Imagen del autor

Alice FerneyReseñas

Autor de The Lovers

14 Obras 483 Miembros 25 Reseñas

Reseñas

Francés (20)  Inglés (3)  Catalán (1)  Holandés (1)  Todos los idiomas (25)
Mostrando 25 de 25
Una petita meravella, la història d'una bibliotecària que s'acosta a un assentament gitano i cada setmana puntualment va a explicar contes als nens, de mica en mica estableix un vincle amb tots els membres del clan: amb les mares dels nens i nenes i amb l'àvia que és qui representa la cap del matriarcat, les relacions amb els homes són més distants però no per això menys importants. Un relat sense concessions, real i directe, l'Esther observa la seva vida, no els demana explicacions ni pretèn alliçonar-los, però en algunes ocasions intervé quan la relació ja és del tot consolidada.½
 
Denunciada
Nuriagarciaturu | 5 reseñas más. | Aug 29, 2019 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Ferney-Le-Regne-du-vivant/622084

> LE RÈGNE DU VIVANT, par Alice Ferney (Babel, 2016, Poche, 205 pages). — Aiguillonné par la curiosité, et très vite porté par l’admiration, un journaliste norvégien s’embarque sur l’Arrowhead avec une poignée de militants s’opposant activement à la pêche illégale en zone protégée. À leur tête, Magnus Wallace, figure héroïque et charismatique qui lutte avec des moyens dérisoires – mais un redoutable sens de la communication – contre le pillage organisé des richesses de la mer et le massacre de la faune.
Retraçant les étapes de cette insurrection singulière, témoignant des discours et des valeurs qui la fondent, Alice Ferney s’empare d’un sujet aussi urgent qu’universel pour célébrer la beauté souveraine du monde marin et les vertus de l’engagement. Alors que l’homme étend sur les océans son emprise prédatrice, Le Règne du vivant questionne le devenir de “cette Terre que nous empruntons à nos enfants” et rend hommage à la dissidence nécessaire, face au cynisme organisé.
Johnny Gimenez (Culturebox)

> LE RÈGNE DU VIVANT, par Alice Ferney (Babel, 2016, Poche, 205 pages). — S'inspirant de l'histoire de Sea Shepeard, l'auteure raconte à travers le récit d'un caméraman, l'épopée du leader d'un mouvement dissident, ici Magnus Wallace. De quoi aborder pas mal de questions autour de la souffrance animale, de l'équilibre de la biosphère, des risques de dérèglement de la planète, du végétarisme et des stratégies des mouvements écologistes plus ou moins radicaux… Appuyer un récit romancé sur une réalité militante est un exercice toujours délicat. Alice Ferney le réussit plutôt bien. FV.
Revue Silence, janv. 2015
 
Denunciada
Joop-le-philosophe | otra reseña | Dec 29, 2018 |
Postulat de départ très intéressant, consistant à regarder le vécu des générations successives d'une famille, à la lumière du contexte historique et social de leur époque. A la longue on peut cependant se lasser et s'agacer de ce tableau détaillé à l'extrême de la vie de cette famille de grands bourgeois catholiques, au sein de laquelle finalement, - quoiqu'il en soit de l'évolution de la société autour d'eux, - on ne perçoit que d'infimes changements, à la marge.½
 
Denunciada
sylvjt | otra reseña | Jan 18, 2018 |
Ce roman sur une famille française est un prétexte pour revisiter l'histoire de la France au 20 ème siècle. Au travers de cette famille Bourgeois, 10 enfants, des convictions nationales et chrétiennes, nous revivons la deuxième guerre mondiale, celle d'Indochine et d'Algérie, les modes de vie de l'époque, la condition de la femme, la place de la religion dans les familles bourgeoises, la vie d'une famille nombreuses.
Plus un récit, une réflexion sur notre société qu'un roman à proprement dit, ce livre est passionnant pour celui qui souhaite avoir une vue d'ensemble sur la France de 1919 à aujourd'hui.½
 
Denunciada
coriala | otra reseña | Nov 18, 2017 |
Un bijou, une pure merveille que ce roman. Une bibliothécaire acharnée va tisser un lien sensible et respectueux avec plusieurs familles de gitans qui vivent en campement dans un décors de banlieue. C'est par le livre et la lecture qu'elle va les approcher, se faire railler puis respecter, entrer dans leur intimité, toucher la grâce de l'humain. Que du bonheur !
 
