PortadaGruposCharlasMásPanorama actual
Buscar en el sitio
Este sitio utiliza cookies para ofrecer nuestros servicios, mejorar el rendimiento, análisis y (si no estás registrado) publicidad. Al usar LibraryThing reconoces que has leído y comprendido nuestros términos de servicio y política de privacidad. El uso del sitio y de los servicios está sujeto a estas políticas y términos.

Resultados de Google Books

Pulse en una miniatura para ir a Google Books.

Cargando...

The Return (2009)

por Dany Laferrière

Otros autores: Ver la sección otros autores.

MiembrosReseñasPopularidadValoración promediaMenciones
1767154,810 (4.03)47
In 1976, Dany Laferriere hurriedly left Port-au-Prince, Haiti after one of his colleagues was killed by Baby Doc Duvalier's regime. Thirty-three years later, following the death of his father, Dany plans to return his father to Haiti.
Cargando...

Inscríbete en LibraryThing para averiguar si este libro te gustará.

Actualmente no hay Conversaciones sobre este libro.

» Ver también 47 menciones

Mélange de prose et de poésie, ce roman nous dresse le portrait doux-amer d'un pays perdu et retrouvé. On s'y attache non seulement pour les décors de plus en plus éloignés de Montréal, terre d'exil, mais aussi pour toute la gamme d'émotions qu'évoque l'histoire: étrangeté, nostalgie, plaisir, retrouvailles, distance et tant d'autres encore.
Le style de Laferrière, intime et discret, nous fait rêver au fil des pages alors que nous accompagnons ce personnage dans le deuil d'un père absent. ( )
  Cecilturtle | Feb 4, 2024 |
> Laferrière, Dany. L’Énigme du retour. Québec: Boréal, 2009. ISBN 9782764606704. 289 p.
Se reporter au compte rendu de Isabelle CONSTANT
In: Nouvelles Études Francophones, Vol. 25, No. 2 (AUTOMNE 2010), pp. 237-241
  Joop-le-philosophe | Jan 3, 2021 |
Dany Laferriere was born in Haiti in 1953. I was born in Canada in 1953. Despite being the same age our lives are completely different. Laferriere's father had to go into exile to escape Papa Doc Duvalier's murderous attentions. He was never able to return to his homeland so the author grew up without a father essentially. My father was a farmer and barely left the area where he was born and grew up. When Dany was 23 he had to go into exile to escape the Baby Doc regime. He was 56 when he finally returned to Haiti and wrote this book. When I was 18 I left home to go to university 300 miles away. Although I have travelled quite a bit in my adult life my home has always been made in the country and province in which I was born.

When Dany was 56 he got a phone call that told him his father had died in New York City. Despite living in Montreal not that far away from his father it seems like the separation in his youth had never been repaired so he had not spent much time in with his father. Nevertheless when the call came Dany knew he had to return his father to Haiti. He didn't physically return his father's body but he took his spirit back to the small village of Baraderes. There is a saying that you can't return home again and to a certain extent that was true for the author. However, the longer he stays in Haiti the more he discovers about his family and friends and also his father. He thinks of Montreal as a distant memory of cold. By the end of the book though it is clear Laferriere will be going back to Montreal and his life there.

This book is written in a combination of poetry and prose. Sometimes the poem devolves into prose but it is only in reflecting that you realize there has been a transition. Credit has to be given to the translator David Homel for managing to put into English the thoughts of the author while retaining the poetic intention. I haven't read any of Laferriere's other books but after reading this one I will certainly be keeping my eyes open for more. I just wish I could read French well enough to be able to read them in the original. ( )
  gypsysmom | Jun 20, 2016 |
Pourquoi ce livre?
Dès mon arrivée au Québec, j’ai commencé à lire les auteurs canadiens, ce qui m’a donné l’occasion de faire de belles découvertes. Parmi mes lectures préférées : les récits biographiques de Dany Laferrière. J’ai lu plusieurs de ses romans l’un après l’autre, séduite par la sensibilité et le lyrisme de son écriture. Le monde de son enfance était différent du mien, mais sa nostalgie me touchait beaucoup. De même, je me retrouvais assez bien dans sa thématique : le départ, l’exil, la solitude, etc. J’ai lu le roman L’énigme du retour dès sa sortie, en novembre 2009, impatiente de plonger de nouveau dans son univers. Je l’ai lu à la lumière de ce que je savais déjà sur son auteur (Manguel, 2000, p. 142), de mon expérience de lectrice et de mon histoire personnelle (Desrochers, 2015a), convaincue qu’un pays rêvé est, en fait, un pays imaginaire.

