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L'horizon est en feu : Cinq poètes russes du XXe siècle

por Jean-Baptiste Para (Editor)

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En un petit volume vous avez un survol de la poésie russe du XXé siécle. Ces cinq auteurs ont un point commun, c’est l’expérience de l’exil aussi bien physique qu’intérieur. Ils ont tous expérimenté l’ailleurs et l’absence. Leurs textes sont nourris de ces expériences de la perte. J’y suis très sensible.

Les poèmes réunis sont tous magnifiques. Deux m’ont particulièrement touché: “Minuit dans Moscou” de Mandelstam et “tentative de jalousie” de Tsvétaïéva. Ces poèmes sont très fort. Tsvétaïéva est une découverte pour moi et un grand bonheur. Les vers sont dépouillés, coupés à la serpe mais empreint de tendresse, c’est un magnifique poète féminin avec une sensibilité à fleur de peau ou de plume.

Les quatre premiers sont des poètes de la génération 1880-90. Ceux sont des poètes de la fin du tsarisme et du Bolchevisme. Akhmatova fait le pont, du moins temporel, avec Brodsky. Elle est une formidable poétesse, “la musique” est un très beau poème, le dernier vers: “Comme si toutes les fleurs se mettaient à parler”…

Et il y a Brodsky, que dire, sa vie est un roman. Je vais le citer pour vous donner envie de le lire:

“Il y a des crimes pire que de brûler les livres, l’un d’entre eux est de ne pas les lires”.

Ces auteurs ont été largement censurés par le pouvoir soviétique.

“Car la poussière est la chair du temps. La chair et le sang.”

Superbe trouvaille, le temps est incarné pour toujours dans ce vers extrait de “nature morte”.

Enfin pour vous convaincre de lire de la poésie russe, ces mots de Mandelstam:

“De quoi de plains-tu, il n’y a que chez nous qu’on respecte la poésie: on tue même pour elle. Ça n’existe nulle part ailleurs.”
  PUautomne | Dec 17, 2010 |
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