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Reseñas

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An odd book that often feels like a cousin of Beckett. At first, I didn't think I'd enjoy it as much as I eventually did—but I'll wager that this one's going to stick with me for a while.
 
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KatrinkaV | Oct 11, 2023 |
J'ai beaucoup apprécié ce livre à la limite de la science fiction, de l'allégorie... terrible mais fascinant.½
 
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Nikoz | Nov 28, 2018 |
Des nouvelles très inégales, 2 très bonnes (dont celle du Titanic) et le reste incompréhensible.½
 
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Nikoz | Oct 19, 2018 |
Stories from a novelist can seem slight and even incomplete, which may account for the weak effect of the first entries in this collection. However, strength builds, until the last terrible story, for which the collection is named, takes the reader by surprise, or perhaps by shock. More thinking and some looking back over the collection is necessary before more can be said. For those who don't want to commit to a novel by this powerful writer, these stories are a good introduction, which if one is lucky, will lead to The Film Explainer, Luck, and Lichtenberg and the Little Flower Girl.
 
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V.V.Harding | Apr 21, 2015 |
Brigid Brophy said, I've heard, that the two best things in life are sex and the 18th century, not necessarily in that order. Lichtenberg and the Little Flower Girl would be a good example of what she means -- even being about, in a highly imaginative fictional way, an 18th-century person, Georg Christoph Lichtenberg, seems to enliven this work in a way that suggests the energy of that period. In the hands of Gert Hofmann, as translated by his son the poet Michael Hofmann, this strange character enters into a strange relationship which beautifully embodies the existence of happiness and the constant possibility that it may happen to any one of us at any time -- and its transient nature, and how something else, something good, can still happen after it ends.

The edition I read is not that pictured but this one from CB Editions in the UK. A reviewer describes the inappropriate nature of the image on the cover pictured, so one would do well to get the plain-brown-wrapper edition from the admirable CB Editions.

Michael Hofmann sees this work as part of a loose trilogy of books about story-telling that came at the end of the writer's life, the other two being The Film Explainer, which I read some years ago and haven't reviewed here yet, and Luck which I've just received. Possible The Film Explainer will require re-reading with Michael Hofmann's thought in mind.
 
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V.V.Harding | Apr 21, 2015 |
Présentation de l’éditeur

Un soir où il s’apprête à étudier une affaire de dénonciation qu’il doit plaider le lendemain, l’avocat Karl Hecht reçoit de l’hôpital où vient de mourir son frère les carnets intimes de celui-ci. Dès lors, le récit se construit par bribes, et le passé que le narrateur avait tenté d’occulter affleure petit à petit. Ce qu’il pensait avoir évacué remonte à la surface par pans entiers et comme malgré lui : le souvenir de la disparition, pendant la guerre, de ses voisins demi-juifs, et celle de ses propres parents, dans les deux cas après une dénonciation.

Ce souvenir lancinant, à l’origine de la folie et de la mort de son frère, Hecht va tenter de s’en défaire tout au long du récit, qui apparaît comme une interrogation douloureuse sur les pièges de la mémoire et de la culpabilité.

Mon avis

Ce n’est pas le Gert Hofmann que je voulais lire initialement mais il n’avait que celui-là à la librairie (c’est déjà pas mal vu que le livre date de 1994). La présentation de l’éditeur ne laisse absolument pas présager de ce que l’on va trouver dans ce livre.

À sa lecture, j’avais en effet pensé qu’il s’agissait plutôt de se remémorer au coin du feu les souvenirs de la guerre que le narrateur a voulu oublier et qui lui reviennent au fur et à mesure. Le narrateur est un vieil avocat bougon, en désaccord avec son fils (désaccord d’ordre politique mais qui dégénère en désaccord familial), s’occupe d’une affaire dont il ne voulait absolument pas entendre parler et lui arrive sur le coin de la tête la nouvelle du décès de son frère qu’il n’a pas vu depuis belle lurette :

Je viens d’apprendre le décès subit (le 8 septembre) suivi de l’incinération immédiate (le 9) à l’âge de quarante-cinq ans de Wilhelm, le frère jumeau dont j’étais sans nouvelles depuis une quinzaine d’années, vous vous souvenez, écrit l’avocat Karl Hecht ; j’en ai été avisé en anglais par l’administration du Bellevue Hospital de New York qui ajoute, pieux mensonge, que le défunt s’est éteint “dans la paix et la sérénité”; elle précise en outre que ses cendres, expédiées immédiatement à mon adresse (le 10), selon ses vœux, risquent d’arriver le 12 (par fret aérien, en exprès), c’est-à-dire, si je ne m’abuse, dès demain.

L’avoct écrit sa nuit au fur et à mesure à un vieil ami et il s’énerve au fur et à mesure, change de sujet brusquement quand son frère lui rappelle l’affaire en cours ou vice-versa, quand son fils rentre à la maison. Les dénonciations de ses parents semblent comme accessoires. Elles ne sont qu’une petite partie de son énervement.

J’ai plus eu l’impression de lire un monologue de théâtre, un acteur seul sur scène dans un salon, plutôt qu’un roman. Là où je m’attendais à du tragique (et même à une histoire des plus classiques), j’ai plutôt trouvé une histoire originale, légèrement acide et moqueuse, avec donc un ton original.
 
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CecileB | Nov 3, 2012 |
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