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Joao Ricardo Pedro

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Sobre El Autor

Obras de Joao Ricardo Pedro

Etiquetado

Conocimiento común

Fecha de nacimiento
1973-08-18
Género
male
Lugar de nacimiento
Reboleira, Amadora, Portugal

Miembros

Reseñas

> LE CHOIX DES LIBRAIRES :
Erik Fitoussi recommande ce livre au micro d'Augustin Trapenard, dans Le Carnet du libraire, sur France Culture, en partenariat avec Lechoixdeslibraires.com
La revue de presse : Alain Nicolas - L'Humanité du 22 août 2013
Le jour où Celestino disparaît est celui où le Portugal, dans la stupeur, apprend ce qu'on appellera un jour la «révolution des oeillets». Il y a forcément un rapport. Le premier roman de Joao Ricardo Pedro, publié l'an dernier, et qui a consacré son auteur comme une des nouvelles grandes voix de la littérature lusophone, pourrait se lire comme une manière de différer indéfiniment la réponse à cette question, tout en y répondant, de fait, par une remontée dans quarante années de mémoire familiale et d'histoire nationale.
Et le lecteur, définitivement envoûté par le diabolique Joao Ricardo Pedro, de se cramponner au livre en courant jusqu'à la fin, en espérant que lui sera longtemps conservé le plaisir de l'attente.
La revue de presse : Gilles Heuré - Télérama du 2 octobre 2013
João Ricardo Pedro (né en 1973) signe ici un superbe premier roman, charnel et profond, où les péripéties des guerres et de la politique marquent les hommes, les font avancer ou les enterrent dans le silence des vies oubliées.
La revue de presse : Claire Devarrieux - Libération du 31 octobre 2013
On dirait le Sud. Le début de la Main de Joseph Castorp, premier roman du Portugais João Ricardo Pedro, littérairement, rend un son familier. Sur le ton de la chronique, «un petit village au nom de mammifère, coincé au pied de la montagne de Cardunha» vaque à ses affaires de village, cependant que la patrie vire de bord. Les militaires font tomber le gouvernement de Marcelo Caetano. Nous sommes le 25 avril 1974, les événements passeront à la postérité sous le nom de Révolution des oeillets. Dans la noble demeure du docteur Augusto Mendes, on s'intéresse à la politique, en termes imagés…
En réalité, João Ricardo Pedro a une manière de nous faire perdre le nord qui n'appartient qu'à lui…
Parfois, João Ricardo Pedro (un ingénieur qui s'est mis à écrire quand il s'est retrouvé au chômage) s'amuse avec le temps : la vie entière de la grand-mère contractée en quatre pages. Et en dix, dilatée heure par heure, par le menu, une journée dans la vie de la mère de Duarte. Un regard de chat, probablement.
La revue de presse : Philippe-Jean Catinchi - Le Monde du 14 novembre 2013
Une fresque pointilliste du Portugal actuel, aux prises avec les fantômes de son passé…
Dans ce premier roman, conçu comme un puzzle où chaque chapitre a la stricte économie d'une nouvelle, Joao Ricardo Pedro ose, à travers le regard de trois générations de Mendes, une fresque pointilliste du Portugal contemporain, déchiré entre les fantômes du passé et un présent qui n'existe que s'il parvient à les mettre à distance…
Jamais dissipées, les zones d'ombre sont le moteur d'une intrigue dont les rebondissements ont des allures de pièges borgésiens, scénarisés pour un Buñuel moderne. La geste étonnante, née du banal le plus cru pour camper une identité aussi torturée qu'impérieuse, fait de cette Main de Joseph Castorp un roman envoûtant. Les connexions qui s'établissent dégagent une énergie brute dont chacun reçoit le choc sans précaution. Mais sitôt le livre fini, même s'il sait qu'il n'y trouvera pas de rassurants dénouements, le lecteur n'a qu'une envie : replonger dans l'oeuvre, tant l'écrivain sait rendre cette vision littéraire du Portugal moins une énigme qu'une allégorie inépuisable.
… (más)
 
Denunciada
Joop-le-philosophe | Jan 21, 2021 |
Das Buch erzählt die Geschichte einer portugiesischen Familie über mehrere Generationen, wobei das größte Augenmerk auf dem jungen Duarte liegt. Duartes Großvater ist Landarzt, sein Vater ist traumatisiert von einem Kriegseinsatz in Angola, seine Mutter erkrankt an Krebs. Duarte hat außer dem sogenannten Indio keinen Freund, wird gemobbt. Nur die Musik könnte für ihn Zuflucht sein, doch er hasst sein musikalisches Talent und hört auf zu spielen.
Es gibt begeisterte Stimmen zu diesem Roman und auch sehr ablehnende. Beide kann ich verstehen. Der Roman ist sehr gestückelt und deutet zu viel an. Es wird dem Leser zu viel überlassen, zu wenig wird geklärt. Außerdem ist das Buch im ersten Drittel sprachlich sehr gewöhnungsbedürftig, mitunter ordinär und eklig. Das wird dann allerdings besser, der zweite Teil isst deutlich leichter zu lesen und hat (wie auch der erste Teil) hervorragende Stellen. Wie die Mutter ihren Tag verbringt, bis sie schließlich am Abend der Familie nach dem Essen ihre Krebserkrankung mitteilt, nicht ohne darauf hinzuweisen, dass sie vorgekocht habe, das ist nach meinem Dafürhalten ein grandioses Kapitel, einschließlich der Szene mit dem Haarefärben. Ich kann also auch die guten Seiten des Buches durchaus entdecken, zumal sich im Lauf des Buches dann doch einige Enden finden. Aber ich finde das Buch insgesamt eher unausgegoren und zu wenig stringent. Gerade lese ich auch eine Lebensgeschichte (Maarten´t Hart: Die Netzflickerin) und sehe den Unterschied: Hier wird vieles erzählt und weniger dem Leser überlassen, das gefällt zumindest mir besser.… (más)
 
Denunciada
Wassilissa | 3 reseñas más. | Feb 1, 2015 |
Bizarre book, Pessoa style alike, with 3 generations reflecting on their own lives, those of previous and future generations and the world around them. Situated in Portugal so about dictators, revolution and politics in general. But also about what one really wants, what others would like him to be and how perception can be totally different then reality or your own self.
The author is clearly gifted but exploits some style exercices a bit too much. A lot too much. Or a bit too much ... or a ...… (más)
½
 
Denunciada
Lunarreader | 3 reseñas más. | Feb 28, 2014 |
Je me suis un peu perdu dans ce beau roman foisonnant, mais j'ai eu plaisir à le lire le plus vite possible quitte à perdre des éléments peut-être importants. (Je lis en portugais, tout en étant bien loin de maîtriser la langue).
Des incursions dans la version française m'ont confirmé que c'est une très belle écriture, et très bien traduite.
Je n'essaie pas de résumer car cela est très difficile, de nombreuses histoires courtes se succèdent sans qu'on en perçoive le lien, mais à la fin on arrive à raccorder les choses entre elles. Pour ma part, je dois tout de même avouer que je suis incapable de faire tous les liens et le roman garde sa part de mystère.… (más)
1 vota
Denunciada
vie-tranquille | 3 reseñas más. | Jan 5, 2014 |

Premios

Estadísticas

Obras
5
Miembros
90
Popularidad
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Valoración
½ 3.7
Reseñas
5
ISBNs
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