Pulse en una miniatura para ir a Google Books.
Cargando... The Luneburg Variation (1993)por Paolo Maurensig
Italian Literature (176) Cargando...
Inscríbete en LibraryThing para averiguar si este libro te gustará. Actualmente no hay Conversaciones sobre este libro. Suddenly, at p. 78 this book is transformed. Instead of being a typically inadequate book on the nature of chess, it is transported to the horrors of Nazi Germany and is profoundly moving thereafter. If you know nothing of chess this will be a great advantage as the first half of the book is really rather irritating if you do. The three stars I've given this are for pp. 78-140. My advice: skip the first 77 pages. They are absolutely unnecessary to the best of this novel. Suddenly, at p. 78 this book is transformed. Instead of being a typically inadequate book on the nature of chess, it is transported to the horrors of Nazi Germany and is profoundly moving thereafter. If you know nothing of chess this will be a great advantage as the first half of the book is really rather irritating if you do. The three stars I've given this are for pp. 78-140. My advice: skip the first 77 pages. They are absolutely unnecessary to the best of this novel. Le livre se décompose, je dirais, en trois grandes parties. La première partie se situe de nos jours. Le livre s’ouverte sur la découverte, un dimanche, du cadavre d’un homme, Dieter Frisch, dans son jardin. Tout laisse penser à un suicide par arme à feu. Pourtant, rien ne laissait présager un tel geste. Frisch était un homme d’affaires ayant très bien réussi, ayant une bien belle maison, de l’argent … Il était aussi très reconnu dans son domaine d’intérêt, les échecs. Il écrivait des commentaires de parties pour un journal spécialisé. Sa secrétaire, mais aussi sa femme de chambre, avait remarqué un changement de comportement chez cet homme à la vie si bien réglée. Cela permet d’ouvrir la seconde partie, commençant le vendredi précédant la mort de Dieter Frisch, où l’homme a effectué son dernier voyage hebdomadaire en train avec un de ses collaborateurs. Tous les vendredis, les deux hommes jouaient seuls, dans un compartiment. Pourtant, ce vendredi-là, un jeune homme s’invite dans ce tête-à-tête, en observant les deux joueurs. À la fin, il explique aux deux hommes, il explique qu’ils auraient pu faire autrement, en jouant mieux la fameuse variante de Lüneburg. Commence alors une conversation sur les échecs. Le jeune homme en vient à expliquer comment il a acquis un excellent niveau aux échecs grâce au mentorat de son père adoptif, Tabori, qui, le lecteur l’a appris avant, était le narrateur du début de l’histoire. Le jeune homme ne fait pas l’erreur de donner le nom de Tabori pour ne pas alerter Dieter Frisch car on s’en doute, il va être l’ange vengeur de son père adoptif. On sait dès le début qu’il y a eu un problème, à un moment, entre Frisch et Tabori, qui nécessite une vengeance. Dans la troisième partie, Tabori va reprendre la parole pour expliquer justement cette vieille histoire, remontant à la période de la Seconde Guerre mondiale. J’ai aimé ce livre mais je ne peux pas vraiment dire que je l’ai beaucoup aimé. Je vais commencer par ce qui ne m’a pas plu : la construction en trois parties. La première et la troisième partie sont excellentes car le lecteur est en éveil pour connaître la suite de l’histoire mais la deuxième partie est trop molle. Elle endort l’attention du lecteur. En plus, elle n’apporte rien au livre, car on n’apprendra jamais comment s’est déroulé la mort de Frisch et quel a été le rôle du fils adoptif là-dedans. Cela donne l’impression que l’auteur a voulu introduire la vie de Tabori après-guerre mais n’a pas su comment faire. En tout cas, il manque des pages au livre pour garantir une certaine cohérence à la narration. Le livre a cependant énormément de qualité. L’auteur a un véritable don pour dévoiler son histoire au fur et à mesure, sans trop en dire, pour maintenir un certain suspens. La clé de l’histoire est absolument bluffante, meilleur que Le joueur d’échecs (et ce n’est pas peu dire car c’est un de mes livres préférés). L’écriture est elle aussi excellente : elle rend réellement la parole de Tabori, un homme d’un autre temps, obsédé par une vengeance froide et maîtrisée, celle d’un joueur d’échecs. Par contre, on n’entend pas la voix du fils adoptif. Il en devient un personnage faible, qui est finalement uniquement le robot téléguidé de Tabori. Il apparaît fade entre Frisch et son père adoptif. Je pense que c’est ce qui m’a dérangé dans cette deuxième partie ; il y a un manque de tension par rapport aux deux autres parties, où il y a la rancune entre Tabori et Frisch, car ce n’est tout simplement pas l’histoire du fils adoptif. sin reseñas | añadir una reseña
Premios
Kasparov defined chess as 'the most violent sport in existence'. Part psychological thriller, part allegory, THE LUNEBURG VARIATION tells the story of a duel to the death, of a chess game that remained unfinished over fifty years. When an impeccable German businessman is found shot dead in the garden of his home, without any explanation for his apparent 'suicide', a mystery unfolds which carries the reader to the dead man's roots in pre-war Vienna, to his rivalry with a brilliant young Jewish player, and to the terrible secret in their past. No se han encontrado descripciones de biblioteca. |
Debates activosNingunoCubiertas populares
Google Books — Cargando... GénerosSistema Decimal Melvil (DDC)853.914Literature Italian Italian fiction 1900- 20th Century 1945-1999Clasificación de la Biblioteca del CongresoValoraciónPromedio:
¿Eres tú?Conviértete en un Autor de LibraryThing. |
Riuscire anche solo a pensare per un secondo, concretamente, a determinate situazioni storiche finisce per creare e suscitare sentimenti devastanti. ( )