Premier aspect qui m’a plu :
J’ai eu beaucoup de plaisir à lire cette narration mêlée à la poésie, d’une grande expressivité qui permet à l’écrivain de dépeindre des sujets extrêmement sensibles pour lui : l’exil, la mort de son père, le retour dans son pays d’origine. Ce roman, très proche de la formule d’un journal intime, est écrit dans un rythme alerte, accumulant des états d’âme et des réflexions dans un tourbillon qui t’aspire pour ne te libérer qu’à la fin de la lecture. Ce style d’écriture ne donne pas aux lecteurs autre choix que d’entrer dans le jeu de « l’illusio littéraire » (Bourdieu, 1992).

Second aspect qui m’a plu :
Dans son roman, l’écrivain fait le portrait de l’Haïti contemporain, par comparaison avec celui de son enfance. Il n’y a pas de grandes différences, même si la dictature est tombée. C’est toujours un monde de la violence, de la pauvreté, de la peur. L’auteur nous présente la dure réalité de ce pays déchiré de l’intérieur dans la grande indifférence internationale, un pays où la vie est intense et la mort hâtive. En même temps, c’est un monde d’une grande beauté que les anciens Dieux visitent encore, comme dans un conte de fées. C’est un paradoxe qui fascine écrivain et lecteurs également.

Aspect qui m’a moins plu :
Je n’ai pas aimé le chapitre « Éloge de la diarrhée ». Je ne voulais pas avoir des détails sur cette souffrance physique, même si elle a le rôle de souligner le malaise général dans lequel l’auteur a plongé dès son retour dans son pays natal. Je suis d’accord qu’un écrivain ne doit pas avoir peur de mots. J’ai également compris la tendance à l’autodérision : la vie est souvent plus prosaïque que l’on pense. Cependant, j’ai senti cet épisode comme un « nœud » sur le fil soyeux de ma lecture.