Denunciada
fiestalire | 5 reseñas más. | Jan 1, 2017 |
Je reviens vers ce roman pour une 2e lecture, je l'avais déjà lu il y a environ 5 ans. Et je l'apprécie plus cette fois_ci : c'est un plongeon magnifique, qui m'a beaucoup touché, dans la psychologie féminine de femmes de la bourgeoisie du début du 20e siècle, qui se marient par tradition, épousent des hommes qui les aiment mais les délaissent souvent, qui sont souvent odieux, enfantent beaucoup, affrontent la maladie des enfants, des mères, des proches, tiennent contre vents et marées car elles savent que tout reposent sur elles, font preuve d'une abnégation émouvante, se transmettent de mère en fille ce rôle que la société leur réserve et qu'elles ne songent nullement à remettre en cause.
Un roman qui aurait pu être ennuyeux mais qui, narré à la 3e personne, permet un recul par rapport à ce déroulement sans fin de vie monotones répétées et nous permet d'entrer, nous lecteur, dans la finesse critique de l'auteur qui dépeint à merveille ces femmes qui se ressemblent tant de générations en générations.
Magnifiquement écrit.½
 
Denunciada
fiestalire | 4 reseñas más. | Jan 13, 2016 |
Un reporter filme et suit dans ses campagnes en mer le militant Magnus Wallace, fondateur de Gaïa et à l'origine du mouvement écologique Noé, aujourd'hui politisé et contre les actions de Magnus. En effet, Magnus Wallace ne supporte pas de voir une baleine ou un requin tués illégalement dans les sanctuaires comme les Galapagos. Il intervient de façon ferme mais pacifique, toujours pour faire respecter la loi. Cela dérange les dirigeants de Noé... Quelques extraits intéressants : page 37 " 400 zones marines sont déclarées mortes. Les grands prédateurs disparaissent. Nous léguons à nos enfants un océan où des modèles réduits n'ont pas le temps de grandir. Les espèces protégées ne le sont qu'en théorie. La pêche pirate est si gigantesque et profitable que l'extinction est une affaire de quelques années. Le poisson n'est plus l'être vivant universel du globe, éternel dans toutes les eaux. L'infini ou l'inépuisable sont des idées fausses qu'il faut de tout urgence nous ôter de la tête". Page 103 : " Voilà ce qu'il faut dire à tous les parents : vos enfants savent que l'écologie est le sujet primordial concernant leur avenir. Si vous vous en moquez, ils jugeront que cette omission est grave et que vous êtes responsables du monde détruit qu'ils ont trouvé". A cheval entre fiction et documentaire, ce roman parle en fait d'une personne bien réelle : Paul Watson et de son Sea Sheperd Conservation Society. A lire absolument !
 
Denunciada
COSTE | otra reseña | Oct 5, 2015 |
Quel plongeon magnifique dans les subtilités de la psychologie humaine et plus particulièrement de la psychologie du couple. Un jeu de miroir permanent entre ce couple peut être en déliquescence - le mari de l'héroïne Elsa Platte vient de quitter le domicile conjugal) et le film de Mankiewicz "Chaînes conjugales". Elsa va revoir pour la nième fois ce film qu'elle connaît par coeur et qui lui permet de son plonger dans cette atmosphère passionnelle qui peut être la sauvera de cette dérive infernale.
Un TRES beau roman !½
 
Denunciada
fiestalire | Mar 21, 2014 |
livre très émouvant, aborde le deuil
 
Denunciada
fortipichon | 4 reseñas más. | Feb 6, 2014 |
 
Denunciada
mediathequecastillon | 5 reseñas más. | Sep 15, 2011 |
Une lignée bourgeoise au travers de l'histoire qui ne tient qu'un rôle très lointain mais qui a des impacts très forts puisqu'elle fait mourir les hommes jeunes et quand ce n'est pas la guerre c'est la maladie. Des événements que femmes et enfants subissent et survivent avec une énergie de vivre et de se reproduire qui n'est pas plus analysée, pas plus remise en cause, mais juste subie comme tout le reste. Un sentiment de fatalité qui était peut-être celui de nos ancêtre alors que le choix que nous avons de la procréation nous donne une autre vision de monde et de notre humanité?
 
Denunciada
Domdupuis | 4 reseñas más. | Jul 9, 2011 |
Een jonge vrouw ervaart dat een dubbele liefde - voor haar echtgenoot en voor een wat oudere man - mogelijk is en onontkoombaar is½
 
Denunciada
huizenga | 4 reseñas más. | Jul 26, 2010 |
This book is about Angelina, a gypsy matriarch of a clan living in France, her children and grandchildren, and Esther, the outsider who brings books and reads to Angelina's grandchildren. I found this a difficult book to read. It is always difficult to be faced with the realities of racism and poverty and the structural factors that maintain them. The character of Esther challenged me to accept the gypsies in their lives -- in their poverty and their struggles, even as the social worker in me railed against the conditions that kept them that way. But in the end, I found it a brilliant portrayal, although an uneasy one. Yes, they lived in dehumanizing conditions. But in all that, we got to see how they carried on, how they endured, how they loved, and how they found meaning -- or not -- in those lives.
 
