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El segundo anillo de poder

por Carlos Castaneda

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Series: Teachings of Don Juan (5)

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1,016620,313 (3.65)7
En este libro, cuya pobreza literaria es sensible, se siente la ausencia física de Don Juan, aunque muchos de los recuerdos de los aprendices conllevan su presencia y sus enseñanzas. Este libro y Las enseñanzas de don Juan son quizás los más confusos, aunque la riqueza en conocimientos del "segundo anillo de poder" es mayor. Los relatos, casi fantásticos y descabellados, en el que las hermanitas, la gorda y doña Soledad, luchan batallas de exterminio con Castaneda, en momentos parecen "fuera del contexto de la obra". Se pierde la elegancia y ritmo que Don Juan le imprime a las enseñanzas que recoge Castaneda.A partir de "la explicación de los brujos" , Castaneda tiene mayor claridad, y a este libro lo titula "El Segundo anillo de poder". porque entiende que ahora tiene que recuperar, a partir de "recordar", todas las enseñanzas que, de forma paralela, Don Juan le enseñó en los estados inducidos de "conciencia acrecentada", cuando le enseñaba a "reordenar su isla del tonal". Si, por una parte, en los estados de conciencia normal Castaneda aprendió las técnicas para "barrer la isla de tonal" existiendo una "continuidad" en la secuencia cronológica, no fue así en las enseñanzas en estado de conciencia acrecentada, que tienen como objetivo hacer que el aprendiz desarrolle "su voluntad" para poder entrar al mundo del nagual. De estas enseñanzas no hay recuerdo y no hay cronología en la conciencia normal o cotidiana.Castaneda intuye que sabe, pero tiene que hacer un esfuerzo descomunal para recordar y poder "ensamblar" toda la enseñanza. Es interesante subrayar que en este libro empieza a manifestarse con mayor nitidez la presencia de la civilización tolteca del Anáhuac en las enseñanzas. La Toltequidad o Toltecáyotl, a través de este libro y los siguientes, ocupará un lugar más visible y no quedará, como en las otras, como una vaga insinuación. Por otra parte, Castaneda encontrará a su grupo; que anteriormente apenas lo conocía. Don Juan había sido muy cuidadoso de que no se diesen profundas relaciones de amistad entre los demás aprendices y Castaneda; para lograrlo, siempre los mantuvo envueltos en un hálito de misterio. Castaneda suponía que unos eran aprendices y otros parientes. En este libro nos demostrará cómo se enfrentó a ellos como parte de las instrucción de Don Juan y cómo logró convertirse en el nagual del grupo y, al ir "recordando", cómo recuperará experiencias y enseñanzas de los guerreros del grupo de Don Juan, en las enseñanzas del mundo de la conciencia acrecentada, Don Juan se apoyó en sus compañeros de "camada", quienes también fueron sus maestros, (aunque él no lo recuerde), con quien convivió en las enseñanzas de la conciencia acrecentada.… (más)
  1. 00
    El Dominico blanco : diario de un hombre invisible por Gustav Meyrink (paradoxosalpha)
    paradoxosalpha: Initiatory anamnesis and other mystical goodies. If this isn't the same sort of magic, why not?
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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Castaneda-Le-second-anneau-de-pouvoir/28949
> BAnQ (La presse, 26 mai 1979) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2410271

