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Raymond Queneau -- Poeta, novelista, lingüista y científico francés -- Zazie en el metro -- Una obra pintoresca -- Resumen -- Estudio de los personajes -- Los personajes principales -- Los personajes secundarios -- Claves de lectura -- El lugar que ocupa el lenguaje en la novela -- El narrador y la narración -- La sociedad francesa de finales de los años cincuenta -- La verdad y las apariencias -- Pistas para la reflexión -- Algunas preguntas para profundizar en su reflexión… -- Para ir más allá… (más)
Gabriel, à la gare d’Austerlitz, attend l’arrivée de sa nièce, Zazie, «une mouflette» que lui confie pour deux jours sa mère, Jeanne Lalochère, qui vient voir un «Jules» à Paris. Zazie a son franc parler, le sens de la répartie et n'est pas du genre à se laisser impressionner. Elle voudrait découvrir le métro, mais il y a une grève. Zazie et son oncle prennent donc le taxi de Charles, un ami de Gabriel. Itinéraire imprécis car les deux compères sont incapables de s’accorder sur le nom des bâtiments. Gabriel promène donc sa nièce dans le taxi de Charles, mais rien n'intéresse Zazie, qui ne cesse de faire des fugues au cours desquelles elle est l'objet de sollicitations diverses que la gamine, fort avertie, déjoue sans émotion. Au soir de sa deuxième journée à Paris, après une mémorable poursuite en voiture à travers Paris, Zazie se retrouve avec tous ceux qu'elle a connus en deux jours : Turandot, le propriétaire de Gabriel, et son perroquet Laverdure ; Charles, le taxi ; Gridoux, le cordonnier ; la veuve Monaque, une hystérique ; Trouscaillon, un policier douteux ; Albertine, la femme de Gabriel ; Mado, la fiancée de Charles. Gabriel a invité toutle monde à souper dans un café. Une bagarre se déclenche, où les combattants s'envoient à la tête une profusion d'assiettes de choucroute, tandis que Zazie, épuisée, s'endort appuyée à une table. Finalement Jeanne Lalochère quitte son «jules» qui l’a déçue. À la gare, elle retrouve Zazie, qui est accompagnée d’un type en qui elle reconnaît Marcel. Elle demande à sa fille ce qu’elle a fait, et celle-ci lui répond : «J’ai vieilli.»
Zazie dans le métro est un roman de Raymond Queneau, paru en 1959. Parodie burlesque de multiples formes romanesques (roman d'apprentissage, épopée de l'Odyssée d'Homère), l'auteur se sert du néo-français à des fins comiques1. C'est le premier succès populaire de Queneau ; il y met en scène une galerie de personnages pittoresques mais il présente aussi une réflexion philosophique sur l'identité et la vérité. Raymond Queneau, né le 21 février 1903, fait des études de lettres et de philosophie à Paris ; on retrouve des allusions à sa formation à travers le livre. Lors de la publication de son œuvre, il n'est pas très populaire, mais est cependant reconnu par les médias. C'est seulement après que Raymond Queneau devient célèbre.
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Doukipudonktan, se demanda Gabriel excédé. (In English: "Howcanyastinksotho, wondered Gabriel, exasperated.")
Citas
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— Ah, la foire aux puces, dit Zazie de l'air de quelqu'un qui veut pas se laisser épater, c'est là où on trouve des ranbrans pour pas cher, ensuite on les vend à un Amerlo et on a pas perdu sa journée. — Y a pas que les ranbrans, dit le type.
— Tu causes, tu causes, c’est tout ce que tu sais faire.
— Alors ? pourquoi que tu veux l’être, institutrice ? — Pour faire chier les mômes, répondit Zazie.
— Alors, déclara-t-elle, je serai astronaute. — Voilà, dit Gabriel approbativement. Voilà, faut être de son temps. — Oui, continua Zazie, je serai astronaute pour aller faire chier les Martiens.
Últimas palabras
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Raymond Queneau -- Poeta, novelista, lingüista y científico francés -- Zazie en el metro -- Una obra pintoresca -- Resumen -- Estudio de los personajes -- Los personajes principales -- Los personajes secundarios -- Claves de lectura -- El lugar que ocupa el lenguaje en la novela -- El narrador y la narración -- La sociedad francesa de finales de los años cincuenta -- La verdad y las apariencias -- Pistas para la reflexión -- Algunas preguntas para profundizar en su reflexión… -- Para ir más allá
Zazie a son franc parler, le sens de la répartie et n'est pas du genre à se laisser impressionner.
Elle voudrait découvrir le métro, mais il y a une grève. Zazie et son oncle prennent donc le taxi de Charles, un ami de Gabriel. Itinéraire imprécis car les deux compères sont incapables de s’accorder sur le nom des bâtiments.
Gabriel promène donc sa nièce dans le taxi de Charles, mais rien n'intéresse Zazie, qui ne cesse de faire des fugues au cours desquelles elle est l'objet de sollicitations diverses que la gamine, fort avertie, déjoue sans émotion.
Au soir de sa deuxième journée à Paris, après une mémorable poursuite en voiture à travers Paris, Zazie se retrouve avec tous ceux qu'elle a connus en deux jours : Turandot, le propriétaire de Gabriel, et son perroquet Laverdure ; Charles, le taxi ; Gridoux, le cordonnier ; la veuve Monaque, une hystérique ; Trouscaillon, un policier douteux ; Albertine, la femme de Gabriel ; Mado, la fiancée de Charles. Gabriel a invité toutle monde à souper dans un café.
Une bagarre se déclenche, où les combattants s'envoient à la tête une profusion d'assiettes de choucroute, tandis que Zazie, épuisée, s'endort appuyée à une table.
Finalement Jeanne Lalochère quitte son «jules» qui l’a déçue. À la gare, elle retrouve Zazie, qui est accompagnée d’un type en qui elle reconnaît Marcel. Elle demande à sa fille ce qu’elle a fait, et celle-ci lui répond : «J’ai vieilli.»