Denunciada
silviastraka | 5 reseñas más. | Jul 23, 2010 |
Bon j'exagère peut-être mon "adoration pour cet écrivain" mais dans ce livre, tout le monde s'y retrouve. Cet auteur à l'art de vous faire croire qu'elle écrit votre vie, celles de vos amis. C'est du quotidien, mais c'est si bien écrit qu'on se projette dans l'histoire de la 1ère page à la dernière. Merci Alice Ferney!
 
Denunciada
CFons | 4 reseñas más. | Oct 10, 2009 |
J'ai déjà du le dire, j'adore Alice Ferney. Ce livre est dédié aux femmes, aux filles, aux mères et grands mères. Lisez le!
 
Denunciada
CFons | 4 reseñas más. | Oct 10, 2009 |
Bon je ne peux pas le cacher, j'adore Alice Ferney. C'est bien écrit, c'est profond, elle parle des autres et de nous. Dans ce livre elle nous fait découvrir la vie des gens du voyage si éloignée de la notre. J'ai commencé à lire "Alice Ferney" avec Grâce et Dénuement", j'ai enchaîné sur ses autres titres, j'espère que vous aussi vous serez conquis.
 
Denunciada
CFons | 5 reseñas más. | Oct 10, 2009 |
Une jeune femme mariée, Pauline Arnoult, se laisse draguer par un homme, marié lui aussi. Mais cette relation ne devient jamais ce que l'on croit... A travers elle, c'est le couple dans sa fragilité qu'étudie Alice Ferney.

Comme je l'ai déjà signalé ailleurs, j'avais beaucoup aimé 'Grâce et dénuement', du même auteur (1997), et nettement moins 'Les autres' (2006). Je placerais 'La conversation amoureuse' entre les deux : un style qui se rapproche plus des 'Autres' que de 'Grâce et dénuement', de même que la préoccupation, très intimiste et moins « sociale » ; mais un propos beaucoup plus libre, fluide et naturel que l'intellectualisme des 'Autres'. A l'actif de l'auteur, je mettrais son intérêt humain, et surtout l'extraordinaire sensibilité, finesse et fluidité de son style, qui non seulement sert mais porte les transformations constantes de la relation amoureuse. Signalons également son sens de la construction formelle, qui nous mène d'une main sûre jusqu'à la conclusion. Par ailleurs, j'apprécie également que cette fin soit si ouverte et peu prévisible — ouverte comme la vie elle-même, et tout aussi satisfaisante/frustrante que cette dernière.
Au passif, s'il en faut... J'avoue avoir eu du mal à démarrer : à force de faire dans le détail, on peut parfois lasser le lecteur, qui prendra facilement deux remarques parallèles pour une répétition. De plus, je ne suis pas sûre que le sujet lui-même (comment ces deux personnages, ainsi qu'un certain nombre d'autres couples à l'arrière-plan, se voient-ils, se comprennent-ils, se méprennent-ils mutuellement), que ce sujet m'intéresse suffisamment pour y consacrer près de 500 pages, et plusieurs jours de lecture... Pourquoi le terme « frivolité » me vient-il à l'esprit ? Cela dit, je me suis laissée emporter, et avec plaisir.
 
Denunciada
ccf | 4 reseñas más. | Jul 23, 2009 |
J'avais beaucoup aimé Grâce et dénuement, du même auteur (1997), raison pour laquelle je me suis procuré celui-ci, qui m'a déçue. Je reconnais bien la sensibilité de l'auteur, son intelligence des personnages, la force et la fluidité poétique de son style. Pourtant je trouve que, du point de vue formel, ce roman n'est pas réussi.
1 vota
Denunciada
ccf | 3 reseñas más. | Jun 9, 2009 |
Je cite les dernières lignes de la 4e de couverture du livre :
"Evoquant les liens de la fratrie, de l'amitié ou de l'amour naissant. Les Autres est aux relations affectives ce que la Conversation amoureuse est à l'amour : un accomplissement romanesque d'une remarque maîtrise polyphonique"

C'est tellement bien dit que ça me coupe les moyens ! :)

Alice Ferney est une romancière de la peinture psychologique très littéraire, qui n'est pas sans rappeler certains auteurs du XIXe siècle.
J'en ai lu trois dans la foulée et je compte bien en lire d'autres !! c'est d'une grande richesse pour comprendre son moi, son image, son regard et les autres.....
 
