Louise Tremblay-D'EssiambreReseñas

Agnès va enseigner dans un rang à St-Clément-des-Laurentides. Pas d’électricité ni eau courante mais elle s’adapte bien et décide de repousser son mariage d’un an pour enseigner au village½

Histoires des familles O’Galliger dans un manoir et Lachance moins riches½

> Voici le neuvième des douze tomes qui constitueront la série Mémoires d'un quartier et qui raconte la vie de la famille Lacaille. Antoine doute de son talent de peintre et ne sait que faire chaque fois qu'il croise sa voisine, une musicienne qui s'appelle Anne. Pour oublier ses tourments, il décide d'aller en Europe et sa soeur Laura profite de l'occasion pour convaincre sa mère de la laisser entreprendre le voyage avec lui. Évangéline, elle, s'inquiète pour la santé de sa petite-fille Michelle, et Bernadette est bouleversée d'avoir revu son amant, Adrien. Quant à Marcel, il se préoccupe encore et toujours de son épicerie et de la compétition que pourraient lui livre les grandes chaînes. La suite en novembre avec Évangéline.
—Didier Fessou, Le Soleil

Après le feu de sa maison, Jacquelin (cordonnier) décide d’aller travailler sur un chantier et revient blessé après être devenu draveur

Comme pour les autres tomes, c'est toute la famille qui est racontée Et finalement, c'est Blanche qui a la clé : celle de sa maladie, celle de son comportement qui a tracé le destin de ses filles. Mais c'est à la fin qu'on le comprend. Alors on peut peut-être lui pardonner ce qu'elle leur a fait subir.

Même si les titres laissent penser qu'une des sœurs aura la 1ère place, c'est la famille tout entière qui es racontée

Les sœurs Deblois, la suite... Toujours aussi fascinante la famille Deblois.

Tout autant que l'histoire de Charlotte, c'est celle de sa famille, dominée par la maladie de sa mère. Maladie complexe, hypochondrie teintée d'un syndrome de Münchhausen et plus grave encore un syndrome de Münchhausen par procuration, accompagnés de dépression, d'alcoolisme, de folie même, peut-être.

j'aime toujours autant

arrivée là, j'en ai eu un peu assez des redites concernant les personnages.½

Aussi bien que les précédents

plus je lis la série et plus j'adore. Ce sont des histoires de gens ordinaires et/ou extraordinaires. C'est la vie de tous les jours qui est racontée et on ne s'ennuie pas une seconde.

La suite, évidemment, où l'on révèle quelques secrets, où l'on voit les enfants grandir.

Des familles d'un quartier modeste du Québec, leur vie quotidienne, l'oncle qui revient des USA...
Un vocabulaire qui n'est pas toujours simple pour des Français de France et pourtant, il y en a une partie qui ressemble à mon patois.
J'adore

Une saga en milieu populaire à Montréal dans les années 50. C'est distrayant, intéressant pour la "couleur locale" et l'époque, mais le style est vraiment mauvais : passages interminables, redites, rebondissements téléphonés, envolées lyriques à la gomme, ...