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Desvanecidos difuntos (2006)

por Paco Ignacio Taibo II

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Series: Héctor Belascoarán Shayne (8)

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1941,141,637 (3.5)1
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> Paco Ignacio Taibo II n'a rien perdu de sa verve pour tomber à plume raccourcie sur un système politique mexicain pourri jusqu'à la moelle. Et on en redemande.
L'Express

> Défunts disparus, par Paco Ignacio Taibo II, Par Delphine PERAS, publié le 04/07/2012 à 17:00. —Chouette, une enquête inédite d'Hector Belascoaran Shayne ! Depuis Cosa facil, en 1992, on ne se lasse pas de ce détective privé mexicain borgne, jouant "l'éternel participant dans des histoires qui n'étaient pas les siennes". Celle qui l'embarque cette fois est particulièrement gratinée : il s'agit de prouver que l'instituteur et syndicaliste Medardo Rivera n'a pas tué un certain Lupe Barcenas, pour la bonne raison que… ce dernier est toujours vivant ! D'autant que, le jour du meurtre, l'assassin présumé se trouvait à 80 kilomètres de là et participait au baptême de son filleul en présence de 250 témoins. Mais des arguments aussi costauds ne suffisent pas à arrêter la machine judiciaire, kafkaïenne au dernier degré. A moins que les autorités locales aient monté le coup pour en finir avec l'activisme de l'instituteur. Reste donc à retrouver le fameux mort-vivant… Inspiré par l'authentique révolte des enseignants à Oaxaca et au Chiapas dans les années 1980, Paco Ignacio Taibo II n'a rien perdu de sa verve pour tomber à plume raccourcie sur un système politique mexicain pourri jusqu'à la moelle. On s'indigne, on s'amuse. Et on en redemande.
L'Express
  Joop-le-philosophe | Jan 19, 2021 |
Décidément, plus je lis les aventures du détective de Taibo 2, plus j'y prends du plaisir. C'est frais, amusant, décalé. Du polar pas-si-noir qui traite quand même de problèmes graves du Mexique mais avec une certaine résignation sur la situation. Le Mexique d'aujourd'hui, celui des mexicains, pas celui des touristes. L'autre coté du miroir, en quelque sorte.
Celui-ci est bref et direct, et le personnage se fait un peu caresser les côtes durant une enquête qui touche des sujets sensibles.
Très très sympa. ( )
  greuh | May 26, 2014 |
Quatrième de couverture

Le détective borgne Héctor Belascoáran Shayne se voit confier une mission par une jeune avocate : retrouver un mort… qui n’est pas mort. Elle défend l’instituteur et syndicaliste Medardo Rivera, accusé d’avoir tué un certain Lupe Barcenas. Mais le jour du meurtre, le suspect assistait à une réunion de famille en compagnie de deux cent cinquante personnes. Quant à la victime présumée, elle a été aperçue post mortem en train de trinquer avec les dirigeants de la police locale !

Aidé par un ancien élève de Rivera, Héctor se lance sur la piste de Barcenas…

Inspiré par une authentique révole d’enseignants à la fin des années 80, ce livre totalement jubilatoire met à nu la mascarade sinistre du système politico-judiciaire mexicain. Rébellion, humour et poésie surréaliste, tels sont les armes préférées de Paco Taibo, qui a l’art de s’indigner avec élégance.

Mon avis

J’ai pris ce livre hier soir parce qu’il était court et que j’aime beaucoup lire un livre en une seule fois, avant de m’endormir. J’étais dans mon lit en train de me dire que c’était intéressant mais sans plus. Pensez donc, il s’agit d’un détective qui n’enquête pas, qui ne cherche rien. Il se contente d’aller sur les lieux, de parler et de boire des pepsi. Il ne déduit rien. Pour moi, il n’y avait pas d’intérêt. En plus, l’auteur nous met des fausses références à Sherlock Holmes (vous connaissez vous Le Mystère du bois aux cailloux ?). Je me suis dis qu’il fallait mieux fermer le livre et le reprendre aujourd’hui (il me restait en gros une vingtaine de pages).

Entre temps, j’ai dormi et réfléchi. J’ai déjà vu cela quelque part ! Tout simplement dans les quatre romans de Gabriel Trujillo Muñoz que je vous ai présenté récemment. Le livre est court (120 pages). Le détective n’enquête pas. Il est juste le vecteur servant à l’auteur pour montrer la société mexicaine dans son ensemble et surtout y porter un œil critique (sans mauvais jeu de mots). L’écriture aussi a des points communs : on décrit des actions, des faits sans mettre d’emotions. Les deux écrivains construisent une tour en LEGO : ils empilent de manière très linéaire. La différence est que là où Gabriel Trujillo Muñoz avait une écriture assez neutre, Paco Ignacio Taibo II va renforcer par l’absurde, par des clins d’œil, des moments d’indignation. Ce n’est pas son personnage mais bien l’auteur qui s’indigne. Il y a comme cela des passages qui semblent venir d’ailleurs, écrits par une autre personne (comme s’ils n’auraient pas dû se trouver inclus dans la narration).

J’ai donc repris le livre ce matin. Cela m’a déjà paru plus clair (note à moi-même : ne pas trop vouloir lire avant de dormir). Par exemple, Paco Ignacio Taibo II décrit la formation d’une sorte de révolte. Le détective s’assoit sur le trottoir pour faire pression sur le faux mort. Une vieille vient le rejoindre, puis des adolescents, puis des professeurs, puis des écoliers. Ils se retrouve à 300 personnes à attendre devant la maison d’un homme. Il faut dire que cette affaire à diviser le village : entre ceux qui “soutenaient” le pouvoir local (parce qu’ils n’avaient pas le choix) et ceux qui étaient indignés par une fausse accusation aussi mal montée (le faux mort continuait à vivre chez lui tout de même). J’ai trouvé que l’auteur montrait bien cette capacité à s’indigner, à former un mouvement populaire qui semble il y avoir eu dans les années 80 au Mexique (j’ai pensé au Sou-commandant Marcos parce que quand j’étais petite fille cela m’avait impressionné que l’on puisse encore faire la révolution alors que nous c’était fini depuis la fin du 18ième siècle)(c’est cela de regarder trop les infos quand on est petit : il y a des images mais on ne comprend pas tout et on retient seulement certaines choses). Je ne sais pas si c’est encore le cas.

Je retenterais Paco Ignacio Taibo II mais pour des romans plus longs je pense (avant d’attaquer les autres courts). ( )
  CecileB | Oct 7, 2012 |
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Nombre del autorRolTipo de autor¿Obra?Estado
Paco Ignacio Taibo IIautor principaltodas las edicionescalculado
Bovaia, RobertaTraductorautor secundarioalgunas edicionesconfirmado

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Epígrafe
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On n'entendit d'abord que la rumeur et les cris ; et puis, du fond de l'avenue étrangement vide d'autobus et d'automobiles, inhabituellement déserte, apparurent au loin les immenses banderoles, rouges et blanches, couvertes de dessins, qui ondulaient comme une mer en fête.
Citas
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Le Mexique n'était plus ce qu'il était, l'absurde avait ses limites.
Últimas palabras
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Aviso de desambiguación
Editores de la editorial
Blurbistas
Idioma original
DDC/MDS Canónico
LCC canónico

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