Denunciada
Delphinebr | 3 reseñas más. | Nov 23, 2008 |
Un court livre très fort, qui nous plonge dans l'univers d'une famille traversée par les guerres mondiales, avec fracas. De nombreuses naissances suivies de nombreux décès.
Un cycle infernal, poignant, accablant supporté par le renoncement courageux des veuves.
 
Denunciada
Delphinebr | 4 reseñas más. | Nov 23, 2008 |
ça se lit comme une conversation, un véritable dialogue intérieur s'instaure à la lecture de ce livre, toutes les pensées intérieures les plus intimes, les plus fugaces sont décrites avec une grande précision, dans un tourbillon de mots, très vivant !

Un livre sur les sentiments sans gnan-gnan....

l'hisoire se déroule autour d'une relation adultère entre une jeune femme bien comme il faut, mariée et nouvellement enceinte et un homme rencontré à la sortie de l'école, un charmeur qui sait la séduire : le jeu de la séduction, les attitudes qui en découlent, la surprise, l'étonnement, la coquetterie, l'accalmie, la culpabilité... les trente-six questions qu'on peut se poser à un rendez-vous galant.
Et il y a la vie au delà de cette conversation, on rencontre d'autres personnages au cours d'un moment intense du roman, puisque nos deux protagonistes se rendent à une réunion amicale au cours leur première rencontre clandestine. Des couples jeunes, âgés, avec ou sans problèmes : une photographie des apparences, des impressions des personnages et ce qu'ils ressentent au fond.
Une peinture psychologique très fine, accaparante, parfois même bouleversante....
 
Denunciada
Delphinebr | 4 reseñas más. | Nov 23, 2008 |
J'ai lu ce livre au moment de mon dernier grand feu d'artifice hormonal et cela m'a aide à me comprendre.
 
Denunciada
shantisdottir | 4 reseñas más. | Jan 17, 2008 |
Quand un jeu de société devient dévastateur! Le regard, le jugement sévère de l'autre sur nous, le décalage entre ce que nous croyons être et la vision que les autres ont de nous! Les relations familiales, amicales pourront-elles résister...
Alice Ferney I love You!
 
Denunciada
lenasouslefiguier | 3 reseñas más. | Mar 5, 2007 |
Un livre très attachant. Je crois, comme cette bibliothécaire, que par la lecture, on peut beaucoup.
Les gitans, un monde dur, fier, qui paye cher sa liberté!
Que d'humanité!
 
Denunciada
lenasouslefiguier | 5 reseñas más. | Mar 5, 2007 |
Etonnante plongée dans l'esprit humain que nous propose Alice Ferney avec ces 'Autres'. Tout commence avec un jeu offert pour un vingtième anniversaire : 'Personnages et Caractère', ou comment percer au jour ce que nous sommes aux yeux des autres, ce que nous pensons d'eux et ce qu'ils croient qu'il renvoient. Un jeu, oui, mais un jeu de massacre des sentiments, des amitiés et des amours. L'occasion pour une famille de laisser exploser ses rancoeurs et ses peines, ses douleurs enfouies et ses sentiments inavouables. Tous profondément différents, tous loin de l'images qu'ils se font d'eux-mêmes, les participants vont se dévoiler, au travers des mots, devant le miroir de leur âme et le regard des autres.
En trois temps, celui de la pensée intérieure, celui des mots dits, et celui des propos rapportés, Alice Ferney divise le cours du jeu, pour mieux recomposer les caractères de ces personnalités riches et touchantes. De la grand-mère qui se meurt à la mère courageuse et admirable d'abnégation, du fils aimé et aimant à son frère cynique et fier, des amies bafouées aux fiancées mal-aimées. Un éventail dans lequel chacun pourra retrouver, ou croire retrouver, ses propres 'autres'.
Avec son regard compatissant, ses réflexions troublantes de vérité, Alice Ferney touche au coeur. Elle livre un huis clos captivant, simplement humain, honnête et bouleversant. Certes, les susceptibilités sont exacerbées et les réactions parfois trop emportées. La seconde partie du roman est un peu trop théâtrale, et la troisième n'apporte plus vraiment d'éclairage nouveau. Pourtant les dons de magicienne des mots de l'auteur font merveille, et la première partie des 'Autres', petit bijou à elle toute seule, vaut incontestablement le détour. Si la répétition des scènes peut lasser, elle donne avant tout à cette oeuvre une vraie originalité et une identité littéraire forte. Un roman rare autant qu'un précis d' être-aux-autres vrai et sensible.
Thomas Flamerion
 
Denunciada
lilacgrace | 3 reseñas más. | Dec 11, 2006 |
Mostrando 25 de 25