> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Rankin-On-nous-appelait-les-sauvages/339959
> Journal Le Nord : https://www.journallenord.com/deces-de-joyce-echaquan/

> Dominique Rankin était destiné à succéder à son père à titre de chef héréditaire et homme-médecine !
L'envahissement des Amériques et l'intégration forcée par les Blancs a changé le cours de son existence.
Autrefois grand chef de la nation algonquine, il ouvre aujourd'hui le livre de ses souvenirs, et nous offre un vibrant témoignage sur la vie, le respect, le pardon et la guérison qui nous fait découvrir un peuple à la tradition millénaire.
—Soleil Levant, fév. 2015

> ON NOUS APPELAIT DES SAUVAGES, de Dominique Rankin (Le Jour, 160 pages). — Le fascinant parcours d’un chef héréditaire algonquin qui a retrouvé sa fierté le jour où il a compris que ce n’était pas l’Église catholique qui l’avait violé, ni les Blancs et leur gouvernement mais « des hommes et des femmes malades ». (Didier FESSOU)
—La presse, 1 décembre 2001, Z. Cahier spécial Loisirs d'hiver

> ON NOUS APPELAIT DES SAUVAGES, de Dominique Rankin. — Né sur les berges de la rivière Harricana, en Abitibi, Dominique Rankin était destiné à succéder à son père à tire de chef héréditaire et homme-médecine. Mais l’envahissement des territoires autochtones par les Blancs et l’intégration forcée à leur société a changé le cours de son existence. Arraché aux siens et à sa culture, il a grandi dans le pensionnat des petits Sauvages, à Amos, avant de retrouver sa liberté, son peuple et ses origines. Autrefois grand chef de la nation algonquine, il ouvre aujourd’hui le livre de ses souvenirs, les plus lumineux comme les plus sombres, et offre un vibrant témoignage sur le respect, le pardon et la guérison. Un très inspirant témoignage recueilli par la journaliste Marie-Josée Tardif. Éd. GID 192 Pages. (Didier FESSOU)
—Le soleil, 9 octobre 2011