Présentation du livre comme objet :
La première page de couverture reproduit une peinture (Passing, de Philip Barlow) et offre, comme information, le nom de l’auteur, le titre du roman et le nom de la maison d’édition. Au verso se trouve la photographie de l’auteur et quelques phrases biographiques. Une liste de ses autres livres précède la page de titre dont le verso inclut plusieurs informations : les programmes d’aide gouvernementaux dont les Éditions Boréal bénéficient, les données liées au catalogage et au dépôt légal, la collaboration avec les Éditions Grasset. Les deux pages suivantes contiennent une courte citation, respectivement une dédicace. Le roman compte une soixantaine de courts chapitres organisés en deux grandes parties. Leurs titres se retrouvent dans la Table des matières, à la fin du livre. Celle-ci est suivie par un Extrait du catalogue de la maison d’édition. Sur la dernière page, est noté : « Ce livre a été imprimé sur du papier 100% postconsommation, traité sans chlore, certifié ÉcoLogo et fabriqué dans une usine fonctionnant au biogaz. » La mise en page et la typographie appartiennent aux Éditions Boréal. On y trouve également indiqué qu’il s’agit d’un cinquième tirage, « achevé d’imprimer en novembre 2009 sur les presses de Transcontinental Gagné à Louiseville (Québec). » La quatrième de couverture inclut un résumé du livre, le numéro ISBN et le prix. C’est un livre de taille moyenne (288 pages, 22 cm), facile à manipuler, avec des caractères assez grands et une mise en page aérée, ce qui rend l’expérience de lecture agréable.
  simona6344a15 | Oct 12, 2015 |
À la mort de son père, lui-même exilé, Dany Laferrière sent le profond besoin d'effectuer un retour en l'île qui l'a vu naître, en l'île qu'il a quittée pour le Nord où il se réfugie maintenant. Il effectue un retour poétique tel Aimé Césaire dans Cahier d'un retour au pays natal. Mais le vers libre, le haïku et la prose poétique de Laferrière expriment la redécouverte d'un monde de souvenirs, l'expression d'un haïtien qui se remémore, en sachant dire ses mots à ceux du Nord, car il en connait la forme, car il en connait les repères. L'oeil de Laferrière est celui d'un expatrié qui renoue avec son passé, qui renoue avec sa famille toujours marquée par le départ du père, mais c'est aussi celui qui découvre où en est son coin d'île à la suite de régimes sans morale, ce coin d'île qui se vit dans l'expression vaudou, ce coin d'île qui se meurt, mais qui se dit toujours en vers. Je crois que L'énigme du retour mérite d'être lu plus d'une fois pour se dégager de l'anecdote et apprécier ce qu'il recèle d'universel, non pas que je doute de son efficacité, mais son monde est autre et on peut avoir besoin d'une deuxième lecture pour se faire à cette altérité.

[http://rivesderives.blogspot.ca/2010/05/lenigme-du-retour-dany-laferriere.html] ( )
  GIEL | Mar 3, 2015 |
Mostrando 1-5 de 7 (siguiente | mostrar todos)
sin reseñas | añadir una reseña

» Añade otros autores

Nombre del autorRolTipo de autor¿Obra?Estado
Dany Laferrièreautor principaltodas las edicionescalculado
Thill, BeateTraductorautor secundarioalgunas edicionesconfirmado
Debes iniciar sesión para editar los datos de Conocimiento Común.
Para más ayuda, consulta la página de ayuda de Conocimiento Común.
Título canónico
Información procedente del conocimiento común inglés. Edita para encontrar en tu idioma.
Título original
Títulos alternativos
Fecha de publicación original
Personas/Personajes
Lugares importantes
Información procedente del conocimiento común inglés. Edita para encontrar en tu idioma.
Acontecimientos importantes
Películas relacionadas
Epígrafe
Dedicatoria
Primeras palabras
Citas
Información procedente del conocimiento común inglés. Edita para encontrar en tu idioma.
Sometimes a phone call in the middle of the night

turns everything upside down in an instant.

We are lost in restless movement.

It's always easier to change places

than change lives.
Últimas palabras
Aviso de desambiguación
Editores de la editorial
Blurbistas
Idioma original
Información procedente del conocimiento común inglés. Edita para encontrar en tu idioma.
DDC/MDS Canónico
LCC canónico

Referencias a esta obra en fuentes externas.

Wikipedia en inglés

Ninguno

In 1976, Dany Laferriere hurriedly left Port-au-Prince, Haiti after one of his colleagues was killed by Baby Doc Duvalier's regime. Thirty-three years later, following the death of his father, Dany plans to return his father to Haiti.

No se han encontrado descripciones de biblioteca.

Descripción del libro
Resumen Haiku

Debates activos

Ninguno

Cubiertas populares

Enlaces rápidos

Valoración

Promedio: (4.03)
0.5
1
1.5
2 2
2.5
3 3
3.5 2
4 19
4.5 4
5 7

¿Eres tú?

Conviértete en un Autor de LibraryThing.

 

Acerca de | Contactar | LibraryThing.com | Privacidad/Condiciones | Ayuda/Preguntas frecuentes | Blog | Tienda | APIs | TinyCat | Bibliotecas heredadas | Primeros reseñadores | Conocimiento común | 204,663,475 libros! | Barra superior: Siempre visible