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Swami Prajnanpad (1891–1974)

Autor de ABC d'une sagesse

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De l'autre côté du désespoir (1997) — Introducción, algunas ediciones12 copias

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> UN DÉSIR SINCÈRE D’ABSOLU, de Svami Prajnanpad, Frederick Leboyer, (2022, Originel Accarias, Broché, 256 pages – 18 €). — Un désir sincère d’Absolu est le leitmotiv de ces entretiens de Frédérick Leboyer. L’Absolu n’est pas aisé à capturer, le maitre propose un chemin où il n’y a ni technique, ni recette standard. Svâmi Prajnânpad utilise des formules d’une grande simplicité : soyez vous-même, voyez les choses comme elles sont. Le premier sens qui s’en dégage c’est qu’il n’y a rien à chercher ailleurs ou plus loin, qu’il faut partir de ce que l’on ressent ici et maintenant. Le travail sur l’intellect est important mais le coeur a le dernier mot. L’intellect et le coeur se rejoignent dans la conviction profonde que le but de la vie est un bonheur sans fin. Svâmi Prajnânpad propose des outils qui permettent de grandir en utilisant la vie quotidienne. Le chemin qu’il propose - celui de la connaissance - unit l’intellect, le coeur et l’action. Cet ouvrage est un document sur une recherche spirituelle vécue au jour le jour par un chercheur authentique accompagné par un maitre hors du commun.
3e millénaire, (144), Eté 2022
… (más)
 
Denunciada
Joop-le-philosophe | Oct 1, 2022 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Prajnanpad-La-Grandeur-de-lHomme--Citations-comme...
> La Lettre du Crocodile : target="_top">http://lettreducrocodile.over-blog.net/2020/07/la-grandeur-de-l-homme-par-svami-...
> Zuihô (Amazon) : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/RKD2RX78VBFKF/

> LA GRANDEUR DE L’HOMME, Citations commentées des Upanishad et histoires, par Svâmi Prajnanpad - Éditions Accarias L'Originel, 2020 - 216 pages - 18 €. — L’ouvrage, à l’initiative de Colette Roumanov, provient d’entretiens entre Swami Prajnanpad et Daniel Roumanov, l’un de ses disciples occidentaux. Les sujets abordés sont variés et fondamentaux, l’homme, Dieu, la vérité… Swamiji est à la fois scientifique, ancien professeur d’université, et védantiste, il enseigne que l’homme ne doit pas être bon mais « profond et vrai », que la libération, l’éveil à soi-même, se trouve dans la connaissance de soi, que connaître c’est être et qu’il faut être pour connaître, que pour se connaître il est souvent nécessaire de se libérer des freins constitués par les émotions refoulées (ce pourquoi il a emprunté à la psychanalyse), afin que puisse coïncider « je » avec « ce que je suis ».
À la manière indienne, outre les citations savantes tirées des Upanishads ou du bouddhisme, son propos est émaillé d’histoires vécues, tirées de la tradition ou de ses propres lectures. —Marie-José MATHIEU
Infos Yoga, (129), Nov./Déc. 2020, p. 40

> LA GRANDEUR DE L’HOMME, Citations commentées des Upanishad et histoires, de Svâmi Prajnanpad (2020, Accarias L’originel, 220 p., 18 €.). — Lire les paroles de Svami Prajnanpad (sage indien qui fut entre autres le maître de Arnaud Desjardins) constitue à chaque fois un choc, comme le son d’une cloche qui nous rappelle à l’Essentiel, au vivant. Daniel Roumanoff, qui fut disciple du svami, a conservé ses entretiens avec lui et sa femme a rendu possible cette publication en reprenant ces textes. Le plus simple ici est de citer une note de Daniel Roumanoff sur cet ouvrage : les commentaires de Svamiji dégagent trois thèmes qui reviennent continuellement : (1) la connaissance intellectuelle, celle du connaisseur des formules coupée de l’expérience, qui s’oppose à la connaissance réelle, de celui qui se connaît lui-même ; (2) connaître c’est être. Se connaître, c’est être soi-même. Non pas connaître le Soi mais revenir à soi après avoir perçu qu’il n’est pas possible de trouver à l’extérieur ce que l’on cherche ; (3) la séparation entre moi et l’autre est source de la souffrance ordinaire. Connaître, c’est annihiler cette séparation. La vraie connaissance est l’unité. » Bien sûr, ceci n’est qu’un résumé qui éclaire l’intellect. Les mots du Svami, la façon dont il parle, donne un éclairage direct, simple, la façon dont il raconte des histoires et en fait ressentir ce « plus » qui fait tinter l’amorce d'une compréhension, ses mots ouvrent un espace intérieur plus large. C’est une belle invitation à être. Nous ne pouvons que conseiller la lecture de cet ouvrage.
3ᵉ millénaire, (137), Automne 2020… (más)
 
