Georges AbolinReseñas

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Deux tomes manifestement liés et pourtant si différents... Le premier volume raconte l'histoire de quatre enfants sans qu'on sache trop ce qui les rapproche, à la manière d’un Pagnol (des étrangers mal accueillis par un petit village du bord de la Méditerranée). Le second dérive à la lisière du fantastique. Où le regard ne porte pas est, dès le départ, un titre pour le moins énigmatique qui livrera son secret dans son second et dernier tome. On est tout de suite captivé par le vertige d'une couverture qui ne laisse rien filtrer du contenu du récit. Le charme commence à opérer et déjà vous pouvez entendre le roulis des vagues... ou bien ne serait-ce que le bruissement des pages ?
Le dessin d'Olivier Pont est élégant et expressif. Les personnages possèdent de ces traits qui marquent le lecteur ; fermés et secs lorsqu'ils dépeignent Marallo, jovials et ronds quand ils appartiennent au père de William.
Les décors sont aussi l'un des points forts de cet album. Certaines pauses, contemplatives, permettent au lecteur de s'attarder un instant au niveau d'une coccinelle sur son brin d'herbe. Pont introduit ici une sorte de respiration graphique qui s'accorde parfaitement avec la douce torpeur du récit. Les nuances de bleu et de grès sont stupéfiantes. A travers l'amitié qui liait les enfants dans un petit village d'Italie en 1906, le tome 1 était tour à tour drôle, émouvant, et incroyablement triste. Dans le second tome, on retrouve donc William, Lisa, Nino et Paolo vingt ans plus tard, réunis au Costa Rica à la demande de Lisa, qui vient de faire une fausse couche et demande à ses amis de l'aider à
retrouver son compagnon. Les quatre amis voyagent dans la jungle et le passé afin de retrouver cet homme disparu qui est la clé de tout. Le thème central des vies antérieures apporte une gravité tout juste effleurée auparavant. Devenus adultes, Paolo, William, Lisa et Nino prendront conscience de ce lien indéfectible qui les unit à travers le temps. Ce qui n'était qu'un jeu deviendra alors une véritable quête de sens.

Deux tomes manifestement liés et pourtant si différents... Le premier volume raconte l'histoire de quatre enfants sans qu'on sache trop ce qui les rapproche, à la manière d’un Pagnol (des étrangers mal accueillis par un petit village du bord de la Méditerranée). Le second dérive à la lisière du fantastique. Où le regard ne porte pas est, dès le départ, un titre pour le moins énigmatique qui livrera son secret dans son second et dernier tome. On est tout de suite captivé par le vertige d'une couverture qui ne laisse rien filtrer du contenu du récit. Le charme commence à opérer et déjà vous pouvez entendre le roulis des vagues... ou bien ne serait-ce que le bruissement des pages ?
Le dessin d'Olivier Pont est élégant et expressif. Les personnages possèdent de ces traits qui marquent le lecteur ; fermés et secs lorsqu'ils dépeignent Marallo, jovials et ronds quand ils appartiennent au père de William.
Les décors sont aussi l'un des points forts de cet album. Certaines pauses, contemplatives, permettent au lecteur de s'attarder un instant au niveau d'une coccinelle sur son brin d'herbe. Pont introduit ici une sorte de respiration graphique qui s'accorde parfaitement avec la douce torpeur du récit. Les nuances de bleu et de grès sont stupéfiantes. A travers l'amitié qui liait les enfants dans un petit village d'Italie en 1906, le tome 1 était tour à tour drôle, émouvant, et incroyablement triste. Dans le second tome, on retrouve donc William, Lisa, Nino et Paolo vingt ans plus tard, réunis au Costa Rica à la demande de Lisa, qui vient de faire une fausse couche et demande à ses amis de l'aider à
retrouver son compagnon. Les quatre amis voyagent dans la jungle et le passé afin de retrouver cet homme disparu qui est la clé de tout. Le thème central des vies antérieures apporte une gravité tout juste effleurée auparavant. Devenus adultes, Paolo, William, Lisa et Nino prendront conscience de ce lien indéfectible qui les unit à travers le temps. Ce qui n'était qu'un jeu deviendra alors une véritable quête de sens.

Une belle histoire, en deux tomes, qui nous entraîne en Italie, en compagnie de quatre jeunes adolescents, dont l'un, William, tout fraîchement arrivé de Londres, qu'il a quitté avec sa famille pour venir s'installer dans ce petit village de Barrelito où ils ont hérité d'une vieille maison et où son père souhaite se lancer dans la pêche maritime à grande échelle. Mais c'est sans compter sur l'hostilité des habitants, eux-mêmes petits pêcheurs, qui voient d'un très mauvais l'installation de ces étrangers.
Dans ce groupe de 4 jeunes, il y a Lisa, jeune fille mystérieuse et attirante, dotée d'étranges pouvoirs, qui entraîne ses compères dans des séances hallucinatoires où ils sont confrontés à d'étranges visions.
Le 2e tome, 20 ans plus tard. Les compagnons s'étaient un peu perdus de vue mais vont être rassemblés à nouveau autour de Lisa, qui vient d'être quittée par son compagnon, parti brusquement au Costa Rica et qu'elle veut retrouver à tous prix. Elle les entraîne alors dans la jungle Costa-ricaine, il sont heureux de se retrouver, et vont découvrir à leur insu la réponse à leurs étranges visions d'autrefois.
Très beaux dessins et couleurs.
Pas adapté au collège.½

Vier kinderen ontmoeten elkaar op het strand bij een Italiaans dorpje. William, Lisa, Paolo en Nino worden afscheidelijke vrienden; Maar Lisa heeft een geheim. Twintig jaar later ontmoeten ze elkaar opnieuw en wordt het geheim van Lis onthult. Mooi dromerig verhaal over onschyuldige kinderjaren, natuur, liefde, vriendschap.

Un beau dessin mais une histoire qui m’a laissé assez indifférente. J’ai eu du mal à aller jusqu’au bout. Bof. Il faut dire que je n’ai pas lu le tome 1.

Acheté un peu par hasard. Une très bonne surprise.