> Carlos Castaneda. – L’herbe du diable ou la petite fumée, Paris - Le Soleil Noir, 1972 ; Voir, Paris, Gallimard, 1973 ; Le voyage à Ixtlan, Paris, Gallimard, 1974 ; Histoires de pouvoir, Paris, Gallimard, 1978 ; Le second anneau de pouvoir, Paris, Gallimard, 1979 ; Le don de l’Aigle, Paris, Gallimard, 1982 ; Le feu du dedans, Paris, Gallimard, 1984 ; La force du silence, Paris, Gallimard, 1988. — En 1960, Carlos Castaneda, jeune anthropologue de l’Université de Los Angeles, spécialisé dans l’étude des plantes hallucinogènes, rencontre au Mexique un sorcier yaqui nommé Don Juan. Ce dernier, après avoir testé Carlos et mesuré son « inflexible résolution », qualité indispensable et fondamentale pour devenir « apprenti », accepte de lui transmettre sa science et de faire de lui un « homme de connaissance ». Commencent alors de longues années d’apprentissage, auprès de Don Juan et d’autres sorciers, apprentissage souvent ardu et douloureux qui prend parfois l’allure d’une aventure terrible et sans retour, où l’auteur, mené aux confins de lui-même, vit une transformation radicale de son être. Des relations extrêmement fortes s’installent entre Carlos et Don Juan ainsi que les autres sorciers et apprentis qu’il rencontre. Quel que soit son niveau de lecture et de compréhension, le lecteur est frappé par le caractère extraordinaire de ce maître sorcier qu’est Don Juan, par son étonnante pédagogie et par l’apothéose de cette relation maître-disciple où le maître, après avoir participé à la transformation radicale du disciple lui confère le titre de maître, assurant ainsi sa filiation.
Renverser les schémas connus, brûler tous les masques qui servent nos conditionnements afin de devenir « un homme de connaissance », voilà ce qu’enseigne le sorcier à l’anthropologue. Devenir « un homme de connaissance », c’est d’abord développer une écoute totale du corps, savoir accorder celui-ci aux tonalités du monde extérieur, apprendre à percevoir avec le corps tout entier, libérer le mental de cette surcharge d’activité que l’homme d’aujourd’hui s’impose et par là-même, chercher la vérité et non le savoir. Au cours de cette initiation, il apprend aussi à développer un nouveau rapport avec la nature ; celle-ci considérée comme « consciente » doit être traitée « impeccablement » de même que la création toute entière. Mieux encore, l’apprenti doit chercher à intérioriser le cosmos, à l’incorporer totalement jusqu’à créer un sentiment total d’unité avec le monde extérieur et pouvoir incarner l’esprit de chacun des éléments du cosmos. Autre thème récurrent de ces ouvrages : celui de la peur. Le « guerrier » cher à Don Juan doit cultiver en lui la force de poursuivre son apprentissage jusqu’au bout sans défaillir et surmonter avec succès toutes les épreuves les plus terrifiantes qui lui sont proposées pour extirper de lui ce fléau. Carlos est mis tout d’abord en situation d’expérimenter la peur afin d’évaluer soigneusement les sensations qu’elle génère et apprendre ensuite à la dominer en lui faisant face. La dominer aussi en se familiarisant avec la mort, et faire de celle-ci une alliée, un guide : « Il existe un étrange et brûlant bonheur dans le fait d’agir en sachant que cet acte peut tout aussi bien être le dernier de sa vie. Je te demande de reconsidérer la tienne et d’accomplir tes actions en pensant à cela ».
Revue Française de Yoga, (1), Janv. 1990