Denunciada
Joop-le-philosophe | May 4, 2020 |
> C'est la première fois que le lecteur peut entrer directement en contact avec la pensée de ce maître authentique…
Des lettres à la foi merveilleusement personnelles et universelles…
Une grande rigueur et une impressionnante clarté.
Dernières Nouvelles d'Alsace

> Un bon livre de base pour étudier le yoga. Ecrit simple et abordable à tous.
Danieljean (Babelio)

> Rarement enseignement fut aussi net et précis…
Une lecture des plus rafraîchissantes dans le contexte pesant du monde où nous vivons.
3e Millénaire

> Ce livre fascine.
Psychologies

> Sur le bénévolat
On m'avait demandé un article sur le bénévolat et je n'avais rien produit parce que tout ce qui me venait à l'esprit sonnait beaucoup trop “prêchi-prêcha” mais voilà qu'aujourd'hui j'ai rencontré celui qui a trouvé les mots pour le dire. Il s'agit de nul autre que Rabindranath Tagore, le grand poète de l'Inde, commenté par swâmi Prajnanpad, le guru d'Arnaud Desjardins.
 “Ce que je vous ai offert
N'est rien d'autre que ce que vous m'avez donné
Car je suis endetté dans la mesure
Où vous avez accepté
Ce que je vous ai offert.”
(Rabindranath Tagore: Le dernier poème).
Commentaires de swâmi Prajnanpad:
A première vue, on a l'impression d'une contradiction: “Je vous ai donné seulement ce que j'ai reçu de vous.” En recevant on contracte une dette. (Je me suis si souvent sentie blessée par des gens qui refusaient ce que je désirais leur offrir. Je comprends maintenant leur refus.) Ce n'est pas celui qui donne qui est endetté. Alors?
L'entité individuelle, mesquine, étroite, séparée est enfermée dans sa petitesse: tout ce qu'elle sait faire c'est soutirer et exploiter. Non seulement elle prend et soutire, mais elle est emportée comme par un courant par le désir de prendre et d'obtenir. L'acte de prendre est en quelque sorte involontaire. L'entité individuelle est un acteur passif, impuissant, emporté. En fait, tous ses intérêts, tout ce qui l'attire se concentrent sur sa petitesse. Rien d'autre n'existe pour elle. Si quelque chose existe, ce n'est que pour servir ses intérêts. Elle ne connaît rien d'autre. Le mot ‘donner' n'a aucun sens pour l'individu. Quand toutefois il trouve quelqu'un qu'il ne connaît pas, qui s'approche de lui pour lui donner quelque chose et le lui donner sans rien attendre ou espérer en retour, quand il découvre que donner est si naturel pour cette personne qu'elle est prête à tous les sacrifices et même quelquefois à être blessée; que c'est en donnant que cette autre personne semble trouver son bonheur, comme si elle s'amusait avec elle-même, (c'est tout à fait ce que j'ai ressenti en commençant à fréquenter le Centre Zen sans pouvoir l'articuler aussi clairement. Tout ce que je me disais c'est que je voulais apprendre à aimer comme lui) celui qui reçoit est surpris et bouleversé, comme s'il était passé d'un seul coup à travers la barrière de son égoïsme. Alors, il pense qu'il doit donner à son tour, que bien sûr il a reçu, qu'il est satisfait et comblé. A son tour, il éprouve un sentiment d'unité avec celui qui lui a donné et il cherche à s'accomplir en donnant. Il donne après avoir reçu. Et il ne donne que ce qu'il a lui-même reçu, et par ce don il se sent racheté.
L'acte de donner ne trouve son accomplissement que s'il y a quelqu'un pour recevoir. Si une personne qui donne s'aperçoit que ce qu'elle a donné de tout son coeur est reçu de la même manière (ce qui est une marque de respect et d'estime pour l'acte de donner), celui qui a donné se sent satisfait et comblé; il se sent rempli d'une joie sans limite, car, en trouvant l'occasion de donner, il a pu se décharger d'un trop plein. Plus celui qui reçoit continue à prendre, plus la petitesse de celui qui donne se dissout (la fréquentation du Centre Zen m'aide à sortir de mon petit trou de souris et à atteindre grandeur humaine), car dans son coeur il se trouve enrichi, plein et comblé. Alors de la petitesse jaillit la plénitude, il reçoit, il est endetté.
 Car je suis endetté dans la mesure
Où vous avez accepté ce que je vous ai offert.
 Extrait de: “L'Art de Voir” Lettres à ses disciples, Tome I, de Swâmi Prajnanpad.
Zen Gong, Janine Lévesque
… (más)
 
Denunciada
Joop-le-philosophe | Sep 13, 2019 |

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