Omaggio dell’editore in occasione dell’acquisto di altri fumetti, Il figlio di Spartaco è un albo elegante sotto il profilo editoriale, alla francese. La storia potrebbe anche funzionare, ma il disegno è davvero inadeguato, ricorda gli albi che leggevo da ragazzino, quelli di minori qualità. E chiaramente il risultato complessivo è una storia mediocre, che si legge a stento, priva di forza, che non appassiona, nonostante un’idea iniziale intelligente. Insomma una vera e propria rimanenza di magazzino che va bene giusto perché a caval donato non si guarda in bocca. ( )

Spartacus a eu un fils. Et il est vivant. Cette terrible nouvelle ébranle le sénat romain. S'il se montre en public, la plèbe le portera en triomphe -comme elle a porté son père-. Alors de nouvelles révoltes d'esclaves, de nouvelles émeutes, de nouveaux règlements de comptes éclateront. Il faut écarter le jeune homme mais non pas l'occire; le peuple en ferait un martyr. Alix et Enak le retrouvent dans Rome, accompagné de sa mère. Sa mère? Gaia : une devineresse, une arriviste plutôt qui a joué de ses charmes lorsque Spartacus et ses hordes balayèrent les troupes romaines envoyées le combattre. Une mère qui s'est rapidement conduite comme une reine, chose inouïe pour ces anciens esclaves et gladiateurs. Gaia qui réussit à s'enfuir avec Spartaculus, son fils, avant l'énorme et dernier massacre de Spartacus et de son armée dans la plaine du Pô. Spartaculus, maintenant jeune homme, devra quitter l'Italie en passant par les montagnes... puis se faire oublier. Mais sa tête est mise à prix, par Pompée, qui veut l'intercepter. Une petite expédition se met en marche. Des faits étranges se passent. Sont-ils suivis ?.. Pourquoi Gaia marque-t-elle le passage du chemin parcouru ?... Et que vient faire Arbacès, ennemi juré d'Alix, sur la route qui mène à la délivrance ?... ( )