Pulse en una miniatura para ir a Google Books.
Cargando... La fiesta de la insignificancia (2013)por Milan Kundera
Cargando...
Inscríbete en LibraryThing para averiguar si este libro te gustará. Actualmente no hay Conversaciones sobre este libro. La novela se abre con una perorata sobre la erótica del ombligo, y se cierra en el Jardín de Luxemburgo con un bigotudo conocido del lector apuntando a la Historia y disparando contra la estatua de una reina de Francia. ¿Qué hay en medio? Un esperpento a cargo de enanos y de patizambos que juegan una tragedia, bons à rien desentrañando sin saberlo los entresijos del mundo, un grupo de amigos que se embriagan para no advertir un destino funesto, incontinencias urinarias, diálogos extravagantes, alusiones al pensamiento de Hegel (y al trasero de Julie), una diva engullendo pan con salami a dos carrillos en una fiesta mundana, una botella de Armagnac elevada a los altares, plumas de ángel y una caricatura de Stalin que arruina toda posible devoción por héroes y mitos, que certifica la muerte de las ideologías y que Chagall aplaude a rabiar. (Diario El País)
Voilà ce que célèbre Kundera dans sa petite fête de 142 pages qui, dans un refus de la gravité qui le fait flirter lui-même avec l'insignifiance, nous prévient de la menace qu'est le sérieux, sans qu'on sache vraiment au final ce qui est le plus tragique entre l'insignifiance et le sérieux qu'on veut lui opposer. Un point d'orgue déconcertant et malicieux d'un écrivain qui semble revenu de tout. L'animateur en a contre le principe de Milan Kundera à vouloir se soustraire à la dictature de l'histoire et considère que La fête de l'insignifiance n'est tout simplement pas fait pour lui. « Mais si vous aimez Milan Kundera, sa qualité de réflexion, sa manière d'aborder des sujets en faisant mine de ne pas y toucher, mais d'y revenir, vous allez adorer ça » Tout dans le nouveau roman de Milan Kundera est insignifiance. Les quatre amis, héros du roman, sont insignifiants au point qu’on a du mal à les distinguer les uns des autres. Pauvreté des dialogues, faiblesse du style, sécheresse de l’exposition. La technique narrative chère à Kundera pourtant éprouvée, inspirée de la partition musicale, cette fois rate son effet. Son goût du fragment ici tombe à plat et ne donne qu’une impression de décousu. L’esprit de sérieux a subi en littérature des assauts autrement plus convaincants. C’est à se demander si, après ce quatrième roman écrit directement en français, il ne gagnerait pas, du moins pour sa fiction, à se remettre à sa langue natale, celle qui lui conférait un authentique génie du conte philosophique le distinguant de la masse des écrivains. Avec une verve fidèle à son style, Milan Kundera montre à ses lecteurs autant qu'à ceux qui se "prennent au sérieux", que les ignorants prétentieux sont les ânes d'une farce dont il faut savoir rire. On se souvient du mot de Courteline (dans La Philosophie): "Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet." Milan Kundera nous fait partager avec saFête de l'insignifiance, la volupté de rire de tout, pour mieux oublier le néant du rien. Pertenece a las series editorialesColección Folio (6032) PremiosDistinciones
Proyectar una luz sobre los problemas más serios y a la vez no pronunciar una sola frase seria, estar fascinado por la realidad del mundo contemporáneo y, a la vez, evitar todo realismo, así es La fiesta de la insignificancia. Quien conozca las obras anteriores de Kundera sabe que en él no son en absoluto inesperadas las ganas de incorporar en una novela algo «no serio». En La inmortalidad, Goethe y Hemingway pasean juntos durante muchos capítulos, charlany se divierten. Y en La lentitud, Vera, la esposa del autor, dice a su marido: «Me has dicho muchas veces que un día escribirías una novela en la que no habría ninguna palabra seria... Te lo advierto: ve con cuidado: tus enemigos acechan». Pero, en lugar de ir con cuidado, en esta novela Kundera ve por fin plenamente cumplido su viejo sueño estético, que puede leerse como un sorprendente resumen de toda su obra. Menudo resumen. Menudo epílogo. Menuda risainspirada en nuestra época, que es cómica porque ha perdido todo su sentido del humor. ¿Qué más puede decirse? Nada. ¡Lean! No se han encontrado descripciones de biblioteca. |
Debates activosNingunoCubiertas populares
Google Books — Cargando... GénerosSistema Decimal Melvil (DDC)843.914Literature French French fiction Modern Period 20th Century 1945-1999Clasificación de la Biblioteca del CongresoValoraciónPromedio:
¿Eres tú?Conviértete en un Autor de LibraryThing. |