, so they can make an attempt at cleaning up. Junior gets to live it up for his birthday by ordering a full meal deal instead of a Happy Meal. Then its back to their home, Henry’s truck and off to Walmart for the night. Chapters are designated by how much cash they have. Beginning they have $89.34 but after Henry finds a quarter in the bathroom, it increases to $89.59. Yep, that’s how desperate they are. The other story focuses on how Henry got there. And that’s not pretty either. Henry’s dad’s violence, Henry’s selling oxy, and having to serve time in jail and then life in a singlewide trailer with Junior’s mother….and it keeps getting worse, bad luck and bad decisions but a determination to make a better life for Junior make this a compelling debut. ( )
  brangwinn | Mar 2, 2021 |
Mostrando 3 de 3
To be poor in America is to constantly be aware of how close you are to empty. Henry, the protagonist of “Abundance,” measures distances in gallons of gas, stockpiles free ketchup packets (“a reserve of sugar for later hunger pangs”), and scrimps enough money to treat his young son, Junior, to a birthday meal at McDonald’s and one night at a motel — a luxury after six months of washing up in public restrooms and sleeping in Henry’s pickup....This is worthy but heavy stuff, and the novel occasionally staggers under the weight. Henry feels more like the sum of his identities — father, felon, half-Filipino — than a fully-fleshed character, consumed by his fears of turning into his own embittered immigrant dad. Instead, what “Abundance” captures is how mundane poverty is, and how psychologically punishing.
añadido por Lemeritus | editarNew York Times, Chelsea Leu (Sitio de pago) (Mar 2, 2021)
 
Guanzon debuts with a harrowing story of a man’s desperation and unyielding love for his son. Single father Henry has less than $100 to his name, and he’s planning on spending it on his son Junior’s eighth birthday present: a night in a hotel with a real bed and cable TV instead of sleeping in Henry’s truck.... Guanzon’s descriptions of grinding poverty are visceral (pocket change rattles in Henry’s pocket “like tiny shackles”), and Henry’s attempts to fend off relentless adversity for the sake of his son are heartbreaking. This one hits hard.
añadido por Lemeritus | editarPublisher's Weekly (Dec 29, 2020)
 
Two narratives alternate: One follows Henry and his son, Junior, hour by hour on the 8-year-old’s birthday and into the following day, when the father has a crucial job interview. They live out of a pickup, and their money seesaws on day labor and the barest necessities....The novel’s structure works well to track the legacy and persistence of bad choices and how they whittle down options in lives that didn’t have many to start with. Guanzon tends to overwrite, but he can be eloquent regarding Henry’s hard, hungry struggle: “His belt is too battered to wear to the interview, sweat-muddled and pocked with a row of holes driven through with masonry nails. A rough tally of every five pounds shed.” An imperfect but compelling picture of poverty, desperation, and pain.
añadido por Lemeritus | editarKirkus Reviews (Nov 26, 2020)
 
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To my pa, Nilo Pelea Guanzon
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It's-a-girl pink. Too festive a color for the soap in a McDonald's men's room. -$89.34
Citas
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Aviso de desambiguación
Editores de la editorial
Blurbistas
Idioma original
DDC/MDS Canónico
LCC canónico

Referencias a esta obra en fuentes externas.

Wikipedia en inglés

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