> LE SECOND ANNEAU DE POUVOIR, de Carlos Castaneda. Traduit de l’anglais. (Gallimard (Coll. Témoins) 270 p. $14.95). — Le second anneau de pouvoir est, après Voir: les enseignements d’un sorcier Yaqui et Le voyage à Ixtlan: les leçons de don Juan, le troisième ouvrage relatant la longue initiation destinée à faire de l'apprenti, Castaneda, un homme de connaissance. C'est dans un autre monde que nous conduit maintenant Castaneda, l'apprenti abandonné à lui-même après le départ de son maître don Juan et et son benefactor don Genaro. Dans un décor de collines rongées par l'érosion, de canons isolés et de maisons à la géographie étrange, Carlos le guerrier va livrer son premier combat de sorcier en pleine possession de ses moyens. Cette nouvelle étape du voyage vers l'impeccabilité, où l'ancien disciple se trouve contraint de mettre en application dans une vie réelle les enseignements du maître, constitue, dans le Cycle de don Juan, une mutation capitale. Jamais Castaneda n'était allé aussi loin.
Le devoir, 17 mars 1979 ( )
  Joop-le-philosophe | Mar 17, 2019 |
Récit d'une initiation à la pensée secrète des Indiens Yaqui d'Amérique. Proche de l' esprit du yoga malgré les différences formelles. L'impeccabilité dans chaque action comme thème majeur de la voie du "guerrier". Progression étonnante d'un volume à l'autre.
  yogasantosha | Jun 13, 2018 |
All books of Carlos Castaneda are very important to me. He (and his Don Juan), Vadim Zeland - writer from Russia, quantum physicist and Alexey Bachev - an unusual psychologist from Bulgaria, protagonist of my book Life Can Be a Miracle have shaped my way of thinking, perceiving, experiencing the reality. Very grateful for showing me the miraculous way of living!!!! ( )
  ivinela | Dec 10, 2013 |
Dopo aver appreso le arti magiche che introducono nel labirinto del "mondo del potere e della conoscenza" Castaneda sperimenta le facoltà acquisite in
uno straordinario viaggio nell'universo della stregoneria applicata. E'la prova del fuoco che anche lui è uno stregone e un guerriero, quindi è in grado di
affrontare e vincere fenomeni extranormali e terrificanti. Figura centrale del libro è un formidabile personaggio: dona Soledad, magica e terribile antagonista
di Castaneda e, nello stesso tempo, espressione di quanto vi è di più profondo e misterioso nel concetto di femminilità.
  edascenzi | Jun 5, 2010 |
If you are working your way through the Castaneda series and haven't reached this one yet, LEAVE NOW! Otherwise I may spoil the dramatic unfolding of events that this book relates...

.......

Still here? Ok, don't say I didn't warn you then.

Castaneda returns to Mexico looking for Pablito and Nestor, the two apprentices with whom he shared an awesome and scarcely-believable mountain-top experience immediately following the departure of Don Juan and Don Genaro from their lives. He has an obsessive need to "corroborate" this experience, which has played on his mind for two years, and needs Pablito and Nestor ro help him get the facts straight.

He doesn't find them immediately. Instead he has a scary encounter with Doña Soledad, Pablito's "mother", now transformed from the old woman he saw on earlier visits into a seemingly much younger and powerful woman. She nearly kills him in an "encounter with power", but he fends her off and delivers a blow that injures her.

Soon after, the "Little Sisters" appear, 3 young women whom Castaneda always assumed were Pablito's sisters and Soledad's daughters : Lydia, Rosa and Josefina. They reveal to his amazement that they too were apprentices of Don Juan and Don Genaro, and that the encounter with Soledad had been set up by Don Juan before his departure, knowing that Castaneda would return to Mexico. Castaneda is shocked at his earlier failure to perceive that there were other apprentices, even more shocked to realise that Don Juan had set up such a violent encounter. The Little Sisters explain to him that Soledad too was an apprentice, that this was her one shot at power, and that since she had failed, that now he, Castaneda, was to be "The Nagual".

Shock upon shock. "The Nagual" had always been the apprentices name for Don Juan - how could Castaneda replace him? Another apprentice appears, La Gorda (or "Fat Gorda" as Castaneda remembers her - now slim, athletic and powerful) who explains a lot of the 'missing picture' for Castaneda : the years of apprenticeship have built to this moment, and Castaneda must either lead them as "The Nagual" or abandon them to their fate. His is a free choice, but power must show him the right thing to do.

Meanwhile, the male apprentices (Pablito, Nestor, and Benito) are no help; unable to corroborate Castaneda's questions, they also seem to be morbid, moody and resigned to their fate. Finally Pablito reveals that they are "at war" with the Little Sisters, and nothing good is going to come out of Castaneda's return. La Gorda laughs off Pablito's claims, explaining how remote and embittered the males have become.

Before Castaneda makes a decision, the Little Sisters each demonstrate their own special powers to him in a solemn occasion at their home with all the apprentices present. Castaneda tries to lead them on a hike into the mountains in an ordered, paired line, to make an "encounter with power", but before long La Gorda turns them around and hurries them back home. She says that she "saw" that they had failed and that Castaneda was leading them into danger. After this, the group splits up and Castaneda takes La Gorda back to LA with him to pursue "the designs of power" further.

