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Martin Winckler

Autor de La enfermedad de Sachs

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Sobre El Autor

Marc Zaffran, alias Martin Winckler, was born in Algiers in 1955. His family moved to Israel and then, in 1962, to France. He obtained an M.D. in 1977, and, in 1983, opened his own office as a general practitioner. He also worked part time at a women's health center performing abortions. His first mostrar más novel, "La vacation", was published in 1989. In 1994 he stopped practicing medicine altogether and began writing full time. "La Maladie de Sachs (The Case of Doctor Sachs)" was released in France in 1997 to great fanfare. A movie version, directed by Michel Deville, won first prize at this year's Chicago Film Festival and will be released in the U.S. next winter. In addition to his novels, Winckler has published numerous essays on social and medical issues. He has translated into French the works of Richard Powers, Patrick Macnee, and Nicholson Baker. Winckler lives in a small village in France with his wife and eight children. (Bowker Author Biography) mostrar menos

Incluye los nombres: Winckler, Martin Winckler

Créditos de la imagen: Martin Winckler en 2019

Series

Obras de Martin Winckler

La enfermedad de Sachs (1998) 240 copias
Le choeur des femmes (2009) 88 copias
Les Trois Médecins (2004) 51 copias
La Vacation (1989) 28 copias
En souvenir d'André (2012) 22 copias
Mort in vitro (2003) 21 copias
Légendes (2002) 16 copias
Les séries télé (1999) 15 copias
Abraham et fils (2016) 14 copias
L'École des soignantes (2019) 11 copias
Plumes d'Ange (2003) 11 copias
Les Histoires de Franz (2017) 10 copias
Camisoles (2005) 9 copias
Un pour Deux (2008) 8 copias
Le Numéro 7 (2007) 8 copias
En soignant, en écrivant (2001) 8 copias
Les Invisibles (2011) 7 copias
histoires en l'air (2008) 6 copias
Super héros (2003) 5 copias
E' grave, dottore? (2002) 5 copias
Tu comprendras ta douleur (2019) 4 copias
Franz en Amérique (2022) 3 copias
Mission impossible (1996) 3 copias
Noirs scalpels (2005) 3 copias
A ma bouche (2007) 3 copias
Le meilleur des séries (2007) 3 copias
Le mystère Marcoeur (2001) 2 copias
DROITS DES PATIENTS (LES) (2007) 2 copias
Le Corps en suspens (2002) 1 copia
En soignant en écrivant (2000) 1 copia

Obras relacionadas

Best-sellers: l'industrie du succès (2021) — Contribuidor — 2 copias
La maladie de Sachs [1999 film] — Original novel — 1 copia
Dans les coulisses du rideau de fer: autopsie d'un système totalitaire (2003) — Prólogo, algunas ediciones1 copia

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Reseñas

> Par K. Moussou, P. Frey, O. de Lamberterie (Elle) : Les 39 meilleurs livre de poche du moment
6 juin 2018 - Dans les années 1960, Abraham, médecin rapatrié d’Algérie et veuf, débarque dans un petit village, Tilliers-en-Beauce, afin de reprendre l’unique cabinet médical. À la fois récit initiatique et confessions autour des secrets de la Seconde Guerre mondiale, « Abraham et Fils » déborde de tendresse et d’humanité. À savourer avant de découvrir la suite, « Les Histoires de Franz ».
Natalie Dupuis
… (más)
 
Denunciada
Joop-le-philosophe | Jan 8, 2019 |
(…) même les mauvaises raisons peuvent être respectables.
(p. 633, Chapitre 8, “Donjon”, Partie 8, “Mercredi et après (Lento)”).

J’ai découvert Martin Winckler à ses débuts d’écrivain. La Maladie de Sachs n’avait pas laissé insensible, dans un sens ou dans l’autre, et pour ma part j’avais été de celles qui avaient aimé ce livre et ce qu’il dit d’un médecin généraliste qui essaie de bien faire son travail, sans se retrancher derrière le jargon scientifique et ses artifices.
Martin Winckler a toujours beaucoup à dire, notamment dans les domaines qui lui tiennent à cœur, l’IVG, la gynécologie, la fin de vie, etcetera. Mais il ne se renouvelle pas dans la forme, et ses livres deviennent trop prévisibles, ce qui nuit au propos. Ici, je n’ai pas été longue à découvrir qui était en réalité Jean Atwood, on n’est pas défini par son prénom… Et son changement d’attitude, sa capacité à ouvrir les yeux étaient courus d’avance. Donc bon, à la fin, j’ai finalement refermé le livre en pensant : « Tout ça pour ça… »
Mais il y a des belles pages tout de même, j’ai aimé notamment sa description de l’écoute, de l’empathie. Savoir écouter, savoir s’abstenir de juger, des qualités qui ne sont pas des faiblesses et qui sont bien plus difficiles à développer que ce que l’on pourrait penser de prime abord. Accepter, malgré sa position de pouvoir, de ne pas tenter d’asséner ses vérités, savoir justement faire la part entre ses principes et ses vérités personnelles, et l’exercice de sa compétence professionnelle.
Alors cela va peut-être paraître ridicule, mais au moment de cette lecture, j’étais en pleine réflexion sur ces mêmes questions, dans un tout autre domaine professionnel puisque j’étais alors maîtresse dans une classe de CE1 dans un milieu urbain peu favorisé économiquement et marqué par de grandes différences culturelles avec ma propre expérience. Je réfléchissais alors beaucoup à l’accueil des parents et à la façon d’engager le dialogue avec eux. Non comme une mère qui a ses propres principes et élève ses petits ratons dans ce sens, mais comme une professionnelle de l’enseignement, qui doit apporter aux parents des éléments de réponse à leurs questions pour qu’ils élèvent leurs enfants selon leurs propres principes. Entre égalité des chances et liberté d’éducation, la zone de contact est ténue et c’est ce que je cherchais.
Alors ce livre n’est pas du tout là-dessus. Il est sur les femmes, leur corps, leurs rêves, il est parfois un peu caricatural dans son approche, l’histoire est cousue de fil blanc, mais à moi, elle m’a apporté, parce qu’elle a nourri ma réflexion sur un tout autre sujet. C’est donc une note de lecture complètement hors sujet que je fais, mais c’est la note de la lectrice que je suis. Je ne saurais dire maintenant si j’ai aimé ce livre, si je le conseille, probablement pas si ce sont les questions médicales qui vous intéresse, certainement pas si c’est une bonne histoire que vous cherchez. Mais essayez, on ne sait jamais, peut-être y trouverez-vous vous aussi quelque chose que vous n’êtes pas venu y chercher.
… (más)
 
