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Cargando... Hymnepor Lydie Salvayre
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Inscríbete en LibraryThing para averiguar si este libro te gustará. Actualmente no hay Conversaciones sobre este libro. BOF ! Un style travaillé pour épousé le style flamboyant de l'artiste Hendrix. Lui qui ne voulait jamais se répéter mais que son "ignoble producteur" l'obligea à faire, Salvayre nous l'impose tout le long de cet hymne à Hendrix. Seul bénéfice à cette lecture - je suis dur il ya quelques passages réussis à mon sens, surtout quand elle s'attache au personnage et qu'elle met de côté son flot liturgique - c'est de m'avoir fait réécouter ce guitariste hors norme. sin reseñas | añadir una reseña
"Le matin du 18 août 1969, à Woodstock, Jimi Hendrix joua un hymne américain d'une puissance quasiment insoutenable. Parce qu'il avait du sang noir et du sang cherokee mélangé de sang blanc, parce qu'il était donc toute l'Amérique, parce que la guerre au Vietnam soulevait en lui un violent mouvement de refus que toute une jeunesse partageait, parce que sa guitare était sa lady électrique, sa passion, sa maison, sa faim, sa force et qu'il en jouait avec génie, Jimi Hendrix fit de cette interprétation un événement. Revenant sur ce moment inoubliable, Lydie Salvayre tire les fils de la biographie pour réécrire la légende de Jimi, sa beauté, sa démesure, mais aussi sa part sombre, ses failles et la brutalité du système dont il était captif et qui finirait un jour par le briser."--P. [4] of cover. No se han encontrado descripciones de biblioteca. |
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J'ai été agacé par le style d'écriture : Lydie Salvayre retrouve les 17 ans qu'elle avait le 18 août 1969 et emprunte le ton d'une adolescente exaltée, "ce ton pompeux et emphatique qui chez les autres m'insupporte" avoue-t-elle dans un moment de lucidité. Cela donne probablement plus de liberté à l'auteur ; cela lui permet d'explorer la vie de Hendrix, de l'interpréter sans se brider par trop de précautions.
Elle peut ainsi broder sur la timidité d'Hendrix, hanté par le souvenir de sa mère alcoolique, marqué par la pauvreté, par sa condition de noir, exploité par son manager, tué par la fatigue et les drogues. Elle peut élever le Star Spangled Banner de Woodstock en point d'orgue de l'espoir des sixties, et exprimer sa tristesse de le voir s'effondrer face au cynisme marchand à l'orée des années 70.
Je pense tout de même que les gens qui ne sont fans ni de Hendrix ni de Lydie Salvayre pourront s'abstenir sans regret de la lecture de ce livre. ( )