Louis Lavelle (1) (1883–1951)
Autor de The Dilemma of Narcissus
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Obras de Louis Lavelle
Du temps et de l'éternité 3 copias
La dialectique du monde sensible 1 copia
Lo spiritualismo esistenziale 1 copia
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Reseñas
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Lavelle-La-Conscience-de-soi/314813
> BAnQ (L'Action : quotidien catholique, 27 octobre 1967) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3492955
> « C'est la connaissance
qui nous découvre nos maux intérieurs ;
c'est elle qui nous permet
de les guérir.
Mais pour se connaître,
il faut être sans amour-propre
et sans honneur comme
le malade devant le médecin …
Ainsi le “connais-toi toi-même” n est pas seulement la science de toi-même ; il est
aussi la science de la vérité ou de Dieu. »
—Louis Lavelle, La Conscience de soi, Grasset, 1933, p. 161.
> « Le “connais-toi toi-même” n’est pas seulement la science de toi-même ;
il est aussi la science de la vérité ou de Dieu. »
—Louis Lavelle, La Conscience de soi, Grasset, 1933
> « L’amour-propre nous fait sentir douloureusement nos limites tandis que l’amour
nous porte toujours au-delà.
Mais il se poursuit un perpétuel débat entre l’amour et l’amour-propre ;
et ces deux contraires ont souvent le même commencement.
L’amour excite d’abord l’amour-propre ; et même on peut dire qu’il le développe
jusqu’au moment où il le fait éclater où il le détruit. »
—Louis Lavelle, La Conscience de soi, Grasset, 1933… (más)
> BAnQ (L'Action : quotidien catholique, 27 octobre 1967) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3492955
> « C'est la connaissance
qui nous découvre nos maux intérieurs ;
c'est elle qui nous permet
de les guérir.
Mais pour se connaître,
il faut être sans amour-propre
et sans honneur comme
le malade devant le médecin …
Ainsi le “connais-toi toi-même” n est pas seulement la science de toi-même ; il est
aussi la science de la vérité ou de Dieu. »
—Louis Lavelle, La Conscience de soi, Grasset, 1933, p. 161.
> « Le “connais-toi toi-même” n’est pas seulement la science de toi-même ;
il est aussi la science de la vérité ou de Dieu. »
—Louis Lavelle, La Conscience de soi, Grasset, 1933
> « L’amour-propre nous fait sentir douloureusement nos limites tandis que l’amour
nous porte toujours au-delà.
Mais il se poursuit un perpétuel débat entre l’amour et l’amour-propre ;
et ces deux contraires ont souvent le même commencement.
L’amour excite d’abord l’amour-propre ; et même on peut dire qu’il le développe
jusqu’au moment où il le fait éclater où il le détruit. »
—Louis Lavelle, La Conscience de soi, Grasset, 1933… (más)
> Verdeau Patricia. Louis Lavelle, L'Erreur de Narcisse, coll. « Félin en poche », Préface de Jean-Louis Vieillard-Baron ;
Id., Le Moi et son destin, coll. « Félin en poche », Préface de Jean-Louis Vieillard-Baron.
In: Revue Philosophique de la France et de l'Étranger, T. 206, No. 4, THÉODULE RIBOT (OCTOBRE-DÉCEMBRE 2016), pp. 621-622. … ; (en ligne),
URL : https://www.jstor.org/stable/44646820
> Études (revue) : https://www.revue-etudes.com/article/l-erreur-de-narcisse-16872
> Extrait
In: L. Lavelle, L'Erreur de Narcisse, Paris, 1939, p. 111.
« Il y a une indifférence qui est sainte : c'est celle qui consiste à ne point faire de préférence entre les êtres qui sont sur notre chemin, à leur donner à tous notre présence tout entière, à répondre avec une exacte fidélité à l'appel qu'ils nous font. Telle est l'indifférence positive, qui est l'inverse de l'indifférence négative avec laquelle on la confond souvent : elle nous demande seulement de réserver à tous le même accueil lumineux. Il faut que nous tenions entre eux la balance égale : qu'il n'y ait en nous ni préjugé, ni prédilection qui incline le fléau. Alors, dans notre conduite à leur égard, nous devenons capables d'introduire les plus subtiles différences, mais en donnant à chacun ce qu'il attend, ce qu’il demande et ce qui lui convient. La justice la plus parfaite se confond ici avec l'amour le plus pur, dont on ne saurait dire s'il abolit toute élection ou s'il est partout le même amour d'élection.
Nous savons bien que " ne pas faire de différence " c'est la même chose qu'être juste; c'est donc appliquer à tous la même règle sans introduire dans nos jugements aucune exception ou aucune faveur. C'est se placer au point de vue de Dieu qui enveloppe tous les êtres dans la simplicité d'un même regard. Mais ce regard est le contraire même d'un regard insensible, c'est un regard d'amour qui distingue dans chaque être particulier juste ce dont il a besoin, les paroles qui le touchent et le traitement qu'il mérite. »
*Source : La Citadelle Intérieure de Pierre HADOT, Fayard (1992), 386 pages… (más)
Id., Le Moi et son destin, coll. « Félin en poche », Préface de Jean-Louis Vieillard-Baron.