This book can be characterised in several different ways. One, it is the only one of the series where Don Juan makes no appearance at all. Two, it is the most sombre of the series, especially on first reading, full of violence and concealed threat. Lastly, it is a book where Castaneda is often accused of "knowing more" than he is telling, despite his protestations to the contrary – and yet the other apprentices are as adamant that he DOES know what they tell him, as he is that he does not. This provides a tension and dynamic to The Second Ring Of Power and lifts it out of what might otherwise merely be morbid and sinister, giving this segment of the series an enhanced sense of mystery. ( )
  Tid | Apr 7, 2009 |
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Nombre del autorRolTipo de autor¿Obra?Estado
Castaneda, Carlosautor principaltodas las edicionesconfirmado
Casaril, GuyTraductorautor secundarioalgunas edicionesconfirmado
Knibbeler, F.J.Traductorautor secundarioalgunas edicionesconfirmado
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Aviso de desambiguación
Editores de la editorial
Blurbistas
Idioma original
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DDC/MDS Canónico
LCC canónico

Referencias a esta obra en fuentes externas.

Wikipedia en inglés (2)

En este libro, cuya pobreza literaria es sensible, se siente la ausencia física de Don Juan, aunque muchos de los recuerdos de los aprendices conllevan su presencia y sus enseñanzas. Este libro y Las enseñanzas de don Juan son quizás los más confusos, aunque la riqueza en conocimientos del "segundo anillo de poder" es mayor. Los relatos, casi fantásticos y descabellados, en el que las hermanitas, la gorda y doña Soledad, luchan batallas de exterminio con Castaneda, en momentos parecen "fuera del contexto de la obra". Se pierde la elegancia y ritmo que Don Juan le imprime a las enseñanzas que recoge Castaneda.A partir de "la explicación de los brujos" , Castaneda tiene mayor claridad, y a este libro lo titula "El Segundo anillo de poder". porque entiende que ahora tiene que recuperar, a partir de "recordar", todas las enseñanzas que, de forma paralela, Don Juan le enseñó en los estados inducidos de "conciencia acrecentada", cuando le enseñaba a "reordenar su isla del tonal". Si, por una parte, en los estados de conciencia normal Castaneda aprendió las técnicas para "barrer la isla de tonal" existiendo una "continuidad" en la secuencia cronológica, no fue así en las enseñanzas en estado de conciencia acrecentada, que tienen como objetivo hacer que el aprendiz desarrolle "su voluntad" para poder entrar al mundo del nagual. De estas enseñanzas no hay recuerdo y no hay cronología en la conciencia normal o cotidiana.Castaneda intuye que sabe, pero tiene que hacer un esfuerzo descomunal para recordar y poder "ensamblar" toda la enseñanza. Es interesante subrayar que en este libro empieza a manifestarse con mayor nitidez la presencia de la civilización tolteca del Anáhuac en las enseñanzas. La Toltequidad o Toltecáyotl, a través de este libro y los siguientes, ocupará un lugar más visible y no quedará, como en las otras, como una vaga insinuación. Por otra parte, Castaneda encontrará a su grupo; que anteriormente apenas lo conocía. Don Juan había sido muy cuidadoso de que no se diesen profundas relaciones de amistad entre los demás aprendices y Castaneda; para lograrlo, siempre los mantuvo envueltos en un hálito de misterio. Castaneda suponía que unos eran aprendices y otros parientes. En este libro nos demostrará cómo se enfrentó a ellos como parte de las instrucción de Don Juan y cómo logró convertirse en el nagual del grupo y, al ir "recordando", cómo recuperará experiencias y enseñanzas de los guerreros del grupo de Don Juan, en las enseñanzas del mundo de la conciencia acrecentada, Don Juan se apoyó en sus compañeros de "camada", quienes también fueron sus maestros, (aunque él no lo recuerde), con quien convivió en las enseñanzas de la conciencia acrecentada.

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