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Stéphane Beauverger

Autor de Le Déchronologue

11+ Obras 130 Miembros 4 Reseñas

Sobre El Autor

Créditos de la imagen: Stéphane Beauverger (by Ji-Elle, 2010)

Series

Obras de Stéphane Beauverger

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Bifrost n°50 (2008) — Contribuidor — 6 copias
Bifrost n°77 : Mélanie Fazi (2015) — Contribuidor — 4 copias

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Conocimiento común

Nombre canónico
Beauverger, Stéphane
Nombre legal
Beauverger, Stéphane
Fecha de nacimiento
1969-06-29
Nacionalidad
France

Miembros

Reseñas

Grand roman de science-fiction française, le Déchronologue joue jusque dans ses derniers recoins la carte du voyage et des failles temporelles. Tant et si bien qu’on finit par en avoir le tournis car l’auteur suggère plus souvent qu’il ne dévoile. La structure feuilletonesque du récit, avec ses chapitres présentés dans une succession temporelle désordonnée demande de l’attention mais fonctionne parfaitement. Au final on retiendra surtout les personnages, ces quelques flibustiers plus vrais que nature et cette plume excellente qui nous transporte quelques siècles en arrière. Une très belle réussite.… (más)
 
Denunciada
corporate_clone | 2 reseñas más. | Aug 7, 2022 |
The trilogy has not, as far as I can tell, been translated into English and one can only hope it will be soon as it is a modern and original approach to the genre. Set in France in a not too distant future, Chromozone begins shortly after a virus has been unleashed on technology across the world, crippling it. Worse, the virus has been manipulated so that it attacks living beings. Beauverger, a Breton, sets the best of the action on the island of Ouessant off the coast of Brittany near Brest.

ChromozoneThe second tome, Les Noctivores (or Nighteaters), continues the action some 8 years later, retaining some players from the first episode and introducing some new ones. Now the action flashes around France from Lourdes in the SW, via a pirate community to Brittany and back south to Marseilles. Technology is beginning to reappear in the hands of powerful blocs but the virus continues to spread in people, culminating in the noctivores, an exponentially expanding population whose individuals sublimate their individuality to a group will.

Book three, La Cité Nymphale (or City of the Nymphs), finishes the story some 8 years later again, in a frighteningly changed Ouessant and in the new Papal See located in Paris where a curiously irreligious pope reigns.

Beauverger projects a rather pessimistic view of humanity but manages to give us some satisfyingly memorable characters for all that they are shallowly painted, evoking the author’s background in video games and bande dessinées (cartoons). The La Volte editions are beautifully presented in a wide format each peppered with a series of prints from artist Corinne Billon and book three came with the very original Disk of the Book, a CD from French group Hint, apparently inspired by the trilogy.

For reasons I cannot quite pin down, Chromozone remined me of Julian May’s Many Coloured Land trilogy. Undoubtedly this is partly because both are set in (entirely different versions of) France and both have no central character, but rather an entire range of heroes/anti-heroes that the author treats as disposable so that the plot can never be anticipated. Visit the publisher’s site and ask for an English edition.
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Denunciada
tchelyzt | Jul 15, 2017 |
Surprenant et assez décevant. Nous lisons le journal du capitaine Henri Villon, commandant du Chronos puis du Toujours Debout enfin du Déchronologue. C'est un pirate écumant la mer des Caraïbes au XVII° siècle.
Henri Villon nous raconte son emprisonnement par le commodore Mendoza dans les cales du Centinela puis dans les geôles sordides espagnoles de Carthagène, sa rencontre avec Arcadio, un indien du Yucatan qui possède des objets mystérieux et contrôle des forces inconnues, son association avec ces indiens pour détruire les ports et place-fortes espagnols, son commerce des "maravillas", des objets mystérieux et magiques, les "conserva" qui assurent la subsistance pendant des mois, la destruction de la citée indienne et sa rencontre avec un femme étrange, qu'il surnomme Sévère, issue du peuple des Targui, enfin l'aide apporter par les Targui pour maîtriser ces forces et lutter contre un ennemi invisible, détruisant tout grâce à un monstrueux vaisseau d'acier nommé "Georges Washington.

L'idée initiale du roman, telle que je l'ai compris, pouvait être intéressante. Imaginer une époque où s'entrechoquent différents futurs cherchant à modifier un passé en maîtrisant le temps. Stéphane Beauverger situe cette époque au milieu du XVII° siècle, l'histoire se déroule de 1640 à 1653, dans la mer des Caraïbes, dans le monde de la piraterie et des corsaires attirés dans cette zone par les richesses extraites du Nouveau Monde conquit et soumit avec férocité par les espagnols. Extrêmement bien documenté, la bibliographie en fin de roman en faisant foi, l'auteur nous décrit le monde de la flibuste et des combats navals, les îles et territoires vierges peuplés d'indiens où peuvent se réfugier ces pirates et corsaires afin de commercer, d'échanger, trafiquer et préparer les prochaines campagnes pour chasser les galions espagnols. Henri Villon fait commerce des "maravillas" et des "conserva", au fil des chapitres on comprend que ces objets fantastiques sont des ustensiles du futur : des piles électriques, des batteries, des lampes torches, des radios, des appareils à musique, etc... et des armes d'une puissance meurtrière exceptionnelle par rapport aux mousquets, épée et sabre de l'époque. Les "conserva" sont des boîtes de conserves... autre merveille pour des marins ! Chacun cherche avec avidité à trouver les plus insolites maravelas qui pourraient donner un avantage décisif dans la lutte que se livre les flibustiers et les indiens du Yucatan contre les espagnols.
Autre idée intéressante, cette force destructrice, le George Washington, est animée par un peuple nommé "Americanos" ! J'y ai vu une métaphore d'une Amérique toute puissante, sans scrupule, méprisante pour les autres peuples déployant une force disproportionnée pour détruire et tuer aveuglément.

Malheureusement, malgré ces bonnes idées, l'histoire ne fonctionne pas. On ne comprend pas d'où viennent les Turgui, comment ces "maravillas" et "conserva" arrivent dans ce milieu du XVII°, pourquoi ces Americanos, venu du XX°, cherchent à tout détruire avec ce vaisseau "George Washington" qui est en fait le porte-avion, vaisseau amiral. Comment fonctionne ces machines (canons) qui fracassent le temps et pulvérisent le présent.
Le roman donne le sentiment d'un texte pas abouti, avec une structure superficiellement compliquée. Pour être cohérent avec ce temps qui rebondit et instable, les chapitres ne se succèdent pas par ordre chronologique. Par ailleurs, il m'a semblé que le texte était truffé d'anachronisme. En effet, il s'agit d'un journal écrit entre 1640 et 1653 or on parle d'électricité, de batteries, de radio, de piles.... mots assez incongrue dans la plume d'un homme du XVII° alors que ces objets sont désignés d'un terme général de "marravillas".
Un roman assez plat et sans grand intérêt.
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1 vota
Denunciada
folivier | 2 reseñas más. | May 9, 2012 |

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