In: Revue Philosophique de la France et de l'Étranger, T. 206, No. 4, THÉODULE RIBOT (OCTOBRE-DÉCEMBRE 2016), pp. 621-622. … ; (en ligne),
URL : https://www.jstor.org/stable/44646820
> Études (revue) : https://www.revue-etudes.com/article/l-erreur-de-narcisse-16872
> Extrait
In: L. Lavelle, L'Erreur de Narcisse, Paris, 1939, p. 111.
« Il y a une indifférence qui est sainte : c'est celle qui consiste à ne point faire de préférence entre les êtres qui sont sur notre chemin, à leur donner à tous notre présence tout entière, à répondre avec une exacte fidélité à l'appel qu'ils nous font. Telle est l'indifférence positive, qui est l'inverse de l'indifférence négative avec laquelle on la confond souvent : elle nous demande seulement de réserver à tous le même accueil lumineux. Il faut que nous tenions entre eux la balance égale : qu'il n'y ait en nous ni préjugé, ni prédilection qui incline le fléau. Alors, dans notre conduite à leur égard, nous devenons capables d'introduire les plus subtiles différences, mais en donnant à chacun ce qu'il attend, ce qu’il demande et ce qui lui convient. La justice la plus parfaite se confond ici avec l'amour le plus pur, dont on ne saurait dire s'il abolit toute élection ou s'il est partout le même amour d'élection.
Nous savons bien que " ne pas faire de différence " c'est la même chose qu'être juste; c'est donc appliquer à tous la même règle sans introduire dans nos jugements aucune exception ou aucune faveur. C'est se placer au point de vue de Dieu qui enveloppe tous les êtres dans la simplicité d'un même regard. Mais ce regard est le contraire même d'un regard insensible, c'est un regard d'amour qui distingue dans chaque être particulier juste ce dont il a besoin, les paroles qui le touchent et le traitement qu'il mérite. »
*Source : La Citadelle Intérieure de Pierre HADOT, Fayard (1992), 386 pages… (más)
> Le Moi et son Destin, par Louis Lavelle. Un vol. in-16, 131 p. Aubier, 1936.
In: Revue de Métaphysique et de Morale, T. 45, No. 1 (Janvier 1938), p. 3. … ; (en ligne),
URL : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k113305/f3.item
> Jacques J. Louis Lavelle, Le moi et son destin.
In: Revue néo-scolastique de philosophie. 40ᵉ année, Deuxième série, n°54, 1937. pp. 307-308. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1937_num_40_54_3036_t1_0307_0000_2
> Patricia Verdeau. Louis Lavelle, Le Moi et son destin, coll. « Félin en poche », Préface de Jean-Louis Vieillard-Baron ;
Id., L'Erreur de Narcisse, coll. « Félin en poche », Préface de Jean-Louis Vieillard-Baron.
In: Revue Philosophique de la France et de l'Étranger, T. 206, No. 4, THÉODULE RIBOT (OCTOBRE-DÉCEMBRE 2016), pp. 621-622. … ; (en ligne),
URL : https://www.jstor.org/stable/44646820… (más)
In: Revue de Métaphysique et de Morale, T. 45, No. 1 (Janvier 1938), p. 3. … ; (en ligne),
URL : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k113305/f3.item
> Jacques J. Louis Lavelle, Le moi et son destin.
In: Revue néo-scolastique de philosophie. 40ᵉ année, Deuxième série, n°54, 1937. pp. 307-308. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1937_num_40_54_3036_t1_0307_0000_2
> Patricia Verdeau. Louis Lavelle, Le Moi et son destin, coll. « Félin en poche », Préface de Jean-Louis Vieillard-Baron ;
Id., L'Erreur de Narcisse, coll. « Félin en poche », Préface de Jean-Louis Vieillard-Baron.
In: Revue Philosophique de la France et de l'Étranger, T. 206, No. 4, THÉODULE RIBOT (OCTOBRE-DÉCEMBRE 2016), pp. 621-622. … ; (en ligne),
URL : https://www.jstor.org/stable/44646820… (más)
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- ISBNs
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- 5
> Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3356962r
> CONDUITE A L'EGARD D'AUTRUI, de Louis Lavelle — CE qui marque nos rapports avec autrui c'est surtout une recherche patiente et obstinée de l'amitié chez l'autre. Cette recherche demande un effort de création : faire naître chez l'autre l'homme qu'il doit être. Après des considérations psychologiques, Lavelle conclut sur le plan religieux : le saint n'est pas celui qui se sauve lui-même, mais qui sauve les autres. (Albin-Michel, 240 p., 18 à 20 ans)
—Le bien public, 7 mai 1965… (más)