Denunciada
raton-liseur | 5 reseñas más. | Jan 5, 2019 |
J'avais découvert Martin Winckler il y a de très nombreuses années avec "La maladie de Sachs" et j'avais été scotché par cette histoire et surtout l'art maîtrisé dans la construction du roman qui permettait de raconter et de décrire un médecin généraliste en creux sans jamais lui donner la parole, uniquement par le discours des autres, les patients, son entourage, les habitants du quartier.
Grâce à Babelio et au challenge multi-défi 2018, j'ai re-découvert cet auteur avec "Le choeur des femmes". Et c'est de nouveau, un vrai choc de lecture. Une histoire au départ assez simple, une jeune et brillante interne très sûre d'elle même et de sa valeur qui finalement va se révéler fragile par son histoire personnelle, se heurte à un médecin, chef d'une petite unité dédiée aux femmes et leur sexualité et dans laquelle elle doit y passer six mois de stage. Au fil des journées de consultations, d'échanges, d'écoutes, elle découvre "les bonnes femmes", leur problèmes, leur doutes, leur questionnements, leur forces, leur désespoirs, ce qui finalement va la métamorphoser.
Cette histoire n'est en fait que le fil conducteur, l'alibi du roman. Avec beaucoup de délicatesse tout en disant les choses mais toujours avec beaucoup de tendresse, Martin Winckler aborde des thèmes autour des femmes et leur sexualité, l'enfantement, la contraception, mais également les problèmes autour du genre. Il nous plonge dans l'univers de la médecine hospitalière avec ses seigneurs, les chefs de cliniques, les internes, et une structure qui finie par oublier le patient, ici les patientes, tellement convaincu du bienfondé de leur savoir. Il dénonce les relations compliquées et intéressées entre les laboratoires et le corps des médecins. Et tellement d'autres thèmes abordés qui donnent une profondeur et une puissance assez incroyable.
Certes, la démonstration est certainement poussée, extrême, tous les gynécologues ne sont pas aussi pervers, et obsédés, les chirurgiens ne sont pas tous des bouchers ou des docteurs Mengele. On pourra regretter que parfois l'histoire tourne au manichéisme et que la chute finale est un peu exagérée, même si je m'y suis laissé prendre (même à soixante balais on peu être un peu fleur bleue ...). Le propos du texte n'est pas celui-là.
Le titre du roman donne l'objectif : donner la parole aux femmes, raconter la multiplicité et la complexité de ce que peut-être la sexualité féminine dans une société qui cherche à codifier, classer, et lorsque cela ne rentre pas re-cadrer, interdire ou rejeter.
Martin Winckler, nous amene également à réfléchir sur nos propres idées préconçues qui sont remises en question par des retournements de situation Par exemple, ce n'est qu'à la page 48 du roman que l'on comprend.... (surprise à découvrir !)
La force du texte tient à sa structure. C'est un roman, mais également une immense enquête documentaire, un essai sociologique. Jean Atwood et sa métamorphose, on notera le clin d'oeil à Margaret Atwood et son texte "la servante écarlate", est le fil rouge d'un grand texte rythmé par des poèmes, des aphorismes, des monologues de patientes racontant leur histoire, des extraits de rapport et de forum internet. Le texte démarre sur un mode assez comique avec les ruminations et les colères de Jean lors de sa première journée de stage, et petit à petit, sa transformation devient dense, dramatique. Un magnifique et bouleversant roman.
… (más)
 
Denunciada
folivier | 5 reseñas más. | May 26, 2018 |
des exemples de maltraitance médicale à partir de faits réels relatés par les patients.
Mais aussi un décorticage de la genèse de cette maltraitance, comment les études médicales y conduisent.
½
 
Denunciada
crichine | Nov 24, 2016 |

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