Fotografía de autor
38+ Obras 125 Miembros 2 Reseñas 1 Preferidas

Obras de Howard McCord

Longjaunes His Periplus (1968) 7 copias
Mirrors (1973) 5 copias
The fire visions (1970) 5 copias
MAPS (1971) 4 copias
The arctic desert (1975) 4 copias
The old beast: [poems] (1975) 3 copias

Obras relacionadas

For Neruda, For Chile: An International Anthology (1975) — Traductor — 23 copias
Of Solitude and Silence (1981) — Contribuidor — 10 copias
Lillabulero, Number 12, A Special Issue for Paul Metcalf (1973) — Contribuidor — 2 copias
Stooge Thirteen, Spring 1975 — Contribuidor — 1 copia

Etiquetado

Conocimiento común

Miembros

Reseñas

> L'homme qui marchait sur la lune, par Howard McCord. — McCord réconcilie Thoreau et Tarantino. Un régal.
Imaginez Walden un 44 Magnum à la main et vous aurez une petite idée du très acéré William Gasper, héros de ce bref roman culte, qui oscille constamment entre "littérature de montagne" et paranoïa post-Watergate. La "lune", ici, ce sont ces monts déserts du Nevada, où notre homme fuit on ne sait quoi : ce monde moderne fait d'échangeurs d'autoroute et de clips sur MTV ? Son passé d'ancien tueur professionnel de l'armée américaine ? Langue coupante comme une paroi de granit et final à la Pulp Fiction : McCord réconcilie Thoreau et Tarantino. Un régal.
L'Express

> L'HOMME QUI MARCHAIT SUR LA LUNE HOWARD McCORD (Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jacques Mailhos. Alto, 145 p.)
Se reporter au compte rendu de P.M.
In: (2009). Compte rendu de [Nouveautés]. Entre les lignes, 5 n° 2 (hiver 2009), p. 50… ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/692ac
Cette Lune où déambule William Gasper est le nom d’une montagne désertique du Nevada.
Le décor est grandiose; certaines pages de l'ouvrage s'approchent du sublime. Au début, on pense avoir affaire à un gentil lunatique qui a trouvé, dans ce paysage aride, un lieu lui permettant de renouer avec lui-même. Mais on devine qu'il espère aussi y échapper à quelque chose ou à quelqu’un. Puis on découvre que le personnage est tout le contraire de ce qu'on avait supposé : Gasper est une machine à tuer, un ancien tireur d’élite de l'armée recyclé dans l’assassinat politique international et qui tente en vain de se faire oublier de ses adversaires. À tous ceux et celles qui estiment que la nature est l’ultime refuge contre les horreurs de l’humanité. L'homme qui marchait sur la Lune répond qu'on n’est nulle! part à l’abri des hommes : on transporte tous ses pires ennemis à l’intérieur de soi. On peut reprocher à Howard McCord de ne pas s’empêtrer dans les nuances pour clamer son manque de confiance dans l’humanité, mais il est difficile de ne pas lui donner raison. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jacques Mailhos. Alto, 145 p.
P.M.
… (más)
 
Denunciada
Joop-le-philosophe | Feb 10, 2021 |
This dude's a badass. He read for one of my creative writing classes. I think he was called the American badass long before Kid Rock. Good thing that's his only similarity to that long-haired, skinny bastard. Oh wait, they both have long hair.
½
 
Denunciada
fodroy | Nov 13, 2006 |

Listas

Premios

También Puede Gustarte

Autores relacionados

Estadísticas

Obras
38
También por
5
Miembros
125
Popularidad
#160,151
Valoración
4.1
Reseñas
2
ISBNs
17
Idiomas
1
Favorito
1

Tablas y Gráficos