Howard McCord
Autor de The Man Who Walked to The Moon: A Novella
Obras de Howard McCord
Gnomonology : A Handbook of Systems 4 copias
The life of Fraenkel's death;: A biographical inquest, — Autor — 3 copias
Precise fragments : poems 2 copias
[Glyphs] 2 copias
Ovens: Poems on the war and tyranny 2 copias
Perfecting an unspeakable act 2 copias
Spring & Summer Poems, 1972 1 copia
twowindows folio VI — Autor — 1 copia
TREE #5 (Summer 1975) 1 copia
America As Desolation 1 copia
12 Bones 1 copia
The Thistlebone Poems 1 copia
The Spanish Dark and Other Poems 1 copia
Peach Mountain Smoke Out 1 copia
The Sorrows of Loruhamah 1 copia
American Family Mottoes 1 copia
The Honeybee and the Mustang 1 copia
The Armed Freeholder 1 copia
Drum Book — Autor — 1 copia
Obras relacionadas
Thus Spake the Corpse: An Exquisite Corpse Reader, 1988-1998: Volume 2 - Fictions, Travels & Translations (1999) — Contribuidor; Contribuidor — 41 copias
Stooge Thirteen, Spring 1975 — Contribuidor — 1 copia
Etiquetado
Conocimiento común
- Fecha de nacimiento
- 1932-11-03
- Nacionalidad
- USA
- Lugar de nacimiento
- El Paso, Texas, USA
- Lugares de residencia
- Bowling Green, Kentucky, USA
- Educación
- University of Texas at El Paso (BA|Business Administration|1957)
University of Utah (MA|English|1958)
Miembros
Reseñas
Listas
Assassins (1)
Premios
También Puede Gustarte
Autores relacionados
Estadísticas
- Obras
- 38
- También por
- 5
- Miembros
- 125
- Popularidad
- #160,151
- Valoración
- 4.1
- Reseñas
- 2
- ISBNs
- 17
- Idiomas
- 1
- Favorito
- 1
Imaginez Walden un 44 Magnum à la main et vous aurez une petite idée du très acéré William Gasper, héros de ce bref roman culte, qui oscille constamment entre "littérature de montagne" et paranoïa post-Watergate. La "lune", ici, ce sont ces monts déserts du Nevada, où notre homme fuit on ne sait quoi : ce monde moderne fait d'échangeurs d'autoroute et de clips sur MTV ? Son passé d'ancien tueur professionnel de l'armée américaine ? Langue coupante comme une paroi de granit et final à la Pulp Fiction : McCord réconcilie Thoreau et Tarantino. Un régal.
—L'Express
> L'HOMME QUI MARCHAIT SUR LA LUNE HOWARD McCORD (Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jacques Mailhos. Alto, 145 p.)
Se reporter au compte rendu de P.M.
In: (2009). Compte rendu de [Nouveautés]. Entre les lignes, 5 n° 2 (hiver 2009), p. 50… ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/692ac
Cette Lune où déambule William Gasper est le nom d’une montagne désertique du Nevada.
Le décor est grandiose; certaines pages de l'ouvrage s'approchent du sublime. Au début, on pense avoir affaire à un gentil lunatique qui a trouvé, dans ce paysage aride, un lieu lui permettant de renouer avec lui-même. Mais on devine qu'il espère aussi y échapper à quelque chose ou à quelqu’un. Puis on découvre que le personnage est tout le contraire de ce qu'on avait supposé : Gasper est une machine à tuer, un ancien tireur d’élite de l'armée recyclé dans l’assassinat politique international et qui tente en vain de se faire oublier de ses adversaires. À tous ceux et celles qui estiment que la nature est l’ultime refuge contre les horreurs de l’humanité. L'homme qui marchait sur la Lune répond qu'on n’est nulle! part à l’abri des hommes : on transporte tous ses pires ennemis à l’intérieur de soi. On peut reprocher à Howard McCord de ne pas s’empêtrer dans les nuances pour clamer son manque de confiance dans l’humanité, mais il est difficile de ne pas lui donner raison. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jacques Mailhos. Alto, 145 p.
P.M.… (más)