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Cargando... Tibetan Book of the Dead: Or, The After-Death Experiences on the Bardo Plane, according to Lama Kazi Dawa-Samdup's English Rendering (1927)por W. Y. Evans-Wentz, Lama Kazi Dawa-Samdup (Traductor)
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Inscríbete en LibraryThing para averiguar si este libro te gustará. Actualmente no hay Conversaciones sobre este libro. > Ledrus M. Bardo Thödol. Le livre des Morts Tibétain, ou les expériences d'après la mort dans le plan du Bardo, suivant la version anglaise du Lama Kazi Dawa Samdup, éditée par le Dr W. Y. Evanswentz. Traduction française de Marguerite La Fuente, précédée d'une préface de M. Jacques Bacot. In: Revue néo-scolastique de philosophie. 39ᵉ année, Deuxième série, n°52, 1936. p. 568. … ; (en ligne), URL : https://www.persee.fr/doc/phlou_0776-555x_1936_num_39_52_7865_t1_0568_0000_2 The Tibetan Book of the Dead is one of the texts that, according to legend, Padma-Sambhava was compelled to hide during his visit to Tibet in the late 8th century. The guru hid his books in stones, lakes, and pillars because the Tibetans of that day and age were somehow unprepared for their teachings. Now, in the form of the ever-popular Tibetan Book of the Dead, these teachings are constantly being discovered and rediscovered by Western readers of many different backgrounds--a phenomenon which began in 1927 with Oxford's first edition of Dr. Evans-Wentz's landmark volume. While it is traditionally used as a mortuary text, to be read or recited in the presence of a dead or dying person, this book--which relates the whole experience of death and rebirth in three intermediate states of being--was originally understood as a guide not only for the dead but also for the living. As a contribution to the science of death and dying--not to mention the belief in life after death, or the belief in rebirth--The Tibetan Book of the Dead is unique among the sacred texts of the world, for its socio-cultural influence in this regard is without comparison. > Le Livre des Morts tibétain ou Bardo Thôdol est une excroissance singulière du bouddhisme Mahayana et l'un des livres les plus extraordinaires qui soit, depuis qu'il y a des livres et des gens pour les lire ou les réciter. Sans équivalent dans aucune école bouddhique, ni dans aucune autre civilisation (à l'exception peut-être du Livre des morts égyptiens), il développe l'enseignement du Bouddha sur un point suprêmement intéressant, puisqu'il décrit, en détail, la destinée post mortem de l'âme humaine. Selon ce texte, sans doute aussi ancien que le bouddhisme au Tibet, un seul et même courant, de nature fondamentalement onirique, nous tient captifs dans cette vie et dans l'autre, laquelle est nommée bardo – état intermédiaire entre la mort et une nouvelle naissance. Des apparitions – déités radieuses ou courroucées, bodhisattva ou rakshasa (démons) mangeurs de chair – surgissent dans le bardo, accompagnées, pour ces dernières, d'éclairs, tonnerre, précipices effroyables, vents mugissants, pluies torrentielles. Conformément à la doctrine de l'anatta, toutes ces apparitions sont de la nature du rêve, elles sont dépourvues de noyau, de moi, de substance, et c'est ainsi qu'elles doivent être considérées. Ce ne sont, enseigne le Livre des Morts, que des projections de nos «formes-pensées». L'esprit, chose extrêmement collante dans la vie, continue à nous coller aux basques dans la mort. Si le défunt parvient à comprendre qu'il n'est confronté à rien de substantiel dans le bardo mais seulement aux productions de son propre esprit, il connaîtra la vérité. Il réalisera sa véritable nature, qui est «l'intelligence nue et sans tache, vide, transparente, sans circonférence ni centre », pareille au ciel illimité. le processus onirique prendra fin. Ce sera l'Éveil. Mais si le défunt, emporté irrésistiblement par le tourbillon karmique, ne parvient pas à se reconnaître lui-même dans le clair miroir que lui tend la mort, il devra poursuivre son périple, descendant par étapes dans les sphères toujours plus obscures et emberlificotées du bardo, avant de retomber, en bout de chaîne, dans l'une de ces chausse-trapes que nous nommons matrice, de formes et couleurs diverses, où le phénomène de la vie se cristallisera à nouveau, selon des conditions produites par ses actes passés. Il aura raté l'occasion. Entre la vie d'ici et celle du bardo, telle que nous la présente le texte tibétain, il n'existe aucune différence de nature, tout au plus une différence de degré comme si la mort, donnant libre cours au rêve, lui permettait enfin de s'épancher librement, sans se déchirer aux arêtes tranchantes de la vie. Dans la mythologie grecque, Hypnos, personnification du sommeil, qui tient à la main des fleurs de pavot, est le frère jumeau de Thanatos, la mort. Hypnos et Thanatos, rêve et mort, sont l'un et l'autre enfants de Nyx, la nuit. Ils se tiennent par la main comme deux bons amis. La mort est un rêve au large, désamarré, qui s'enfonce de plus en plus profondément dans les replis de l'inconscient, qui va voir plus loin que nos rêves nocturnes, dans des lieux dont la conscience de veille ne peut avoir la moindre idée. En résumé, le vivant et le défunt sont fondamentalement à même enseigne : ni les uns ni les autres ne voient les choses comme elles sont. Ils les rêvent. --Hervé Clerc ____________________ Source : Hervé Clerc, Les choses comme elles sont: Une initiation au bouddhisme ordinaire, Gallimard (pp. 134-6) sin reseñas | añadir una reseña
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Recordar que hemos de morir es uno de los mejores modos de evitar la trampa de pensar que tenemos algo que perder. Nuestra cultura occidental piensa lo contrario y lo da todo por aferrarse a la ilusión de lo material y su acumulación. La buena nueva es que cada día más personas –e incluso más medios masivos- parecen haberse dado cuenta de que cuando a las personas se les acaban las respuestas a las preguntas fundamentales del yo (¿Quién, o qué soy? ¿Por qué nacemos? ¿Por qué morimos?) y que ellas nos abren la puerta para trascender lo transitorio. Este milenario tratado, también conocido como Bardo Thödol, legado por los Sabios de las Cordilleras Nevadas a través un asceta de Buthan y traído a Occidente a principios del siglo XX por el investigador inglés W.Y. Evans Wentz, despliega una guía para comprender el entretiempo en que abandonamos este cuerpo y adoptamos otro. Dividido en tres partes, primero describe lo que ocurre en la mente en los momentos de transición hacia lo que llamamos muerte, luego el estado onírico al que accedemos inmediatamente después y por último el instinto natal y los acontecimientos prenatales que nos impulsan a renacer. La lectura y relectura de esta nueva edición de El Libro Tibetano de los Muertos –que incluye una presentación del Lama Anagarika Govinda, el prefacio La Ciencia de la Mente escrito por Sir John Woodroffe y Comentarios Psicológicos de Carl Gustav Jung –nos brindan la oportunidad suprema de comprendes para qué nacimos y nos preparan para la hora de nuestra partida. No se han encontrado descripciones de biblioteca. |
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My case is one example. I became familiar with the book when I first picked up a copy of The Psychedelic Experience back in the late 60s. It is the version that not only influenced those experiments but served as an introduction to Eastern thought for me. It is also the version that Jung referenced in his work. So having this copy for these purposes make perfect sense.
If you want to sidestep Evans-Wentz' theosophy influence and get a better, more comprehensive translation as part of studying Buddhism, I would recommend a different translation. This Ixia Press edition is a wonderful copy of Evans-Wentz version and I would highly recommend it for those who want or need this version.
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