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Salim Bachi

Autor de The Silence of Mohammed

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Sobre El Autor

Incluye el nombre: Салим Баши

Obras de Salim Bachi

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Paris Noir (2008) — Contribuidor — 55 copias

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Conocimiento común

Nombre canónico
Bachi, Salim
Nombre legal
سليم باشي
Fecha de nacimiento
1971
Género
male
Nacionalidad
Algeria (birth)
France
País (para mapa)
Algeria
Lugar de nacimiento
Annaba, Algeria
Lugares de residencia
Annaba, Algeria
Paris, France
Rome, Italy
Educación
Sorbonne
Ocupaciones
writer
Premios y honores
Goncourt du Premier Roman (2001)

Miembros

Reseñas

Сложна в сюжетно отношение творба, в която честата смяна на местоименията на разказвача на историята компрометира истинността на историята. Ужким разказвана от анонимната любовница на Хамид Саим, която не познава останалите герои, жанрът на историята на места преминава в поток на мисълта, течаща в главите на непознати за разказвача персонажи. Изобилстват пасажи от лични тайни дневници на различни герои от историята, чието присъствие в повествованието отново е необяснимо, предвид зададения в началото на творбата наратив. Макар обикновени отрудени хора, всеки от героите използва в тайните си дневници безкрайно поетичен език, изпълнен с красиви по звучене, но изпразнени от всякакво значение безсмислици.

Неразбран за мен остава мотивът на Луи Берганя да предприеме пътуването си до Френска Гвиана, където доброволно се подлага на неоправдани от житейската логика гонения.
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Denunciada
terrigena | Jun 24, 2023 |
Okay, let's be honest: if this was a book about one of the many Prophets of monotheism who didn't get anyone to follow him, it would never have been written, let alone published, let alone read. But the subject is interesting, and you'll learn some things about Mohammed's life if you do read it.

As a work of literature, though, it's a bit meh. Bachi uses four narrators: Mohammed's first wife, Khadija; the first Caliph, Abu Bakr; the general Kalid ibn al-Walid; and Mohammed's 'controversial' (controversial only if you believe that everyone throughout history should abide by the moral norms of late twentieth century East coast America) young wife, Aisha. Okay, fine--I'm no expert, but I suspect that adopting a third person narrative voice, or a narrative from the Prophet's perspective, might look a lot like idolatry, so this approach makes sense. But since their voices are all identical, the effect of choosing real people as narrators is lost. And since Aisha, in particular, seems to have nothing to say other than 'I'm so much prettier than the other wives', it's hard to see what that third narrative is even doing in the book. The first three are interesting, if a bit clunky. 'Aisha', whom I assume is in heaven somewhere, is probably pissed that Bachi makes her sound like an unbearable little tish.

So, this is exactly what it looks like: a novel that's intended to teach its readers facts about history, rather than one that's intended to interest you with its art. Caveat Lector.
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Denunciada
stillatim | Dec 29, 2013 |
Ce livre ne peut laisser indifférent et sort du lot de la littérature francophone habituelle. Bien entendu, on y retrouve un peu la complainte nombriliste propre à la littérature française, assortie d'une dose de baisouillage et lutinage (comment aujourd'hui assurer de bonnes ventes sans un petit relent croustillant de sexe ?). Il n'empêche, le récit de Sindbad le Portefaix (opposé à son homonyme marin, contrairement à ce qu'annonce le titre) m'a plu par sa distance permanente qu'il met avec la réalité, par le fait qu'il réinterprète la réalité contemporaine des hommes dans son récit. Je me suis reconnu à plusieurs reprises dans le portrait de cet homme de Carthago, balloté dans un monde moderne qu'il cherche et qu'il ne reconnaît pas, qu'il fuit et qui s'y vautre. Son regard sur ses contemporains est empreint d'ironie, de scepticisme, d'à-propos terre-à-terre. Son nom et son parcours tient des mille et une nuits, du voyage d'Ulysse, des rêves d'Appolinaire (reprise à peine masquée de la chanson du mal-aimé à un certain moment). C'est un héros que n'aurait pas renié Cendrars ou Henri de Monfreid.

Le récit de Salim Bachi est construit en plusieurs mouvements. La mise en bouche a lieu à Carthago, l'actuelle Alger, que le narrateur replace dans un contexte de conte cruel ; où le Dormant, personnage de légende qui cumule tous les mauvais rêves ou les mauvaises consciences, accompagné de son Chien infernal, prend pied sur le quai. Sindbad le rencontre et se met à lui raconter sa vie, comme pour expier une existence vouée au déplacement.

Ce qui caractérise le récit est cet exil permanent de Sindbad, jamais à sa place dans les villes où il échoue, surnageant dans sa vie comme dans son périple, où les seules îles sur lesquelles il a prise avec la réalité sont les femmes, quand elles ne finissent pas à lui échapper, à s'enfuir ou mourir. Sindbad est étranger à lui-même.

Une chose est sûre, Salim Bachi connaît sa langue française. Il y a du style, de l'épaisseur, de la virtuosité avec les mots. Les traits sont acérés, les formules cinglantes. Du bel ouvrage qui cependant ne me laisse pas tout à fait satisfait. Le fait de faire la liaison permanente avec l'actualité de son époque va vite rendre suranné ce livre quand, dans quelques années, on ne saura plus à qui fait référence Chafouin Ier ou le Golem. Peut-être est-ce pour l'auteur une tentative d'assurer à ses personnage une permanence dans la mémoire mais cela ne sonne pas bien à mes yeux. J'aurais aimé qu'il continue sur le mode d'écriture semi-mythologique qu'il déploie dans la première partie de son récit. Cela étant, un bon livre.
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Denunciada
Veilleur_de_nuit | Feb 8, 2011 |

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