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Cargando... Le règne du vivantpor Alice Ferney
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Inscríbete en LibraryThing para averiguar si este libro te gustará. Actualmente no hay Conversaciones sobre este libro. Un reporter filme et suit dans ses campagnes en mer le militant Magnus Wallace, fondateur de Gaïa et à l'origine du mouvement écologique Noé, aujourd'hui politisé et contre les actions de Magnus. En effet, Magnus Wallace ne supporte pas de voir une baleine ou un requin tués illégalement dans les sanctuaires comme les Galapagos. Il intervient de façon ferme mais pacifique, toujours pour faire respecter la loi. Cela dérange les dirigeants de Noé... Quelques extraits intéressants : page 37 " 400 zones marines sont déclarées mortes. Les grands prédateurs disparaissent. Nous léguons à nos enfants un océan où des modèles réduits n'ont pas le temps de grandir. Les espèces protégées ne le sont qu'en théorie. La pêche pirate est si gigantesque et profitable que l'extinction est une affaire de quelques années. Le poisson n'est plus l'être vivant universel du globe, éternel dans toutes les eaux. L'infini ou l'inépuisable sont des idées fausses qu'il faut de tout urgence nous ôter de la tête". Page 103 : " Voilà ce qu'il faut dire à tous les parents : vos enfants savent que l'écologie est le sujet primordial concernant leur avenir. Si vous vous en moquez, ils jugeront que cette omission est grave et que vous êtes responsables du monde détruit qu'ils ont trouvé". A cheval entre fiction et documentaire, ce roman parle en fait d'une personne bien réelle : Paul Watson et de son Sea Sheperd Conservation Society. A lire absolument ! sin reseñas | añadir una reseña
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> LE RÈGNE DU VIVANT, par Alice Ferney (Babel, 2016, Poche, 205 pages). — Aiguillonné par la curiosité, et très vite porté par l’admiration, un journaliste norvégien s’embarque sur l’Arrowhead avec une poignée de militants s’opposant activement à la pêche illégale en zone protégée. À leur tête, Magnus Wallace, figure héroïque et charismatique qui lutte avec des moyens dérisoires – mais un redoutable sens de la communication – contre le pillage organisé des richesses de la mer et le massacre de la faune.
Retraçant les étapes de cette insurrection singulière, témoignant des discours et des valeurs qui la fondent, Alice Ferney s’empare d’un sujet aussi urgent qu’universel pour célébrer la beauté souveraine du monde marin et les vertus de l’engagement. Alors que l’homme étend sur les océans son emprise prédatrice, Le Règne du vivant questionne le devenir de “cette Terre que nous empruntons à nos enfants” et rend hommage à la dissidence nécessaire, face au cynisme organisé.
—Johnny Gimenez (Culturebox)
> LE RÈGNE DU VIVANT, par Alice Ferney (Babel, 2016, Poche, 205 pages). — S'inspirant de l'histoire de Sea Shepeard, l'auteure raconte à travers le récit d'un caméraman, l'épopée du leader d'un mouvement dissident, ici Magnus Wallace. De quoi aborder pas mal de questions autour de la souffrance animale, de l'équilibre de la biosphère, des risques de dérèglement de la planète, du végétarisme et des stratégies des mouvements écologistes plus ou moins radicaux… Appuyer un récit romancé sur une réalité militante est un exercice toujours délicat. Alice Ferney le réussit plutôt bien. FV.
—Revue Silence, janv. 2015